1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
1 non plus d’avoir troublé quelques bonnes petites somnolences par des cris intempestifs. Il y a des gens qui n’ont pas encore admis
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
2 ie sentimental. Vitraux, pénombre bleue, arpèges, somnolence de l’esprit, rêverie des sens… 147. W. Schlegel commença en 1808 une
3 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
3 ns dans une sorte d’euphorie constante, coupée de somnolences , d’heures de paresse, voire même de gueule de bois — et d’accès d’ent
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
4 ie sentimental. Vitraux, pénombre bleue, arpèges, somnolence de l’esprit, rêverie des sens… 165. W. Schlegel commença en 1808 une
5 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
5 ie sentimental. Vitraux, pénombre bleue, arpèges, somnolence de l’esprit, rêverie des sens… 154. W. Schlegel commença en 1808 une
6 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
6 et sucrée de la fumée, qui provoque à la fois la somnolence et l’insomnie. On n’arrivait plus à travailler ni à prendre du repos.