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on. Elle terrorise avec délices son chevaleresque
soupirant
, et l’on voit Polexandre, dans le roman de Gomberville, parcourir com
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on. Elle terrorise avec délices son chevaleresque
soupirant
, et l’on voit Polexandre, dans le roman de Gomberville, parcourir com
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on. Elle terrorise avec délices son chevaleresque
soupirant
, et l’on voit Polexandre, dans le roman de Gomberville, parcourir com
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dans les faiblesses, soumis à une même destinée,
soupirant
après les mêmes amours, tourmentés par les mêmes douleurs, fiers du m
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’est-à-dire de l’épreuve que la dame impose à son
soupirant
, et dont j’ai parlé p. 127 à 136, en la rapprochant du tantrisme. Dav
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uit à celui de l’épreuve qu’elle fait subir à son
soupirant
: Ma dame me met à l’essai et m’éprouve Pour savoir en quelle guise
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ants, chevaliers ou bergers, ne sont plus que des
soupirants
. Et si la mort qu’ils appellent leur est accordée, c’est sous la form