1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 sant comme l’envie d’un sommeil sans fin… J’avais soif , mais la seule vue d’un liquide me soulevait le cœur. L’aube parut. O
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
2 ispersion autant qu’à l’approfondissement du moi, soif de tout et pourtant mépris de tout, procédant d’un goût de l’absolu à
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 es liqueurs qui n’ont pas été préparées pour leur soif . Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui rè
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
4 de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert, je traçais des plans d’œuvres sablonneuses.
5 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
5 ue) « est protestant ». Mais, d’autre part, cette soif d’action directe et de service peut porter aussi bien, par exemple, à
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
6 es liqueurs qui n’ont pas été préparées pour leur soif . Ils ne savent plus les signes ni les ressemblances. Aussi l’ennui rè
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
7 de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert, je traçais des plans d’œuvres sablonneuses.
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert, je traçais des plans d’œuvres sablonneuses.
9 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
9 voltent le bon sens, faire naître le besoin et la soif d’une telle force. Et voilà bien la seule acception chrétienne du mot
10 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
10 s la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif , une nostalgie que tous nos gestes, à notre insu, trahissent. Mais qu
11 a formé le projet de tromper cette faim et cette soif . Au païen ignorant du vrai Dieu, les prêtres donnent des idoles faite
11 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
12 s la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif , une nostalgie que tous nos gestes, à notre insu, trahissent. Mais qu
13 a formé le projet de tromper cette faim et cette soif . Au païen ignorant du vrai Dieu, les prêtres donnent des idoles faite
12 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
14 s la cité qu’on nous a faite. C’est une faim, une soif , une nostalgie que tous nos gestes, à notre insu, trahissent. Mais qu
15 a formé le projet de tromper cette faim et cette soif . Au païen ignorant du vrai Dieu, les prêtres donnent des idoles faite
13 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
16 uence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Justice et de passion libertaire, ce grand mot sera prononcé, proc
14 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
17 ’origine de la recherche la plus abstraite, de la soif de savoir la plus purement spéculative, l’un au moins de ces intérêts
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
18 uence, de pensée libre, de raison cartésienne, de soif de Justice et de passion libertaire, ce grand mot sera prononcé, proc
16 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
19 tour d’un sentiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dan
17 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
20 en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boire le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sor
18 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
21 tour d’un sentiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dan
19 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
22 é autour d’un sentiment sacré. Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dan
20 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
23 ue celui qui entend dise : Viens. Que celui qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. »
21 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
24 près le siècle des Lumières. Ainsi renaissent nos soifs mystiques élémentaires après un siècle de science positiviste. Est-il
22 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
25 r, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif . La servante Brangien leur donne à boire. Mais elle leur verse par er
23 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
26 des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif , volonté. Exaltation en termes humains de l’amour de Dieu. Ainsi se d
27 urant, je vis. Pourtant, je n’aime pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’unir à l’Amour.104 5.La Rhétorique co
28 e inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la « torture d’amour » qu
29 des « parfaits » voulait la mort divinisante. La soif qu’elle laisse au cœur des hommes sans foi, mais bouleversés par sa b
24 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
30 lle est à lui… et elle n’est jamais à lui, car la soif de son aspiration est à jamais insatiable. C’est toute l’aventure de
25 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
31 en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boire le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sor
26 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
32 té. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses ou d’expériences telles que la dissection d
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
33 r, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif . La servante Brangien leur donne à boire. Mais elle leur verse par er
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
34 des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif , volonté. Exaltation en termes humains de l’amour de Dieu. Ainsi se d
35 urant, je vis. Pourtant, je n’aime pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’unir à l’Amour122. 5.La Rhétorique cou
36 e inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la « torture d’amour » qu
37 des « parfaits » voulait la mort divinisante. La soif qu’elle laisse au cœur des hommes sans foi, mais bouleversés par sa b
29 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
38 lle est à lui… et elle n’est jamais à lui, car la soif de son aspiration est à jamais insatiable. » C’est toute l’aventure d
30 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
39 en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boire le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sor
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
40 r, le vent tombe, la chaleur est pesante. Ils ont soif . La servante Brangien leur donne à boire. Mais elle leur verse par er
