1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 sait « des complicités étranges pour assembler un sourire  ». Comme Max Jacob il lui arrive de situer une anecdote purement poét
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)
2 et qu’on s’ennuie. Si la vie est bête à pleurer, sourire est moins fatigant. « Le paon dédaigne encor mais ne fait plus sa rou
3 i le prosateur charmant du Pédagogue et l’Amour — sourit avec une grâce un peu frileuse et se permet de bâiller en public. On
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 es désirs contradictoires ; au gré du temps, d’un sourire , d’un sommeil, tant de bonheurs ou de dégoûts étranges viennent m’hab
5 tre des étiquettes sur mes actes… Déjà je sens un sourire — en songeant à ces raisonnements que je me tiens — plisser un peu me
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jacques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
6 nés de ses petits héros. M. Spitz cherche à faire sourire , on le sent ; pourtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a là
7 erche à faire sourire, on le sent ; pourtant l’on sourit  : il faut bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé, spirit
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
8 ferveur nouvelle, et chaque être un plus prenant sourire . Cependant que ma joie — un état de grâce, un amour — ne pouvait se s
9 est celle qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie, ce sourire des sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une liberté plus précieuse q
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Billets aigres-doux (janvier 1927)
10 é froide ? Oui, mais à qui s’adresser. Automne au sourire absent, Or luisant, terreau qui fume… Et tu laisses, ô col roide, En
11 r mensonge tu, Je m’enfuis vers d’autres rêves Où sourient quels anges fous. L’horaire dicte un adieu, La mode qu’on rie des ple
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
12 et s’approchait en faisant la roue — celle à qui sourit la Fortune. Urbain, fort d’une hérédité judiciaire et française, déda
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
13 evoir l’image d’un couple heureux et banal, votre sourire répondant au mien, comme on voit au dénouement des films populaires e
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
14 fourrure. Elle découvre en passant près de lui le sourire d’amitié mortel de tout ce qui n’arrive jamais. Il s’est trompé, ce n
15 de son enfance, une églantine, quelques roses, un sourire qui perce le cœur sur les glaces du passé. Cet abandon aux fuyantes c
10 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
16 Bouvier l’entraîne à mille lieues des jardins de sourires qui s’épanouissent sur les toiles de Meuron. Il semble toujours qu’il
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
17 t vieux, maintenant. » Je songeais justement à un sourire de mon amie quand il voulut m’adresser la parole après un silence ver
18 a parole après un silence vertigineux. Il vit mon sourire et pleura. Alors une rage s’empara de mon corps tout entier, je criai
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
19 que, « d’abord », son livre n’est pas sérieux. Il sourit . Vous ajoutez que le lyrisme des noms géographiques vous fatigue ; qu
13 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
20   On nous a parfois traités de fous (avec ou sans sourire ). Nous sommes à l’âge de nous en réjouir. On s’est beaucoup étonné de
14 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
21 t les dés brusquement, et me fixant avec un léger sourire  : — Jouez ! ordonna-t-il. La surprise vainquit ma timidité, je pris l
15 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
22 le finit donc par accepter et vint à nous avec un sourire du type le plus courant : « Vous êtes bien gentils, messieurs ! » Il
23 al et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la mesure de votre générosité. Vos boîtes de nuit sont des sortes d
16 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
24 armi les formes de l’ombre C’était l’aube et le sourire adorable de savoir la dansante liberté d’un désir à sa naissance L’
17 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
25 suré que l’on est désormais d’être absous avec le sourire par la clientèle des librairies romandes, en mal de cadeaux de Noël o
18 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
26 s son flanc une grotte s’illumine, et la Vierge y sourit . Le château royal avec son amiral régent et ses gardes blancs aux cas
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
27 des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les étriqués. On croit devoir se défendre : on se moque. On me dit :
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
28 des mots. Ce terme hindou agace, trouble ou fait sourire les étriqués. On croit devoir se défendre : on se moque. On me dit :
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
29 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
30 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
31 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
32 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques
33 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
34 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… 12. Rappelons que notr
22 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
35 norance de nos richesses, de fausses hontes et de sourires complices. La question toutefois doit être portée sur un plan supérie
23 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
36 ison pour ce garçon sérieux et maître de lui, qui sourit parfois doucement derrière ses lunettes d’écaille. C’est lui qui juge
24 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
37 le finit donc par accepter et vint à nous avec un sourire d’opérette : « Les Messieurs sont vraiment gentils ! » Il n’y avait p
38 al et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la mesure exacte de leur générosité. Vos boîtes de nuit sont des so
25 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
39 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va
40 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo
41 vec des écharpes et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage
26 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
42 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
43 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
44 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
45 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelque
46 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
47 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… xi Le retour d’Eszter
27 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
48 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. juin 1929 Paracelse et Swedenborg
28 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
49 page que chez mes burgraves. Les maîtres de lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
50 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va
51 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo
52 avec une écharpe et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
53 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
54 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
55 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
56 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques
57 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
58 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
59 page que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
60 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. 12 juin 1929 Paracelse et Swedenb
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
61 y, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opulente, vint de B
34 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
62 (Le « certain front unique » semblait alors vous sourire plus qu’à moi, je l’avoue, et je n’en persistai pas moins à souligner
35 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
63 tion d’une foi religieuse personnelle fait encore sourire le petit-bourgeois « progressiste », ou bien se voit taxée sans exame
36 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
64 atomies, des machines. Il sait de quoi se fait un sourire  ; il peut le mettre sur la face d’une maison, aux plis d’un jardin…
37 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
65 de la justice qu’ils ont cru concevoir ! M. Renan sourit avec mélancolie. Le clerc spiritualiste, prêtre de l’esprit pur, s’ad
38 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
66 N.-S. dans la rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis français ! p. « Conversation avec un SA », L’Ordre nouve
39 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
67 ntenant des milliers de poulets kolkhoziens. Elle souriait gentiment : tout change !… Il y a tout de même certaines choses qui n
40 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
68 gneusement toute communication avec le dehors… On sourit avec scepticisme, lorsque je dis que Paris a, lui aussi, son métro. »
41 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
69 rochait non sans aigreur, quand il ne faisait pas sourire les réalistes, le voilà repris et galvaudé depuis deux ans par toutes
42 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
70 ’est que je suis chômeur moi-même, Madame… » Elle sourit à son tour, de l’air de dire : Oh, vous, ce n’est pas la même chose.
