1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 ’âme dans un élan de grandeur. N’est-ce point une solution aussi ? Plutôt que d’oublier de vivre à force d’y vouloir trouver un
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
2 eur, des surréalistes, et en même temps par cette solution universelle, la foi, il résume en lui cette inquiétude qui fait la gr
3 ace de l’inquiétude », M. Rops considère les deux solutions les plus parfaites qui s’offrent aux jeunes gens d’aujourd’hui. Il co
4 e ruse d’un inquiet qui veut le rester ? Ces deux solutions peuvent se résumer en deux mots : inquiétude ou foi. Dès lors sont-el
3 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
5 l offre à ses ouvriers semblent bien apporter une solution définitive aux problèmes du surmenage et du paupérisme. C’est un résu
6 a production devant se maintenir, il n’y a qu’une solution  : recréer le besoin. Pour cela, on abaisse les prix. Le client fait l
7 d’échapper au fatal dilemme. Premiers pas vers la solution  : l’existence du dilemme. Second pas : en poser les termes avec nette
4 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
8 dans sa pitié, leur envoya un ange porteur d’une solution fort simple qui d’ailleurs était la bonne, car le grand Remède, c’est
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
9 n instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de solution de continuité, la différence n’étant qu’une question d’âge, non d’exp
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
10 instituteur : de l’un à l’autre, il n’y a pas de solution de continuité, la différence n’était qu’une question d’âge, non d’exp
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
11 me impuissance. Ils désirent également donner une solution décisive au problème de l’homme ; ils manquent également de cette éne
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
12 ante. Une fois de plus, l’intelligence apporte la solution d’une hypocrisie que la révolte rend moins sympathique, certes, mais
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
13 ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres solutions … bh. « Voyage en Hongrie I », Bibliothèque universelle et Revue de G
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
14 dre le goût de ce qui, en Europe, « allongeait la solution  », je ne puis m’empêcher de penser que cette peinture d’Aden est asse
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
15 son héroïne nous paraît être à tel point la seule solution possible qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut servir ni l
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
16 es — mais cela dispense-t-il de chercher d’autres solutions  ? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes, ils ne l
17 ble. Car la question sociale n’admet peut-être de solution que personnelle. Il ne s’agit plus de la poser, sur le plan intellect
13 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
18 e, car cela mène pratiquement à l’acceptation des solutions officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le problème de la violence
14 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
19 et nunc, nous voici, protestants, en face de deux solutions synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
20 la vie possible, c’est-à-dire grande. Devant les solutions qu’on nous propose d’urgence, il est clair que toute impartialité ser
21 es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième t
22 ste et non marxiste surgit, s’affirme. 19. Toute solution systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
23 ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres solutions … 10. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
24 ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres solutions … [NdE] Cette note avait disparue de la version publiée en 1968 dans l
18 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
25 e intellectuelle du protestantisme, s’attarde aux solutions réformistes et pacifistes, et n’a pas tenté jusqu’ici d’édifier une d
19 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
26 Solutions pratiques ? (mars 1933)c Beaucoup de personnes, après avoir lu not
27 e premier cahier, nous ont écrit ceci : « Quelles solutions pratiques apportez-vous ? On voudrait quelque chose de positif… » Nou
28 ce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de solutions , — il y a des ordres 1. Celui qui veut vraiment agir ne demande pa
29 la foi sait bien qu’il n’y a pas à demander de «  solutions pratiques », car la foi est précisément une force qui se manifeste pa
30 in de leur donner des directives pratiques et des solutions positives, « discutables, certes, mais positives ». Si nous avions éc
31 s avions écrit, dans notre premier numéro, que la solution des problèmes sociaux réside, par exemple, dans un embrassement génér
32 situations humaines comportaient, en général, une solution chrétienne et des solutions humaines, également prévisibles et classé
33 aient, en général, une solution chrétienne et des solutions humaines, également prévisibles et classées d’avance ! Comme si la fo
34 ne l’imaginez peut-être, car si vous demandez des solutions pratiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas humain. Nous n’a
35 n question vos sécurités et vos incertitudes, vos solutions et vos questions mêmes. Nous ne pouvons qu’aggraver à vos yeux votre
36 ment les conflits essentiels ; rejeter toutes les solutions fabriquées par la « pensée chrétienne », et qui voudraient donner aux
37 de réponse, c’est-à-dire capable de prière. c. «  Solutions pratiques ? », Hic et Nunc, Paris, n° 2, mars 1933, p. 37-42.
