1 nd il est conscient de soi-même, et les athées du Socialisme et du Communisme. Tous ceux-là travaillent à l’achèvement d’un certai

2 ts en gueule, — tout cela qui deviendra plus tard socialisme , morgue bourgeoise, esprit de parti, arrivisme et parlementarisme. La

3 ts en gueule, — tout cela qui deviendra plus tard socialisme ou morgue bourgeoise, esprit de parti, arrivisme et parlementarisme.

4 mais d’incarnation de la pensée. Ni moralisme, ni socialisme . ⁂ Moralisme. Il y a des gens qui disent : j’ai tel idéal de véraci

5 à vient que toute création absolue est héroïque. Socialisme (ou marxisme). Penser en actes : ce n’est pas descendre au social, si

6 ls. Par leur situation sociale, les fondateurs du socialisme scientifique contemporain, Marx et Engels, étaient des intellectuels

7 i des généralités abstraites telles que morale ou socialisme 10, entités que l’on peut considérer en soi comme des systèmes, indép

8 itique de l’esprit bourgeois englobe également le socialisme humanitaire et le marxisme, qui sont, à tant d’égards, de simples ave

9 des vieilles formules », « tragique faiblesse du socialisme international », « échecs en Allemagne » et ailleurs ; échec auprès d

10 rs instituées pendant la période de transition au socialisme ont, d’ores et déjà, une existence concrète, une durée d’action et de

11 drame de la France politique, c’est la carence du socialisme véritable. L’esprit parlementaire a détourné la tradition du socialis

12 L’esprit parlementaire a détourné la tradition du socialisme français de ses buts proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » u

13 saient en 1848. Mais le monde a changé depuis. Le socialisme français porte deux tares qui l’empêcheront toujours d’agir et de cré

14 rs instituées pendant la période de transition au socialisme ont, d’ores et déjà, une existence concrète, une durée d’action et de

15 drame de la France politique, c’est la carence du socialisme véritable. L’esprit parlementaire a détourné la tradition du socialis

16 L’esprit parlementaire a détourné la tradition du socialisme français de ses buts proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » u

17 saient en 1848. Mais le monde a changé depuis. Le socialisme français porte deux tares qui l’empêcheront toujours d’agir et de cré

18 vie. Or nous voyons la même erreur héritée par le socialisme . La fausseté, la stérilité de notre mesure culturelle devait provoque

19 ucoup seront tentés de penser que cela conduit au socialisme . Pour ma part, je confesse volontiers qu’aucun parti ne m’attire dava

20 dons l’enfant ! Car si nous condamnons en bloc le socialisme , nous condamnons aussi une part de vérité d’origine proprement chréti

21 art de vérité d’origine proprement chrétienne. Le socialisme s’est identifié avec la défense des humbles : si nous ne faisons pas

22 lui à cet égard, gardons-nous de l’attaquer ! Le socialisme proteste contre les conditions actuelles du travail ; il revendique u

23 dans la foi. — Mais si l’on refuse d’attaquer le socialisme , faudra-t-il accepter aussitôt le fameux trait d’union qu’on nous pro

24 ne vivaient pas aussi de pain. Le grand danger du socialisme n’est pas dans son matérialisme, mais dans sa fausse spiritualité ; d

25 remarque. Si je refuse d’adhérer pratiquement au socialisme , c’est d’abord à cause du marxisme, et des motifs ouvertement antichr

26 la même loi supérieure de la fin proposée par le socialisme . Il faut alors définir la culture comme « une forme commune de la vi

27 miques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin le défaut complet, jusqu’à présent, de grandes œuvres

28 Du socialisme au fascisme (novembre 1936)x Erreur française sur le fascisme

29 trop facile de répliquer que Mussolini a trahi le socialisme , plutôt qu’il ne l’a continué. La question véritable n’est pas là. E

30 veut exercer le pouvoir peut-il ne pas trahir le socialisme  ? Et du moment qu’il le trahit, peut-il faire autre chose que du fasc

31 istes, ne sont en fait que le terme fatal de tout socialisme appliqué ou, ce qui revient au même, de tout échec du socialisme en t

32 iqué ou, ce qui revient au même, de tout échec du socialisme en tant que tel. Historiquement (sinon théoriquement) les dictatures

33 ont en avance — on n’ose dire en progrès — sur le socialisme . Elles sont le « dépassement » hégélien, — c’est-à-dire en même temps

34 is c’est Hitler qui prend ses meilleures armes au socialisme . Enfin, pour liquider les derniers bolchevistes — avec un peu de reta

35 e la « gauche ». Le national-socialisme est le socialisme total Le secret de la « réussite » de tous ces hommes est simple.