32 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
41 des affections humaines : attrait sexuel, faim et soif , volonté. Exaltation en termes humains de l’amour de Dieu. Ainsi se d
42 urant, je vis. Pourtant, je n’aime pas, mais j’ai soif d’aimer, et j’ai faim de m’unir à l’Amour.112 5.La Rhétorique co
43 e inoubliable, une ardeur vraiment dévorante, une soif que la mort seule pouvait éteindre : ce fut la « torture d’amour » qu
44 des « parfaits » voulait la mort divinisante. La soif qu’elle laisse au cœur des hommes sans foi, mais bouleversés par sa b
33 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
45 lle est à lui… et elle n’est jamais à lui, car la soif de son aspiration est à jamais insatiable. C’est toute l’aventure de
34 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
46 en proie au délire de Tristan. Bien peu ont assez soif pour boire le philtre, et j’en vois moins encore être élus par le sor
35 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
47 les hommes d’où qu’ils viennent, qui ont faim et soif de vérité, sans le savoir le plus souvent. Il est grand temps que nou
36 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
48 té. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la dissection
37 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
49 té. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la dissection
38 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
50 quelques heures. J’étais épuisé, j’avais faim et soif , je ne rencontrais plus personne. Je suis un fumeur invétéré. Ma dern
39 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
51 . La perte de l’Unique Nécessaire fait naître une soif essentiellement inextinguible. Le monde entier ne saurait combler le
40 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
52 emps, c’était, si l’on peut dire, égoïsme normal, soif de richesses, vulgaire impérialisme ; ce qui est diabolique, c’est d’
41 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
53 mis ? Qu’est-ce que le bien, sinon ta plus grande soif  ? Une grande force te viendrait si plutôt que de t’user à tenir tes e
54 quelques heures. J’étais épuisé, j’avais faim et soif , je ne rencontrais plus personne. Je suis un fumeur invétéré. Ma dern
42 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
55 fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeance et au ressentiment, à la grossièreté spirituelle, la jus
43 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
56 . La perte de l’Unique Nécessaire fait naître une soif essentiellement inextinguible. Le monde entier ne saurait combler le
44 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
57 temps, c’était si l’on peut dire, égoïsme normal, soif de richesses, vulgaire impérialisme ; ce qui est diabolique, c’est d’
58 rt d’avoir faim. Dira-t-elle qu’il a tort d’avoir soif de religion ? De tromper cet instinct rendu furieux par des siècles d
45 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
59 mis ? Qu’est-ce que le bien, sinon ta plus grande soif  ? Une grande force te viendrait si plutôt que de t’user à tenir tes e
60 quelques heures. J’étais épuisé, j’avais faim et soif , je ne rencontrais plus personne. Je suis un fumeur invétéré. Ma dern
46 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
61 fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeance et au ressentiment, à la grossièreté spirituelle, la jus
47 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
62 . La perte de l’Unique Nécessaire fait naître une soif essentiellement inextinguible. Le monde entier ne saurait combler le
48 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
63 temps, c’était si l’on peut dire, égoïsme normal, soif de richesses, vulgaire impérialisme ; ce qui est diabolique, c’est d’
64 rt d’avoir faim. Dira-t-elle qu’il a tort d’avoir soif de religion ? de tromper cet instinct rendu furieux par des siècles d
49 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
65 mis ? Qu’est-ce que le bien, sinon ta plus grande soif  ? Une grande force te viendrait si plutôt que de t’user à tenir tes e
66 ues heures. J’étais épuisé, j’avais faim, j’avais soif , je ne rencontrais plus personne. Je suis un fumeur invétéré. Ma dern
50 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
67 fière et non pas des calculs « réalistes » ; à la soif de vengeance et au ressentiment, à la grossièreté spirituelle, la jus
51 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
68 rt d’avoir faim. Dira-t-elle qu’il a tort d’avoir soif de religion ? De tromper cet instinct rendu furieux par des siècles d
52 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
69 près le siècle des Lumières. Ainsi renaissent nos soifs mystiques élémentaires après un siècle de science positiviste. Est-i
53 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
70 ns aucun doute leur faim sera plus grande et leur soif de réponses à leurs questions, de conseils, d’idéaux catholiques — au
71 raits suivants : des lacunes intellectuelles, une soif d’aventures spirituelles (chez les meilleurs), un besoin de direction
54 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
72 Commence l’œuvre du Pardon. « Et que celui qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. »
55 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
73 que l’on y sent une volonté de resserrement, une soif d’imposer au voisin ses propres limitations traditionnelles et de lui
74 est qu’on y sent une volonté d’élargissement, une soif de proposer au voisin les moyens de libération qu’on vient de découvr
56 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
75 iquement réduit, dans la légende, à sa faim, à sa soif et à sa peur. Il est cet homme qui, dans chacun de nous, préfère le d
57 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
76 ement peur, et vous ? Vous êtes muets ? Vous avez soif  ? » Les coups de tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les lum
58 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
77 lement peur. Et vous ? Vous êtes muets. Vous avez soif  ? » Les coups de tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les lum
59 1946, Journal des deux mondes. Virginie
78 lement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vous avez soif  ? » Les coups de tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les lum
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
79 de mon esprit, et tout en le parcourant avec une soif qui annonçait le désert, je traçais des plans d’œuvres sablonneuses.
