1
’âme dans un élan de grandeur. N’est-ce point une
solution
aussi ? Plutôt que d’oublier de vivre à force d’y vouloir trouver un
2
eur, des surréalistes, et en même temps par cette
solution
universelle, la foi, il résume en lui cette inquiétude qui fait la gr
3
ace de l’inquiétude », M. Rops considère les deux
solutions
les plus parfaites qui s’offrent aux jeunes gens d’aujourd’hui. Il co
4
e ruse d’un inquiet qui veut le rester ? Ces deux
solutions
peuvent se résumer en deux mots : inquiétude ou foi. Dès lors sont-el
5
l offre à ses ouvriers semblent bien apporter une
solution
définitive aux problèmes du surmenage et du paupérisme. C’est un résu
6
a production devant se maintenir, il n’y a qu’une
solution
: recréer le besoin. Pour cela, on abaisse les prix. Le client fait l
7
d’échapper au fatal dilemme. Premiers pas vers la
solution
: l’existence du dilemme. Second pas : en poser les termes avec nette
8
dans sa pitié, leur envoya un ange porteur d’une
solution
fort simple qui d’ailleurs était la bonne, car le grand Remède, c’est
9
n instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de
solution
de continuité, la différence n’étant qu’une question d’âge, non d’exp
10
instituteur : de l’un à l’autre, il n’y a pas de
solution
de continuité, la différence n’était qu’une question d’âge, non d’exp
11
me impuissance. Ils désirent également donner une
solution
décisive au problème de l’homme ; ils manquent également de cette éne
12
ante. Une fois de plus, l’intelligence apporte la
solution
d’une hypocrisie que la révolte rend moins sympathique, certes, mais
13
ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres
solutions
… bh. « Voyage en Hongrie I », Bibliothèque universelle et Revue de G
14
dre le goût de ce qui, en Europe, « allongeait la
solution
», je ne puis m’empêcher de penser que cette peinture d’Aden est asse
15
son héroïne nous paraît être à tel point la seule
solution
possible qu’elle n’est plus du tout exemplaire et ne peut servir ni l
16
es — mais cela dispense-t-il de chercher d’autres
solutions
? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes, ils ne l
17
ble. Car la question sociale n’admet peut-être de
solution
que personnelle. Il ne s’agit plus de la poser, sur le plan intellect
18
e, car cela mène pratiquement à l’acceptation des
solutions
officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le problème de la violence
19
et nunc, nous voici, protestants, en face de deux
solutions
synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
20
la vie possible, c’est-à-dire grande. Devant les
solutions
qu’on nous propose d’urgence, il est clair que toute impartialité ser
21
es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute
solution
mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de troisième t
22
ste et non marxiste surgit, s’affirme. 19. Toute
solution
systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
23
ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres
solutions
… 10. Toute l’échelle des ivresses : ivresses de la faim, de l’alcool
24
ont disciples d’Origène. Il doit y avoir d’autres
solutions
… [NdE] Cette note avait disparue de la version publiée en 1968 dans l
25
e intellectuelle du protestantisme, s’attarde aux
solutions
réformistes et pacifistes, et n’a pas tenté jusqu’ici d’édifier une d
27
e premier cahier, nous ont écrit ceci : « Quelles
solutions
pratiques apportez-vous ? On voudrait quelque chose de positif… » Nou
28
ce qu’elle se pose à eux-mêmes. Il n’y a pas de
solutions
, — il y a des ordres 1. Celui qui veut vraiment agir ne demande pa
29
la foi sait bien qu’il n’y a pas à demander de «
solutions
pratiques », car la foi est précisément une force qui se manifeste pa
30
in de leur donner des directives pratiques et des
solutions
positives, « discutables, certes, mais positives ». Si nous avions éc
31
s avions écrit, dans notre premier numéro, que la
solution
des problèmes sociaux réside, par exemple, dans un embrassement génér
32
situations humaines comportaient, en général, une
solution
chrétienne et des solutions humaines, également prévisibles et classé
33
aient, en général, une solution chrétienne et des
solutions
humaines, également prévisibles et classées d’avance ! Comme si la fo
34
ne l’imaginez peut-être, car si vous demandez des
solutions
pratiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas humain. Nous n’a
35
n question vos sécurités et vos incertitudes, vos
solutions
et vos questions mêmes. Nous ne pouvons qu’aggraver à vos yeux votre
36
ment les conflits essentiels ; rejeter toutes les
solutions
fabriquées par la « pensée chrétienne », et qui voudraient donner aux
37
de réponse, c’est-à-dire capable de prière. c. «
Solutions
pratiques ? », Hic et Nunc, Paris, n° 2, mars 1933, p. 37-42.