36 ous ces hommes est simple. Ils ont compris que le socialisme économique n’était que la moitié d’une doctrine. Ils ont compris qu’o

37 inomique. Ils sont exactement complémentaires. Le socialisme est une « nationalisation » de l’économie ; le nationalisme est une «

38 ment les proudhoniens — me comprendront… x. « Du socialisme au fascisme », L’Ordre nouveau, Paris, n° 35, novembre 1936, p. 18-22

39 cialiste puisse se rapporter, c’est l’idée que le socialisme se fait de la culture existante, bourgeoise ou capitaliste. » Il part

40 bourgeoise ou capitaliste. » Il part donc bien du socialisme , c’est-à-dire de demain. Ailleurs encore : « La volonté de configurat

41 Organiser scientifiquement la société : c’est le socialisme , le sociologisme, le collectivisme, le centralisme, l’étatisme… Et to

42 trois systèmes par ailleurs ennemis, capitalisme, socialisme , fascisme. Pour les formules de Hegel, leur application paraît moins

43 la même loi supérieure de la fin proposée par le socialisme . » Il faut alors définir la culture comme « une forme commune de la v

44 ’est pas le composé hybride de nationalisme et de socialisme que la traduction française du terme nous invite à imaginer. Il expri

45 lonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme . Volonté de fusion complète des actions et des idéaux particuliers en

46 miques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin le défaut complet, jusqu’à présent, de grandes œuvres

47 des généralités abstraites telles que morale, ou socialisme , entités que l’on peut considérer en soi comme des systèmes, indépend

48 cialiste puisse se rapporter, c’est l’idée que le socialisme se fait de la culture existante, bourgeoise ou capitaliste. » Il part

49 bourgeoise ou capitaliste. » Il part donc bien du socialisme , c’est-à-dire de demain. Ailleurs encore : « La volonté de configura

50 Organiser scientifiquement la société : c’est le socialisme , le sociologisme, le collectivisme, le centralisme, l’étatisme… Et to

51 trois systèmes par ailleurs ennemis, capitalisme, socialisme , fascisme. Pour les formules de Hegel, leur application paraît moins

52 la même loi supérieure de la fin proposée par le socialisme . » Il faut alors définir la culture comme « une forme commune de la v

53 ’est pas le composé hybride de nationalisme et de socialisme que la traduction française du terme nous invite à imaginer. Il expri

54 lonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme . Volonté de fusion complète des actions et des idéaux particuliers en

55 miques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin le défaut complet, jusqu’à présent, de grandes œuvres

56 des généralités abstraites telles que morale, ou socialisme , entités que l’on peut considérer en soi comme des systèmes, indépend

57 antisémitisme, raillé le nationalisme, dénoncé le socialisme , et déclaré que l’État est le plus froid des monstres froids. À part

58 riat n’est pour Marx que la riposte nécessaire du socialisme au capitalisme qui voudrait prolonger son statut en s’appuyant sur de

59 ade économique plus favorable au développement du socialisme . Je vois beaucoup de marxistes s’en indigner mais je doute qu’ils soi

60 n’ait été d’origine chrétienne. S’il n’y a pas de socialisme en Asie, cela tient à l’absence du christianisme. » Je note ici, à l’

61 ut ce qui n’est pas d’origine chrétienne, dans le socialisme , se fonde sur cette superstition bourgeoise : que le bonheur dépend m

62 sait une impression assez confuse. Capitalisme et socialisme , bellicisme et passivité, esprit spartiate et goût du confort, jeunes

63 tés. Méfions-nous d’un certain abus du terme de «  socialisme  », trop fréquent chez les auteurs de droite auxquels M. Rivaud ne se

64 écis, et paraissent autoriser mieux le terme de «  socialisme agraire ». Il faut recommander spécialement la lecture du chapitre su

65 plus proche des idéologies préhitlériennes que du socialisme qu’il professe. Les plus jeunes ont l’air moins ouverts. Ils sortent

66 sait une impression assez confuse. Capitalisme et socialisme , bellicisme et passivité, esprit spartiate et goût du confort, jeunes

67 ment, ils n’ont rien fait de sérieux, et que leur socialisme est une façade. Je réponds : non, c’est leur « nationalisme » (au sen

68 anger ; mais l’arrière-pensée du régime, c’est le socialisme d’État le plus rigide qu’on ait jamais rêvé ; pas un bourgeois n’y su