20 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
38 ’éthique quotidienne. L’humaniste va chercher une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
21 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
39 nnaître que nos vies comportent d’autant moins de solutions que nous sommes plus exigeants. Tout idéal atteint se retourne aussit
40 pas affectée de la dégradation immanente à toute solution humaine. Cette sagesse dit oui à toutes les contradictions du monde.
41 e. Ce serait dire qu’elle constitue finalement la solution au nom de quoi l’on refuse toutes les autres solutions. À ce moment p
42 tion au nom de quoi l’on refuse toutes les autres solutions . À ce moment précis, intervient la critique barthienne. Nous disons «
22 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
43 nt pas d’élaborer avec la lucidité nécessaire des solutions vraiment neuves et fécondes, elles devaient, dès la prise du pouvoir,
23 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
44 otalité vivante, lui donne un sens concret et une solution réelle. Nous pourrons promettre du pain, et nous en promettons dans l
24 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
45 rsonne ne peut songer sérieusement. On trouva des solutions élégantes. D’une part, la philosophie se transforma en histoire compa
25 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
46 ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
26 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
47 roge Calvin. Que trouve-t-il ? Des arguments, une solution  ? Non point : un renversement du problème. Calvin ne fonde pas notre
48 thodoxie réformée. Non point comme on revient aux solutions toutes faites : plutôt comme on retrouve la véritable et profonde acu
27 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
49 elle position des problèmes — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service ind
28 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
50 limités par un système, par un programme, par des solutions toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
29 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
51 s, où se poursuit ce vieux débat, aucun espoir de solution réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce plan que nous avons quitté
52 iste-spiritualiste. Je me refuse à voir en lui la solution de ce conflit mauvais qu’il fixe sans le dépasser. 19. L’aspect anim
30 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
53 timent très juste dans le goût du pratique, des «  solutions pratiques » qu’affirme, depuis la guerre, un autre groupe de clercs,
31 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
54 limités par un système, par un programme, par des solutions toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
32 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
55 llenium chrétien. Nous voici donc en face de deux solutions synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
56 ue chrétienne doit d’abord condamner toutes les «  solutions  » que nous avons divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou bass
57 assurances tout humaines, dès qu’elle devient une solution « possible », dès qu’elle offre aux hommes des synthèses où ils trouv
33 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
58 l’éthique quotidienne. L’humaniste cherchera une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
34 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
59 aliser ce christianisme. Je crois que toute autre solution , et en particulier, tout compromis partiel avec le marxisme, n’abouti
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
60 es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième
61 lyser dans les Conclusions que voici. 56. Toute solution systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
36 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
62 n : en présence d’une donnée concrète, trouver la solution la plus humaine, la plus actuelle, sans accorder la moindre arrière-p
63 ste-centralisé). 2. — Chaque groupe proposera une solution qui tiendra compte (dans le cas le plus favorable) du programme du pa
64 les députés auprès des électeurs si par hasard la solution est adoptée. Accordons, pour simplifier, trente-trois pour cent d’inf
37 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
65 elle position des problèmes — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service ind
38 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
66 timent très juste dans le goût du pratique, des «  solutions pratiques » qu’affirme un autre groupe de clercs, fort désireux d’all
39 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
67 limités par un système, par un programme, par des solutions toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
40 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
68 llenium chrétien. Nous voici donc en face de deux solutions synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
69 ue chrétienne doit d’abord condamner toutes les «  solutions  » que nous avons divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou bass
70 assurances tout humaines, dès qu’elle devient une solution « possible », dès qu’elle offre aux hommes des synthèses où ils trouv
41 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
71 l’éthique quotidienne. L’humaniste cherchera une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
42 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
72 liser ce christianisme. Je crois que toute autre solution , et en particulier, tout compromis partiel avec le marxisme, n’abouti
43 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
73 es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute solution mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième
74 évolutions — après les avoir faites. 49. Toute solution systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
44 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
75 Suisse — c’est-à-dire qu’on écarte brutalement la solution fédéraliste qui seule eût pu permettre l’établissement normal de cett
76 mmes contenté d’indiquer au passage l’exemple des solutions fédéralistes qui furent réalisées à l’étranger.) Mais nous avons voul