38
’éthique quotidienne. L’humaniste va chercher une
solution
humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
39
nnaître que nos vies comportent d’autant moins de
solutions
que nous sommes plus exigeants. Tout idéal atteint se retourne aussit
40
pas affectée de la dégradation immanente à toute
solution
humaine. Cette sagesse dit oui à toutes les contradictions du monde.
41
e. Ce serait dire qu’elle constitue finalement la
solution
au nom de quoi l’on refuse toutes les autres solutions. À ce moment p
42
tion au nom de quoi l’on refuse toutes les autres
solutions
. À ce moment précis, intervient la critique barthienne. Nous disons «
43
nt pas d’élaborer avec la lucidité nécessaire des
solutions
vraiment neuves et fécondes, elles devaient, dès la prise du pouvoir,
44
otalité vivante, lui donne un sens concret et une
solution
réelle. Nous pourrons promettre du pain, et nous en promettons dans l
45
rsonne ne peut songer sérieusement. On trouva des
solutions
élégantes. D’une part, la philosophie se transforma en histoire compa
46
ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La
solution
des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
47
roge Calvin. Que trouve-t-il ? Des arguments, une
solution
? Non point : un renversement du problème. Calvin ne fonde pas notre
48
thodoxie réformée. Non point comme on revient aux
solutions
toutes faites : plutôt comme on retrouve la véritable et profonde acu
49
elle position des problèmes — mais aussi quelques
solutions
fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service ind
50
limités par un système, par un programme, par des
solutions
toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
51
s, où se poursuit ce vieux débat, aucun espoir de
solution
réelle n’est plus permis18. Mais c’est ce plan que nous avons quitté
52
iste-spiritualiste. Je me refuse à voir en lui la
solution
de ce conflit mauvais qu’il fixe sans le dépasser. 19. L’aspect anim
53
timent très juste dans le goût du pratique, des «
solutions
pratiques » qu’affirme, depuis la guerre, un autre groupe de clercs,
54
limités par un système, par un programme, par des
solutions
toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
55
llenium chrétien. Nous voici donc en face de deux
solutions
synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
56
ue chrétienne doit d’abord condamner toutes les «
solutions
» que nous avons divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou bass
57
assurances tout humaines, dès qu’elle devient une
solution
« possible », dès qu’elle offre aux hommes des synthèses où ils trouv
58
l’éthique quotidienne. L’humaniste cherchera une
solution
humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
59
aliser ce christianisme. Je crois que toute autre
solution
, et en particulier, tout compromis partiel avec le marxisme, n’abouti
60
es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute
solution
mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième
61
lyser dans les Conclusions que voici. 56. Toute
solution
systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
62
n : en présence d’une donnée concrète, trouver la
solution
la plus humaine, la plus actuelle, sans accorder la moindre arrière-p
63
ste-centralisé). 2. — Chaque groupe proposera une
solution
qui tiendra compte (dans le cas le plus favorable) du programme du pa
64
les députés auprès des électeurs si par hasard la
solution
est adoptée. Accordons, pour simplifier, trente-trois pour cent d’inf
65
elle position des problèmes — mais aussi quelques
solutions
fort importantes. Indiquons simplement, ici, l’idée de ce service ind
66
timent très juste dans le goût du pratique, des «
solutions
pratiques » qu’affirme un autre groupe de clercs, fort désireux d’all
67
limités par un système, par un programme, par des
solutions
toutes faites. Voici le malentendu qui s’institue partout entre la po
68
llenium chrétien. Nous voici donc en face de deux
solutions
synthétiques « possibles », imposantes, établies. Qu’aurions-nous à l
69
ue chrétienne doit d’abord condamner toutes les «
solutions
» que nous avons divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou bass
70
assurances tout humaines, dès qu’elle devient une
solution
« possible », dès qu’elle offre aux hommes des synthèses où ils trouv
71
l’éthique quotidienne. L’humaniste cherchera une
solution
humaine qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le
72
liser ce christianisme. Je crois que toute autre
solution
, et en particulier, tout compromis partiel avec le marxisme, n’abouti
73
es, avec Proudhon, refusent toute synthèse, toute