69 les « socialistes ». Les nazis ont compris que le socialisme économique n’est que la moitié d’une doctrine : l’État ne sera maître

70 la mystique nationaliste la lui donnera. Ainsi le socialisme « nationalise » l’économie ; et le nationalisme « socialise » le sent

71 e) et les phénomènes secondaires (nationalisme et socialisme ) d’une maladie aussi vieille que l’Europe, et qui est sa P. G. politi

72 gne telle qu’elle est, ils s’apercevraient que le socialisme y est mieux réalisé qu’en France : dès lors, les premiers verraient s

73 en comprendre. Les nazis, eux, ont compris que le socialisme économique n’est que la moitié d’une doctrine : l’État ne sera maître

74 tis existants, et l’on propose la colonisation du socialisme ou de la CGT — qui pratiquement vaut un parti — par les groupes ou pa

75 endance nationaliste qu’avait toujours montrée le socialisme allemand. Cet article était écrit en connaissance de cause, je puis l

76 calviniste ; 2° que lorsqu’il écrit : « Faire du socialisme , c’est faire la moitié du national-socialisme », je note en marge : «

77 che vers le nihilisme — ou l’annexion. « Faire du socialisme , écrit-il, c’est faire la moitié du national-socialisme. » Certes, on

78 emmes suivants : droite ou gauche, capitalisme ou socialisme , individualisme ou collectivisme, fascisme ou bolchévisme. Ces dilemm

79 « gauche » et de « droite », ou si l’on veut, de socialisme et de libéralisme. Nous voulons que les trains roulent, que le pain s

80 bâtons et une grêle de coups. Je suis sérieux. Le socialisme , non pas en soi, mais construit dans le cadre national conduit nécess

81 bâtons et une grêle de coups. Je suis sérieux. Le socialisme , non pas en soi, mais construit dans le cadre national, conduit néces

82 bâtons et une grêle de coups. Je suis sérieux. Le socialisme , non pas en soi, mais construit dans le cadre national conduit nécess

83 ut ce qui n’est pas d’origine chrétienne, dans le socialisme , se fonde sur cette superstition bourgeoise : que le bonheur dépend m

84 plus proche des idéologies préhitlériennes que du socialisme qu’il professe. Les plus jeunes ont l’air moins ouverts. Ils sortent

85 sait une impression assez confuse. Capitalisme et socialisme , bellicisme et passivité, esprit spartiate et goût du confort, jeunes

86 ment, ils n’ont rien fait de sérieux, et que leur socialisme est une façade. Je réponds : non, c’est leur « nationalisme » (au sen

87 anger ; mais l’arrière-pensée du régime, c’est le socialisme d’État le plus rigide qu’on ait jamais rêvé ; pas un bourgeois n’y su

88 les « socialistes ». Les nazis ont compris que le socialisme économique n’est que la moitié d’une doctrine : l’État ne sera maître

89 la mystique nationaliste la lui donnera. Ainsi le socialisme « nationalise » l’économie ; et le nationalisme « socialise » le sent

90 e) et les phénomènes secondaires (nationalisme et socialisme ) d’une maladie aussi vieille que, l’Europe, et qui est sa P. G. polit

91 tyrans, ni d’adversaires de la Révolution, ni de socialisme , ni d’Histoire en général. L’argument est au moins léger. De plus, il

92 bles dans leurs manifestations. Ce ne sont pas le socialisme et le capitalisme, l’un tendant à se faire national et l’autre étatiq

93 réduire l’entropie que l’égalité juridique et le socialisme accroissent au contraire par système. Une société qui perd le respect

94 bles dans leurs manifestations. Ce ne sont pas le socialisme et le capitalisme, l’un tendant à se faire national et l’autre étatiq

95 e sur l’axiome que la démocratie est identique au socialisme anglais. Il en découle primo : qu’une Assemblée sans majorité travail

96  : ils partent d’un axiome inverse. Démocratie et socialisme leur apparaissent contradictoires. Et cependant, pour l’étonnement de

97 e sur l’axiome que la démocratie est identique au socialisme anglais. Il en découle primo : qu’une Assemblée sans majorité travail

98  : ils partent d’un axiome inverse. Démocratie et socialisme leur apparaissent contradictoires. Et cependant, pour l’étonnement de

99 le, de la culture germanique et des Espagnols, du socialisme plus ou moins marxiste et des chrétiens, des Juifs anglais et des con

100 mbridge, un aristocrate libéral inclinant vers le socialisme , et dont le destin, complice de sa nature intime plutôt que de ses id