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
80 tour d’un sentiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une tyrannie, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dan
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
81 lement peur, et vous ? Vous êtes muets. Vous avez soif  ? » Les coups de tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les lum
63 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
82 ve n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt de soif et celui qui se noie. Et de même, le fédéralisme ne naîtra jamais d’
64 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
83 iquement réduit, dans la légende, à sa faim, à sa soif et à sa peur. Il est cet homme qui, dans chacun de nous, préfère le d
65 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
84 Commence l’œuvre du Pardon. « Et que celui qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement. »
66 1947, Doctrine fabuleuse. L’eau ou L’esprit de la tempête
85 danse. 7. — Les grandes eaux ne sont pas pour nos soifs , car l’assoiffé n’y trouve qu’un désert. C’est comme un feu. Mourir d
86 rouve qu’un désert. C’est comme un feu. Mourir de soif dans l’eau de l’amertume, là où l’ivresse est impossible, et où le se
67 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
87 que l’on y sent une volonté de resserrement, une soif d’imposer au voisin ses propres limitations traditionnelles, et de lu
88 est qu’on y sent une volonté d’élargissement, une soif de proposer au voisin les moyens de libération qu’on vient de découvr
68 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
89 ve n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt de soif et celui qui se noie. Et, de même, le fédéralisme ne naîtra jamais d’
69 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
90 i, que toutes les libertés dont les meilleurs ont soif peuvent être vidées d’un seul coup, si nous ne sommes plus propriétai
70 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
91 là ce qui a mis en marche l’Occident et allumé sa soif inextinguible. Mais quand l’homme en vient à sentir qu’il ne pourra j
92 sse, et il croit embrasser l’Absolu, parce que sa soif n’attendait rien de moins. Mais semblable aux amants tragiques de la
93 actualiser — c’est le Scandale. Il en reste cette soif d’une vraie communauté qui déclenche les révolutions et qui entretien
71 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
94 réant un pays neuf36. Que l’avidité naturelle, la soif du gain sous sa forme moderne que l’on devait dénommer capitalisme, s
72 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
95 dées qui mettent les gens en route, et non pas la soif d’inconnu. Le touriste moyen ne veut pas découvrir, mais seulement re
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
96 là ce qui a mis en marche l’Occident et allumé sa soif inextinguible. Mais quand l’homme en vient à sentir qu’il ne pourra j
97 sse, et il croit embrasser l’Absolu, parce que sa soif n’attendait rien de moins. Mais semblable aux amants tragiques de la
98 actualiser — c’est le Scandale. Il en reste cette soif d’une vraie communauté qui déclenche les révolutions et qui entretien
74 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
99 re inouïe qui vengerait ses frères humiliés51, la soif d’un Inconnu dont les merveilles absurdes ne seront peut-être pas tou
75 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
100 réant un pays neuf74. Que l’avidité naturelle, la soif du gain sous sa forme moderne que l’on devait dénommer capitalisme, s
76 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
101 heures de marche dans le désert. Souffrant de la soif , ils s’arrêtent à un petit ranch tenu par une vieille Indienne. Il y
77 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
102 l’expansion de la république romaine qui, dans sa soif de conquêtes et d’asservissement —  manifestations du despotisme effr
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
103 rce explosive de ses idées démocratiques et de sa soif innée de liberté. Depuis ce temps, il n’y a plus eu en Europe que deu
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
104 nts et divins, ont déposé dans notre esprit cette soif révolutionnaire de la justice qui distingue socialement l’Occident.