45 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
77 ture manque de bras, — dit-on… J’espère avoir une solution moins défaitiste à vous offrir. — Et ce sera mon second exemple. Un é
46 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
78 rmisme monstrueux, ou le silence. Il n’y a pas de solution pratique dans l’économie actuelle. Ni de solution théorique dans l’un
79 solution pratique dans l’économie actuelle. Ni de solution théorique dans l’univers spiritualiste, pauvre paravent démodé qui ne
80 et de l’espèce la plus amie des abstractions, des solutions mathématiques, des statistiques et des plans fabuleux. 30. « Ford, c
47 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
81 it ni de droite ni de gauche, mais qui apporte la solution des problèmes qui se posent concrètement, au lieu de se perdre à rech
82 c les corporations locales est la seule et unique solution qui ait été envisagée en France, jusqu’ici. Si incroyable que cela pa
48 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
83 e destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle solution proposez-vous ? Écrire des articles pacifistes, ou traîner dans les c
84 essité des conflits humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir toutes les différences, tous les contrast
85 iens à notre problème de la guerre en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation des forces obscures, br
86 moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution , étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une guerre créatr
49 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
87 souffrant ». Le presbytère de campagne serait une solution commode, surtout en regard des souffrances qu’il sait trop bien que l
50 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
88 out point d’appui, son élan meurt en anarchie. La solution de ce conflit est évidente, c’est peut-être pourquoi bien peu l’ont v
89 s qu’il s’agit d’orienter et de rendre fécondes : solutions nécessaires et solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ; créat
90 et de rendre fécondes : solutions nécessaires et solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ; création et automatisme ; libé
51 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
91 ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la solution proposée par le néo-marxisme à cette crise. En gros, nous ne pouvons
52 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
92 our le croyant, Dieu n’est pas un problème, ni la solution d’un problème, mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assu
93 voue, est souvent beaucoup plus important que les solutions qu’on lui propose. Ainsi le problème de la culture. (Quelqu’un demand
94 ai de le résoudre, et la preuve qu’on pressent sa solution . Et qu’ainsi toute critique réelle suppose une intention de construct
53 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
95 ndes du désordre. Eux seuls peuvent concevoir des solutions nouvelles et en amorcer l’expérience. Ils se sont bornés jusqu’ici à
96 de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions , tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un e
97 Ils seraient au reste tout prêts à croire que les solutions par l’ingéniosité de leurs problèmes intellectuels peuvent servir de
98 ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
99 consiste à croire que cette équation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord
100 ation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord une « question »). La personne
54 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
101 our le croyant, Dieu n’est pas un problème, ni la solution d’un problème, mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assu
102 voue, est souvent beaucoup plus important que les solutions qu’on lui propose. Ainsi le problème de la culture. Quelqu’un demande
103 ai de le résoudre, et la preuve qu’on pressent sa solution . Et qu’ainsi toute critique réelle suppose une intention de construct
55 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
104 ndes du désordre. Eux seuls peuvent concevoir des solutions nouvelles et en amorcer l’expérience. Ils se sont bornés jusqu’ici à
105 de faux problèmes, qui admettent une infinité de solutions , tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un e
106 Ils seraient au reste tout prêts à croire que les solutions par l’ingéniosité de leurs problèmes intellectuels peuvent servir de
107 ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
108 consiste à croire que cette équation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord
109 ation comporte une solution générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord une « question »). La personne
56 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
110 dans le domaine de la culture, il ne reste qu’une solution  : que l’écrivain vive de sa plume. Or, c’est cela qui devient imprati
57 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
111 -cycles ». Le roman-cycle, c’est, semble-t-il, la solution qu’adoptent naturellement les écrivains lassés de l’improvisation et
58 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
112 le langage politicien. La dictature est la seule solution de ceux qui refusent d’éduquer le peuple. Dictature ou éducation, voi
59 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
113 le sens d’abstention. Et l’on prévoit déjà une «  solution diplomatique » des affaires d’Espagne. Rideau. Dividendes. Monopole d
60 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
114 uellement du fait de la carence des tentatives de solutions qu’on a voulu historiquement lui donner. Conscience vague, sans doute
61 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
115 taient la violence, les méthodes de violence, les solutions de violence, et qu’ils s’efforçaient d’y substituer une méthode de co
62 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
116 je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
117 oyen normal de l’éducation, il n’y a plus d’autre solution que la contrainte. La dictature est un moyen grossier, souvent barbar
63 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