101 lques bons principes empruntés au libéralisme, au socialisme humanitaire, et à Gandhi. Avec cela, plus impatient qu’autoritaire, p

102 point. Elles prennent toutes le pouvoir au nom du socialisme « bien compris », non rhétorique, vraiment réalisé. Elles disent ensu

103 que le « monde christianisé ». S’il n’y a pas de socialisme en Asie, écrivait en 1930 Henri de Man, cela tient à l’absence du chr

104 s estiment que le capitalisme est meilleur que le socialisme . Nous sommes convaincus du contraire. Cette discussion ne peut être r

105 chassés par les peuples du territoire des pays du socialisme et de démocratie populaire… Que faut-il donc faire ? S’entendre sur

106 sera dénoncé par Bakounine. (Ainsi, plus tard, le socialisme allemand de Marx triomphera, en Russie, du socialisme français de Pro

107 alisme allemand de Marx triomphera, en Russie, du socialisme français de Proudhon.) Nouvelle étape, dès l’aube du xix e siècle. D

108 du mouvement de l’Histoire ?) Voici enfin sur le Socialisme qui excuse tout, y compris le massacre des ouvriers : « Vous répondez

109 reur « impardonnable » fait du tort à la cause du Socialisme . Le Socialisme se voit donc substitué à toute autre fin politique, so

110 nable » fait du tort à la cause du Socialisme. Le Socialisme se voit donc substitué à toute autre fin politique, sociale, morale o

111 par quiconque. Et seul Sartre, parlant au nom du Socialisme , a le droit de protester contre les Russes. En effet, écrit-il, « qu’

112 articipent, à l’Est et à l’Ouest, au mouvement du Socialisme  ». Traduisons : le privilège du Socialisme, consiste en ceci, qu’il «

113 ent du Socialisme ». Traduisons : le privilège du Socialisme , consiste en ceci, qu’il « doit » être le seul à bénéficier des condi

114 s les autres entreprises ». Mais qu’est-ce que le Socialisme  ? Toutes ses formes existantes sont condamnées sans exception par Sar

115 e vue transcendant qu’il accepte, et qui est « le Socialisme lui-même ». Mais qui incarne cette essence ? Sartre seul, qui s’est m

116 ments ou groupuscules qui se réclament en fait du Socialisme . La seule victime des polémiques interminables où Sartre épuise une «

117 e ? Le Parti communiste s’est toujours réclamé du socialisme , doctrine soucieuse de la défense des exploités. En fait, chacun peut

118 pouvons rien contre l’imposture gigantesque du «  socialisme  » soviétique. Mais, dans nos pays socialistes ou libéraux, ne serait-

119 leurs paysans se dressent contre Moscou au nom du socialisme . Leurs étudiants, leurs écrivains, leurs philosophes, témoignent à la

120 es Lumières, le romantisme, le nationalisme et le socialisme . Elle vient d’entrer dans l’ère technique en conservant les traces vi

121 que le « monde christianisé ». S’il n’y a pas le socialisme en Asie, écrivait en 1930 Henri de Man, cela tient à l’absence du chr

122 eu du siècle, vers tout ce qu’englobe le terme de socialisme — du marxisme au syndicalisme et des belles rêveries de Fourier aux s

123 n droit de dire « adulte » cette fois-ci, et d’un socialisme concret, plus poussé que partout ailleurs. (La Suisse républicaine es

124 que du communisme différerait des réalisations du socialisme britannique et scandinave, ou de l’american way of life. K. se borne

125 ne sont pas loin de réaliser les buts concrets du socialisme , sous l’étiquette de la libre entreprise, tandis que sous l’étiquette

126 libre entreprise, tandis que sous l’étiquette du socialisme , les Russes ont à peine dépassé le stade d’exploitation des travaille

127 jusqu’ici qu’un bond vers l’industrie et vers le socialisme , inventés par l’Europe et parts intégrantes de sa civilisation. Quant

128 dentales, et cherche à les résoudre à l’aide d’un socialisme qui ne doit rien à Shankara. L’Occident découvre Zoroastre à la suite

129 miques, scientifiques et sociales sont dues à son socialisme , parce qu’il conduit au communisme final. C’est dire qu’en dehors des

130 erkunde, consiste essentiellement dans l’étude du socialisme . Ainsi, dans la 9e classe (16-17 ans) sur 15 heures de leçons d’instr

131 sse 10 et dernière : 3 heures sur le thème : « Le Socialisme est vainqueur », 11 heures sur « Le Socialisme – un ordre social assu