solution
mécanique du conflit nécessaire et vital. Il n’y a pas de « troisième
74
évolutions — après les avoir faites. 49. Toute
solution
systématique du vrai conflit nécessité-liberté dans la mesure où elle
75
Suisse — c’est-à-dire qu’on écarte brutalement la
solution
fédéraliste qui seule eût pu permettre l’établissement normal de cett
76
mmes contenté d’indiquer au passage l’exemple des
solutions
fédéralistes qui furent réalisées à l’étranger.) Mais nous avons voul
77
ture manque de bras, — dit-on… J’espère avoir une
solution
moins défaitiste à vous offrir. — Et ce sera mon second exemple. Un é
78
rmisme monstrueux, ou le silence. Il n’y a pas de
solution
pratique dans l’économie actuelle. Ni de solution théorique dans l’un
79
solution pratique dans l’économie actuelle. Ni de
solution
théorique dans l’univers spiritualiste, pauvre paravent démodé qui ne
80
et de l’espèce la plus amie des abstractions, des
solutions
mathématiques, des statistiques et des plans fabuleux. 30. « Ford, c
81
it ni de droite ni de gauche, mais qui apporte la
solution
des problèmes qui se posent concrètement, au lieu de se perdre à rech
82
c les corporations locales est la seule et unique
solution
qui ait été envisagée en France, jusqu’ici. Si incroyable que cela pa
83
e destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle
solution
proposez-vous ? Écrire des articles pacifistes, ou traîner dans les c
84
essité des conflits humains. Mais il y a d’autres
solutions
que la guerre. Faire valoir toutes les différences, tous les contrast
85
iens à notre problème de la guerre en soi. Quelle
solution
donnez-vous à cette question de l’utilisation des forces obscures, br
86
moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une
solution
, étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une guerre créatr
87
souffrant ». Le presbytère de campagne serait une
solution
commode, surtout en regard des souffrances qu’il sait trop bien que l
88
out point d’appui, son élan meurt en anarchie. La
solution
de ce conflit est évidente, c’est peut-être pourquoi bien peu l’ont v
89
s qu’il s’agit d’orienter et de rendre fécondes :
solutions
nécessaires et solutions d’urgence ; coutume et loi abstraite ; créat
90
et de rendre fécondes : solutions nécessaires et
solutions
d’urgence ; coutume et loi abstraite ; création et automatisme ; libé
91
ses causes. Enfin, il définit sans équivoques la
solution
proposée par le néo-marxisme à cette crise. En gros, nous ne pouvons
92
our le croyant, Dieu n’est pas un problème, ni la
solution
d’un problème, mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assu
93
voue, est souvent beaucoup plus important que les
solutions
qu’on lui propose. Ainsi le problème de la culture. (Quelqu’un demand
94
ai de le résoudre, et la preuve qu’on pressent sa
solution
. Et qu’ainsi toute critique réelle suppose une intention de construct
95
ndes du désordre. Eux seuls peuvent concevoir des
solutions
nouvelles et en amorcer l’expérience. Ils se sont bornés jusqu’ici à
96
de faux problèmes, qui admettent une infinité de
solutions
, tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un e
97
Ils seraient au reste tout prêts à croire que les
solutions
par l’ingéniosité de leurs problèmes intellectuels peuvent servir de
98
ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La
solution
des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
99
consiste à croire que cette équation comporte une
solution
générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord
100
ation comporte une solution générale. Il n’y a de
solution
que personnelle (encore est-ce d’abord une « question »). La personne
101
our le croyant, Dieu n’est pas un problème, ni la
solution
d’un problème, mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assu
102
voue, est souvent beaucoup plus important que les
solutions
qu’on lui propose. Ainsi le problème de la culture. Quelqu’un demande
103
ai de le résoudre, et la preuve qu’on pressent sa
solution
. Et qu’ainsi toute critique réelle suppose une intention de construct
104
ndes du désordre. Eux seuls peuvent concevoir des
solutions
nouvelles et en amorcer l’expérience. Ils se sont bornés jusqu’ici à
105
de faux problèmes, qui admettent une infinité de
solutions
, tantôt purement figurées, tantôt brutales et écrasantes, dans l’un e
106
Ils seraient au reste tout prêts à croire que les
solutions
par l’ingéniosité de leurs problèmes intellectuels peuvent servir de
107
ibéraux spiritualistes qui aimaient à dire : « La
solution
des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle.