118 je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
64 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
119 je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la solution d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
120 oyen normal de l’éducation, il n’y a plus d’autre solution que la contrainte. La dictature est un moyen grossier, souvent barbar
121 verbe qui dit le contraire. Je pense que la vraie solution , la solution pratique de la psychose de crise qui énerve la bourgeois
122 le contraire. Je pense que la vraie solution, la solution pratique de la psychose de crise qui énerve la bourgeoisie n’est pas
123 esprit de pauvreté ». Et j’ajoute aussitôt que la solution pratique de la misère réelle, celle qui est vécue depuis longtemps ou
65 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
124 le langage politicien. La dictature est la seule solution de ceux qui refusent d’éduquer le peuple. Dictature ou éducation, voi
66 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
125 as un Führer de plus, mais au contraire, c’est la solution des problèmes que d’autres, n’ayant pu résoudre, ont essayé de suppri
126 lits jusqu’à leur pleine maturation, jusqu’à leur solution réelle. L’audace de faire passer cette mission créatrice avant l’inté
67 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
127 ales ; sa « mystique » de la liberté. Il n’y a de solution pratique que dans un vaste effort moral des grandes et des petites dé
68 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
128 totalitaire. Telle est mon « utopie » : c’est la solution pratique proposée par l’Ordre nouveau. Quant aux moyens d’y parvenir,
69 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
129 la violence par une violence du même ordre. Cette solution est la plus naturelle parce qu’elle n’est en somme qu’un réflexe. Ell
130 donnant l’exemple, dans nos pays, d’une meilleure solution de leur problème. Contre les excès agaçants de la propagande soviétiq
131 ore une fois. Ce que nous condamnons, ce sont des solutions et des doctrines au nom desquelles on veut réglementer le tout de l’h
132 le tout de l’homme, quand il s’agit en vérité des solutions et des doctrines d’un seul parti, d’une seule tendance, et la plus an
133 Il dépend en partie de nous que nous trouvions la solution de l’éternel problème individu-communauté. Il dépend en partie de nou
70 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
134 s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de solution pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience pourrait fo
135 envergure nous indiquent un type de réponse, une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
71 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
136 onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
137 e solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
138 is que les problèmes dont on pressent au moins la solution , le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
139 thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «  solution  », pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
72 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
140 e destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle solution proposez-vous ? Écrire des articles pacifistes, ou traîner dans les c
141 cessité de conflits humains. Mais il y a d’autres solutions que la guerre. Faire valoir toutes les différences, tous les contrast
142 iens à notre problème de la guerre en soi. Quelle solution donnez-vous à cette question de l’utilisation des forces obscures, br
143 moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une solution , étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une lutte créatri
73 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
144 ales : sa « mystique » de la liberté. Il n’y a de solution pratique que dans un vaste effort moral des grandes et des petites dé
74 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
145 vie sentimentale et sexuelle puissent trouver une solution nouvelle ? Pour moi, répond Denis de Rougemont, il ne peut y avoir qu
146 ond Denis de Rougemont, il ne peut y avoir qu’une solution  : le mariage chrétien, mais présenté d’une manière nouvelle. C’est-à-
75 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
147 ir dans leur réalité singulière, une à une. Cette solution , qui consiste à supprimer brutalement les données du problème, est d’
76 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
148 le prenant part à l’action. C’était évidemment la solution formelle. Encore fallait-il l’adapter à l’esprit chrétien du sujet. U
77 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
149 la preuve est faite, attestée par le sang, que la solution suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix, puisque l’aut
78 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
150 à chercher de ce côté les éléments d’une première solution . Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
151 point toutes les difficultés, elle en repousse la solution d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
152 icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la solution se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
79 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
153 ne suis pas très sûr que ce problème comporte une solution définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
80 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
154 livré à lui-même). Je crois, comme Ortega, que la solution stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
155 cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une solution verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
81 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
156 « retours » littéraires — que la nécessité d’une solution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
157 ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle né de l
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
158 s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de solution pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience pourrait fo
159 envergure nous indiquent un type de réponse, une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