132 Le Socialisme est vainqueur », 11 heures sur « Le Socialisme – un ordre social assurant à la jeunesse la paix, la liberté, le bien

133 fficilement opposer à la doctrine totalitaire, ou socialisme soviétique, une « doctrine capitaliste » officielle et imposée, et ce

134 identale, et cherche à les résoudre à l’aide d’un socialisme qui ne doit rien à Shankara. L’Occident découvre Zoroastre à la suite

135 triel par F. de Lesseps (canal de Suez) et sur le socialisme français par Enfantin, Fourier et les phalanstériens, on doit reconna

136 e les armées permanentes ; en second lieu, que le socialisme en dépouillant les propriétaires éteigne le patriotisme, parce qu’un

137 ns l’ancêtre européen des formes démocratiques du socialisme  : pas un seul chef de camp de travail forcé, pas une seule brute tota

138 doctrine pour tenter de justifier ses crimes. Le socialisme fédéraliste et libertaire de Proudhon n’a guère eu de succès jusqu’ic

139 de Proudhon n’a guère eu de succès jusqu’ici ; le socialisme collectiviste, centralisateur et autoritaire de Marx a fait l’URSS et

140 ses conséquences sociales, ou au contraire sur un socialisme fortement marqué par le dogmatisme byzantin). Nicolas Berdiaev, dans

141 ite des puissances chargées de défendre la paix : socialisme et christianisme.265 La renaissance des projets d’union date des le

142 révolution dans sa structure psychique. Ainsi le socialisme n’est, pour nous, qu’une conséquence entre d’autres du christianisme 

143 ses champions dans les forces du libéralisme, du socialisme et de la finance internationale ; il n’est pas jusqu’aux civilisation

144 sme à la Bentham, un collectivisme militant et un socialisme messianique, un libéralisme à la Hayek, l’adoration de la puissance m

145 dramatique dans ses péripéties, qui s’appelleront socialisme , marxisme, libéralisme, syndicalisme, planification, orientation et f

146 ard, le comte Henri de Saint-Simon, précurseur du socialisme et des grands travaux industriels — le canal de Suez sera fait par se

147 sme à la Bentham, un collectivisme militant et un socialisme messianique, un libéralisme à la Hayek, l’adoration de la puissance m

148 dramatique dans ses péripéties, qui s’appelleront socialisme , marxisme, libéralisme, syndicalisme, planification, orientation et f

149 amer du thomisme puis du calvinisme, plus tard du socialisme proudhonien, aujourd’hui des sciences les plus avancées. D’autre part

150 traditions internationalistes et autoritaires du socialisme marxiste jouent dans le sens d’une opposition systématique aux divers

151 on, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la pensée des sociétés. Ainsi donc, en

152 ade économique plus favorable au développement du socialisme . Je vois beaucoup de marxistes s’en indigner, mais je doute qu’ils so

153 n’ait été d’origine chrétienne. S’il n’y a pas de socialisme en Asie, cela tient à l’absence du christianisme. » Je note ici, à l’

154 e-Bretagne) et qu’elles s’accommodent aisément du socialisme , et des réalisations les plus concrètes de la démocratie la plus ouve

155 ’usage que le tiers-monde voudrait faire de notre socialisme plutôt que de notre libéralisme et du droit d’opposition, de nos form

156 près unanime. Mélange de capitalisme libéral, de socialisme communautaire et d’étatisme empirique, il correspond à cet équilibre

157 on, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux

158 on, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux

159 guère été qu’un bond vers l’industrie et vers le socialisme , inventés par l’Europe et parties intégrantes de sa culture. Quant à

160 guère été qu’un bond vers l’industrie et vers le socialisme , inventés par l’Europe et parties intégrantes de sa culture. Quant à

161 on, capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux

162 ion capable, au même titre que le libéralisme, le socialisme ou la démocratie, d’alimenter la pensée des sociétés et de dicter aux

163 bles dans leurs manifestations. Ce ne sont pas le socialisme et le capitalisme, l’un tendant à se faire national et l’autre étatiq

164 qui se prétendait « prolétarienne », la droite un socialisme d’État qui se proclamait « national » : l’adjectif seul comptait, et

165 s été prévues, car on imaginait en général que le socialisme pouvait préserver et même étendre le climat du libéralisme. Combien c

166 ianisme, de l’Église et du cléricalisme seront le socialisme , le Parti et l’appareil bureaucratique. Et que les socialismes au pou

167 le Parti et l’appareil bureaucratique. Et que les socialismes au pouvoir ne vont mener nulle part à plus de liberté, partout à des