108
consiste à croire que cette équation comporte une
solution
générale. Il n’y a de solution que personnelle (encore est-ce d’abord
109
ation comporte une solution générale. Il n’y a de
solution
que personnelle (encore est-ce d’abord une « question »). La personne
110
dans le domaine de la culture, il ne reste qu’une
solution
: que l’écrivain vive de sa plume. Or, c’est cela qui devient imprati
111
-cycles ». Le roman-cycle, c’est, semble-t-il, la
solution
qu’adoptent naturellement les écrivains lassés de l’improvisation et
112
le langage politicien. La dictature est la seule
solution
de ceux qui refusent d’éduquer le peuple. Dictature ou éducation, voi
113
le sens d’abstention. Et l’on prévoit déjà une «
solution
diplomatique » des affaires d’Espagne. Rideau. Dividendes. Monopole d
114
uellement du fait de la carence des tentatives de
solutions
qu’on a voulu historiquement lui donner. Conscience vague, sans doute
115
taient la violence, les méthodes de violence, les
solutions
de violence, et qu’ils s’efforçaient d’y substituer une méthode de co
116
je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la
solution
d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
117
oyen normal de l’éducation, il n’y a plus d’autre
solution
que la contrainte. La dictature est un moyen grossier, souvent barbar
118
je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la
solution
d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
119
je viens de trouver dans un ouvrage littéraire la
solution
d’une question précise. Grâce à Colette, je sais maintenant pourquoi
120
oyen normal de l’éducation, il n’y a plus d’autre
solution
que la contrainte. La dictature est un moyen grossier, souvent barbar
121
verbe qui dit le contraire. Je pense que la vraie
solution
, la solution pratique de la psychose de crise qui énerve la bourgeois
122
le contraire. Je pense que la vraie solution, la
solution
pratique de la psychose de crise qui énerve la bourgeoisie n’est pas
123
esprit de pauvreté ». Et j’ajoute aussitôt que la
solution
pratique de la misère réelle, celle qui est vécue depuis longtemps ou
124
le langage politicien. La dictature est la seule
solution
de ceux qui refusent d’éduquer le peuple. Dictature ou éducation, voi
125
as un Führer de plus, mais au contraire, c’est la
solution
des problèmes que d’autres, n’ayant pu résoudre, ont essayé de suppri
126
lits jusqu’à leur pleine maturation, jusqu’à leur
solution
réelle. L’audace de faire passer cette mission créatrice avant l’inté
127
ales ; sa « mystique » de la liberté. Il n’y a de
solution
pratique que dans un vaste effort moral des grandes et des petites dé
128
totalitaire. Telle est mon « utopie » : c’est la
solution
pratique proposée par l’Ordre nouveau. Quant aux moyens d’y parvenir,
129
la violence par une violence du même ordre. Cette
solution
est la plus naturelle parce qu’elle n’est en somme qu’un réflexe. Ell
130
donnant l’exemple, dans nos pays, d’une meilleure
solution
de leur problème. Contre les excès agaçants de la propagande soviétiq
131
ore une fois. Ce que nous condamnons, ce sont des
solutions
et des doctrines au nom desquelles on veut réglementer le tout de l’h
132
le tout de l’homme, quand il s’agit en vérité des
solutions
et des doctrines d’un seul parti, d’une seule tendance, et la plus an
133
Il dépend en partie de nous que nous trouvions la
solution
de l’éternel problème individu-communauté. Il dépend en partie de nou
134
s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de
solution
pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience pourrait fo
135
envergure nous indiquent un type de réponse, une
solution
peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
136
onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une
solution
que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
137
e solution que je propose. Car outre qu’une telle
solution
probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
138
is que les problèmes dont on pressent au moins la
solution
, le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
139
thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «
solution
», pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
140
e destruction imbécile ? Lui. — Et alors, quelle
solution
proposez-vous ? Écrire des articles pacifistes, ou traîner dans les c
141
cessité de conflits humains. Mais il y a d’autres
solutions
que la guerre. Faire valoir toutes les différences, tous les contrast
142
iens à notre problème de la guerre en soi. Quelle
solution