71 bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs vagues sourires , à leurs timidités et aux distances télescopiques que tout cela met e
43 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
72 intéresser, et je lui donne la parole. » M. Palut sourit cordialement, et parle : — On a dit ici même que l’Église est contre
73 les connaissez beaucoup mieux que moi… Le pasteur sourit  : — Vous me faites plaisir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon c
44 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
74 ombe (L’Anneau des Löwensköld). L’auteur lui-même sourit entre les lignes. (Mais, seule, la naïveté moderne se figure qu’une l
45 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
75 intéresser, et je lui donne la parole. » M. Palut sourit cordialement, et parle : — On a dit ici même que l’Église est contre
76 s connaissez beaucoup mieux que moi… — Le pasteur sourit  : — Vous me faites plaisir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon
46 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
77 ’est que je suis chômeur moi-même, madame… — Elle sourit à son tour, l’air de dire : Oh ! vous, ce n’est pas la même chose. El
78 bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs vagues sourires , à leurs timidités et aux distances télescopiques que tout cela met e
47 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
79 , mais stable. — En somme, vous êtes content ? Il sourit , hausse un peu les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit part
80 sur le seuil un petit homme en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d
81 eux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre. Et soudai
48 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
82 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
83 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la v
49 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
84 e poule noire et ses treize poussins. Certains en sourient , de votre poule noire ; moi, je lui trouve une vertu particulière. Vo
50 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
85 , mais stable. — En somme, vous êtes content ? Il sourit , hausse un peu les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit part
86 sur le seuil un petit homme en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d
87 eux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre. Et soudai
88 uissant râle d’une nation possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’ami et le libérateur invincible
51 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
89 Certains cercles protestants, ajoute-t-il avec un sourire , paraissent n’avoir point encore remarqué la nature essentielle de l’
52 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
90 p de projecteur fait apparaître un petit homme au sourire extatique. Et tandis que cet homme s’avance lentement, en saluant d’u
91 our, le râle d’une nation possédée par l’homme au sourire extasié. Mais cet homme lui-même, qu’en pensez-vous ? Je ne l’ai vu q
53 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
92 ouple, il a la réserve affable des Suisses, et ce sourire des lèvres qui semble excuser le sérieux du regard. Il rit malicieuse
93 ux spécialistes du Moyen Âge ? Denis de Rougemont sourit avec malice : Les philologues ont un respect de la lettre qui leur ca
94 aines de ses théories un peu révolutionnaires. Il sourit avant de répondre, puis son visage devient plus grave : Je n’attache
54 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
95 s cheveux noirs en bataille, le geste large et le sourire généreux, voici Honegger, le musicien. À ses côtés, plus réticent, pl
55 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
96 ire… C’est aujourd’hui qu’il m’a fait son premier sourire . Nicolas. —  Allons, maintenant, au lit tout le monde ! Venez embr
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
97 ’on ne la prouvera pas. » Ce ton péremptoire fait sourire . De Bagdad à l’Andalousie, la poésie arabe est une, par la langue et
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
98 ’on ne la prouvera pas ». Ce ton péremptoire fait sourire . De Bagdad à l’Andalousie, la poésie arabe est une, par la langue et
58 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
99 nt de la liberté démocratique. » Cela ne fait pas sourire , quand on voit que c’est vrai. i. « Santé de la démocratie américai
59 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
100 z au culte de votre paroisse. » Certes, l’on peut sourire de la publicité qu’étalent les Églises de province, des grands pannea
60 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
101 r quelques pincées « pour le bon poids », pour le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là le mensonge
61 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
102 stes, réalistes… » Le diable ne répondit rien, il souriait , tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramasser sur le tro
103 , poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invitant qui découvre une éclatante dentition ! Comment cette belle h
104 re pire souffrance, son seul baume. Il a cessé de sourire , il est à son affaire, guettant les premiers plis de la panique à vot
105 ore, épargne-moi. Elle se détourna pour cacher le sourire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit enco
62 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
106 de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fu
63 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
107 rrête, au seuil de cette étude, et me dit avec un sourire d’indulgente incrédulité : — « Vous croyez donc au diable ? Auquel ?