105 es, à pacifier et à civiliser la nature. C’est la soif de connaître qui précipite Pline l’Ancien sur le Vésuve en éruption,
106 s de leur procurer les richesses dont ils avaient soif . En Amérique du Nord, les descendants des peuplades autochtones rappe
80 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
107 ve n’est pas à mi-chemin entre celui qui meurt de soif et celui qui se noie. Et, de même, le fédéralisme ne naîtra jamais d’
81 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
108 l’amour. À moins que cet ennui ne recrée alors la soif de quelque chose qui soit au-delà de l’ordre et qu’il n’appelle alors
82 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
109 n’est pas à mi-chemin entre un homme qui meurt de soif et un homme qui se noie. De même, le fédéralisme n’est pas à mi-chemi
83 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
110 n’est pas à mi-chemin entre un homme qui meurt de soif et un homme qui se noie. De même, le fédéralisme n’est pas à mi-chemi
84 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
111 ns aucun doute leur faim sera plus grande et leur soif de réponses à leurs questions, de conseils, d’idéaux catholiques — au
112 raits suivants : des lacunes intellectuelles, une soif d’aventures spirituelles (chez les meilleurs), un besoin de direction
85 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
113 ature bon marché nous affectent en prolongeant la soif de romance, même si elle est condamnée par les nouvelles réalités soc
86 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
114 e son terroir ? Non, c’est à cause d’une certaine soif latente, d’une certaine clientèle en puissance, et d’une attitude col
87 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
115 moi, c’est ce désir d’être ailleurs, c’est cette soif inextinguible des grands espaces, d’une vie plus large, d’horizons pl
88 1971, Articles divers (1970-1973). L’Amour et l’Europe : L’Express va plus loin… avec D. de Rougemont (12 avril 1971)
116 able que cet ennui ne recrée pas en profondeur la soif de quelque chose qui soit au-delà de l’ordre et qu’il ne provoque pas
89 1971, Articles divers (1970-1973). L’ingénieur dans la cité (1971-1972)
117 Moyen Âge, au lieu des goûts individuels et de la soif de profit matériel libérés par la Renaissance, et qui dominaient hier
90 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
118 nes, cette même nostalgie essentielle, cette même soif d’une revanche idéale sur le réel bien plus encore que sur l’histoire
119 badours « mouraient d’amour comme nous mourons de soif  » (p. 73). Il n’en reste pas moins que l’« amour-trépas des Arabes pa
120 is se retire en ermite dans la forêt de Craon. Sa soif d’ascétisme et son éloquence ont attiré des disciples, qui le rejoign
91 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
121 Israël » qui ont « déposé dans notre esprit cette soif révolutionnaire de la justice qui distingue socialement l’Occident ».
92 1977, Foi et Vie, articles (1928–1977). Pédagogie des catastrophes (avril 1977)
122 n explosion démographique, d’où famine, mais d’où soif aussi de nos industries, il est non moins vrai que l’Europe seule peu
123 a ? Entre le besoin de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risques, le choix de l’espèce sera fonction de la c
93 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
124 tous, et il s’en faut de beaucoup que tous aient soif des seules eaux du fleuve de la vie éternelle. Pour la plupart, il le
125 it et l’Épouse disent : Viens. Et que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne de l’eau de la vie, gratuitement »
94 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
126 n explosion démographique, d’où famine, mais d’où soif aussi de nos industries, il est non moins vrai que l’Europe seule peu
95 1977, L’Avenir est notre affaire. Conclusion. « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? »
127 a ? Entre le besoin de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risques, le choix de l’espèce sera fonction de la c
96 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
128 t une réponse — terrifiante, effroyable — à cette soif communautaire créée par la civilisation industrielle, les grandes vil
97 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
129 aires, eux, proposent une réponse au besoin, à la soif de l’esprit communautaire. C’est une réponse qui ne vaut rien, je l’a
98 1988, Inédits (extraits de cours). Moyens et fins
130 Moyen Âge, au lieu des goûts individuels et de la soif de profit matériel libérés par la Renaissance, qui dominaient hier en