donnez-vous à cette question de l’utilisation des forces obscures, br
143
moderne. Nous nions que la guerre soit jamais une
solution
, étant donnés ses instruments actuels. Nous voulons une lutte créatri
144
ales : sa « mystique » de la liberté. Il n’y a de
solution
pratique que dans un vaste effort moral des grandes et des petites dé
145
vie sentimentale et sexuelle puissent trouver une
solution
nouvelle ? Pour moi, répond Denis de Rougemont, il ne peut y avoir qu
146
ond Denis de Rougemont, il ne peut y avoir qu’une
solution
: le mariage chrétien, mais présenté d’une manière nouvelle. C’est-à-
147
ir dans leur réalité singulière, une à une. Cette
solution
, qui consiste à supprimer brutalement les données du problème, est d’
148
le prenant part à l’action. C’était évidemment la
solution
formelle. Encore fallait-il l’adapter à l’esprit chrétien du sujet. U
149
la preuve est faite, attestée par le sang, que la
solution
suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix, puisque l’aut
150
à chercher de ce côté les éléments d’une première
solution
. Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
151
point toutes les difficultés, elle en repousse la
solution
d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
152
icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la
solution
se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
153
ne suis pas très sûr que ce problème comporte une
solution
définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
154
livré à lui-même). Je crois, comme Ortega, que la
solution
stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
155
cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une
solution
verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
156
« retours » littéraires — que la nécessité d’une
solution
nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
157
ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette
solution
s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle né de l
158
s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de
solution
pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience pourrait fo
159
envergure nous indiquent un type de réponse, une
solution
peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
160
onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une
solution
que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
161
e solution que je propose. Car outre qu’une telle
solution
probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
162
is que les problèmes dont on pressent au moins la
solution
, le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
163
thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «
solution
», pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
164
e point de l’évolution, dans cette angoisse, deux
solutions
paraissent possibles. Ou bien l’on cherche à recréer la communauté pr
165
spectacle. Et voici, quelque peu schématisée, la
solution
où je suis parvenu. Parmi les forces individuelles les plus marquante
166
es autres rôles n’étant qu’épisodiques. (C’est la
solution
eschylienne du problème tout à fait analogue qui se posait lors des J
167
à chercher de ce côté les éléments d’une première
solution
. Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
168
point toutes les difficultés, elle en repousse la
solution
d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
169
icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la
solution
se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
170
énigme historique, dont plusieurs ont cru voir la
solution
dans l’hypothèse fort excitante d’une clandestinité de l’Église hérét
171
. Je ne prétends pas fonder sur pièces une de ces
solutions
textuelles et « scientifiques » après quoi, comme le dit Jaspers, « l
172
ne suis pas très sûr que ce problème comporte une
solution
définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
173
livré à lui-même.) Je crois, comme Ortega, que la
solution
stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
174
cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une
solution
verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
175
« retours » littéraires — que la nécessité d’une
solution
nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
176
ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette
solution
s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle, né de
177
s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de
solution
pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience, pourrait f
178