83 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
160 onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
161 e solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
162 is que les problèmes dont on pressent au moins la solution , le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
163 thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «  solution  », pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
84 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
164 e point de l’évolution, dans cette angoisse, deux solutions paraissent possibles. Ou bien l’on cherche à recréer la communauté pr
85 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
165 spectacle. Et voici, quelque peu schématisée, la solution où je suis parvenu. Parmi les forces individuelles les plus marquante
166 es autres rôles n’étant qu’épisodiques. (C’est la solution eschylienne du problème tout à fait analogue qui se posait lors des J
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
167 à chercher de ce côté les éléments d’une première solution . Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
168 point toutes les difficultés, elle en repousse la solution d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
169 icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la solution se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
170 énigme historique, dont plusieurs ont cru voir la solution dans l’hypothèse fort excitante d’une clandestinité de l’Église hérét
171 . Je ne prétends pas fonder sur pièces une de ces solutions textuelles et « scientifiques » après quoi, comme le dit Jaspers, « l
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
172 ne suis pas très sûr que ce problème comporte une solution définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
173 livré à lui-même.) Je crois, comme Ortega, que la solution stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
174 cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une solution verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
175 « retours » littéraires — que la nécessité d’une solution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
176 ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle, né de
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
177 s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de solution pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience, pourrait f
178 envergure nous indiquent un type de réponse, une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
179 , par nature, à la conscience individuelle. Toute solution que je serais tenté de proposer, fût-elle jugée « la bonne » par le s
180 en même temps une sorte de tricherie, soit que la solution n’apporte en vérité qu’en essai de retour à l’équilibre ancien, dont
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
181 onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
182 e solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
183 is que les problèmes dont on pressent au moins la solution , le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
184 thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «  solution  », pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
185 à chercher de ce côté les éléments d’une première solution . Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
186 point toutes les difficultés, elle en repousse la solution d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
187 icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la solution se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
188 énigme historique, dont plusieurs ont cru voir la solution dans l’hypothèse fort excitante d’une clandestinité de l’Église hérét
189 . Je ne prétends pas fonder sur pièces une de ces solutions textuelles et « scientifiques » après quoi, comme le dit Jaspers, « l
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
190 ne suis pas très sûr que ce problème comporte une solution définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
191 livré à lui-même.) Je crois, comme Ortega, que la solution stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
192 cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une solution verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
193 « retours » littéraires — que la nécessité d’une solution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
194 ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle, né de
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
195 s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de solution pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience, pourrait f
196 envergure nous indiquent un type de réponse, une solution peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
197 , par nature, à la conscience individuelle. Toute solution que je serais tenté de proposer, fût-elle jugée « la bonne » par le s
198 en même temps une sorte de tricherie, soit que la solution n’apporte en vérité qu’un essai de retour à l’équilibre ancien, dont
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
199 onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
200 e solution que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
201 is que les problèmes dont on pressent au moins la solution , le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
202 thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «  solution  », pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
100 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
203 manité contemporaine exténuées par la misère. Les solutions totalitaires, malgré leurs manifestations brutales et le ton sur lequ
204 sur lequel on les prône, ne sont en fait que des solutions de paresse intellectuelle, des solutions de misère, fardées de rhétor
205 que des solutions de paresse intellectuelle, des solutions de misère, fardées de rhétorique héroïque. Le seul moyen de prévenir
206 bérale : c’est tout le problème à résoudre. La solution fédéraliste Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la tolérance,
207 la preuve est faite, attestée par le sang, que la solution suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix, puisque l’aut