envergure nous indiquent un type de réponse, une
solution
peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
179
, par nature, à la conscience individuelle. Toute
solution
que je serais tenté de proposer, fût-elle jugée « la bonne » par le s
180
en même temps une sorte de tricherie, soit que la
solution
n’apporte en vérité qu’en essai de retour à l’équilibre ancien, dont
181
onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une
solution
que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
182
e solution que je propose. Car outre qu’une telle
solution
probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
183
is que les problèmes dont on pressent au moins la
solution
, le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
184
thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «
solution
», pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
185
à chercher de ce côté les éléments d’une première
solution
. Si l’on admet que l’aventure de Tristan devait servir à illustrer le
186
point toutes les difficultés, elle en repousse la
solution
d’une manière significative. En quoi le roman breton se distingue-t-i
187
icultés de l’intrigue : mais en fin de compte, la
solution
se trouve simplement reculée. 7.L’amour du roman Si l’on se rep
188
énigme historique, dont plusieurs ont cru voir la
solution
dans l’hypothèse fort excitante d’une clandestinité de l’Église hérét
189
. Je ne prétends pas fonder sur pièces une de ces
solutions
textuelles et « scientifiques » après quoi, comme le dit Jaspers, « l
190
ne suis pas très sûr que ce problème comporte une
solution
définitive et simple. Mais il me paraît important de reconnaître au m
191
livré à lui-même.) Je crois, comme Ortega, que la
solution
stendhalienne est d’abord inexacte, au regard des faits. Il existe un
192
cachent. De plus, n’est-ce point là le type d’une
solution
verbale ? Car dire que la passion est une erreur — elle l’est parfois
193
« retours » littéraires — que la nécessité d’une
solution
nouvelle est apparue en premier lieu. Cette solution s’appelle l’État
194
ution nouvelle est apparue en premier lieu. Cette
solution
s’appelle l’État totalitaire. C’est la réponse du xxe siècle, né de
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s je doute fort qu’il en résulte aucune espèce de
solution
pratique : car seul le mythe, c’est-à-dire l’inconscience, pourrait f
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envergure nous indiquent un type de réponse, une
solution
peut-être inévitable. La Russie de la Révolution connut un « déchaîne
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, par nature, à la conscience individuelle. Toute
solution
que je serais tenté de proposer, fût-elle jugée « la bonne » par le s
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en même temps une sorte de tricherie, soit que la
solution
n’apporte en vérité qu’un essai de retour à l’équilibre ancien, dont
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onnais dans ma vie. Et ce n’est à aucun degré une
solution
que je propose. Car outre qu’une telle solution probablement n’existe
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e solution que je propose. Car outre qu’une telle
solution
probablement n’existe pas, si elle existait ce serait pour moi seul :
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is que les problèmes dont on pressent au moins la
solution
, le dépassement. Or le moyen de dépasser notre dilemme ne saurait êtr
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thèse, et infiniment plus et autre chose qu’une «
solution
», pour qui croit que Dieu est fidèle, et que l’amour ne trompe jamai
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manité contemporaine exténuées par la misère. Les
solutions
totalitaires, malgré leurs manifestations brutales et le ton sur lequ
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sur lequel on les prône, ne sont en fait que des
solutions
de paresse intellectuelle, des solutions de misère, fardées de rhétor
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que des solutions de paresse intellectuelle, des
solutions
de misère, fardées de rhétorique héroïque. Le seul moyen de prévenir
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bérale : c’est tout le problème à résoudre. La
solution
fédéraliste Par quelle voie ? Je n’aime pas beaucoup la tolérance,
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la preuve est faite, attestée par le sang, que la
solution
suisse et fédérale est seule capable de fonder la paix, puisque l’aut