108 jouter quelques pincées « pour le bon poids », le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là le mensonge
64 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
109 stes, réalistes… » Le diable ne répondit rien, il souriait , tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramasser sur le tro
110 , poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invitant qui découvre une éclatante dentition ! Comment cette belle h
111 re pire souffrance, son seul baume. Il a cessé de sourire , il est à son affaire, guettant les premiers plis de la panique à vot
112 ore, épargne-moi. Elle se détourna pour cacher le sourire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit enco
65 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
113 de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fu
66 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
114 rrête, au seuil de cette étude, et me dit avec un sourire d’indulgente incrédulité : — « Vous croyez donc au diable ? Auquel ?
115 jouter quelques pincées « pour le bon poids », le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là le mensonge
67 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
116 stes, réalistes… » Le diable ne répondit rien, il souriait , tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramasser sur le tro
117 , poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invitant qui découvre une éclatante dentition ! Comment cette belle h
118 re pire souffrance, son seul baume. Il a cessé de sourire , il est à son affaire, guettant les premiers plis de la panique à vot
119 ore, épargne-moi. Elle se détourna pour cacher le sourire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit enco
68 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
120 de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fu
69 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
121 r quelques pincées « pour le bon poids », pour le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là le mensonge
70 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
122 tes, réalistes… » Le diable ne répondit rien ; il souriait , tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramasser sur le tro
71 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
123 he à la Menjou et d’une boutonnière fleurie, d’un sourire charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc
72 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
124 main, s’en va d’un pas étrangement souple avec un sourire parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment
125 arfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment courageux — vous allez croire à de l’insouciance — vers une
126 aux chevilles des jeunes femmes ; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passants, les voisins d’autobus ou de t
73 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
127 leurs mélodies toujours si tristes, mais avec un sourire de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moins conscients que nous.
74 1946, Combat, articles (1946–1950). Tous démocrates (22 mai 1946)
128 le problème embrouillé à souhait, et je vous vois sourire diaboliquement, à votre tour. Mais nous sommes peut-être d’accord, en
75 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
129 us le bras, et des lunettes bourrues au-dessus du sourire de la plus fervente ironie ? Qu’est-ce qu’il grommelle sous son chape
76 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
130 ils, lorsqu’ils rencontrent une tête nouvelle, ne sourient guère. Ils tendent une main précise, accompagnée d’un regard qui jaug
131 e bonnes et de mauvaises fortunes, par chance… Le sourire large des Américains dissimule leur vraie tragédie : la solitude.
77 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
132 ’est, me dit-il, que le train a déraillé. » Et il sourit longuement, tandis que je perds mon temps à vérifier que tous les wag
133 r à la mer… Subitement, un coup de tampon, un bon sourire  : — Thank you, Sir ! And good luck to you ! C’est fini. Le monde s’ou
78 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
134 et l’éclat des costumes, et la joie rayonnante du sourire des étoiles : c’est leur au-delà ! Les descriptions du Paradis chez D
79 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
135 dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient à ces petites plaisanteries d’orateur qui amusent si facilement l’Amé
136 à) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires , aidés des quelques mots de schwyzer dütsch dont le séjour de Berne m
80 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
137 i monstrueuse, qu’il s’agisse de l’automobile, du sourire de la Joconde, ou des Variations Goldberg. Les copies seules sont acc
81 1946, Journal des deux mondes. Virginie
138 ache et d’une boutonnière fleurie à la Menjou, un sourire charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc
82 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
139 — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et trouvent que j’exagère, eh bien, chère amie, je souris. C’est ma m
140 dirigeants. Mais quand on le dit, on provoque le sourire ou des mines vaguement étonnées. — Qu’avez-vous à mettre à la place ?
83 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
141 ssi simplistes que la mienne méritent au mieux un sourire indulgent. « L’Amérique vous a contaminé », ajoutez-vous moins polime
142 le problème embrouillé à souhait, et je vous vois sourire diaboliquement, à votre tour. Mais nous sommes peut-être d’accord, en
84 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
143 — quand je vois que si je dis tout cela, les gens sourient et trouvent que j’exagère, eh bien, chère amie, je souris. C’est ma m
144 dirigeants. Mais quand on le dit, on provoque le sourire ou des mines vaguement étonnées. — Qu’avez-vous à mettre à la place ?
85 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
145 ssi simplistes que la mienne méritent au mieux un sourire indulgent. « L’Amérique vous a contaminé », ajoutez-vous moins polime
146 le problème embrouillé à souhait, et je vous vois sourire diaboliquement, à votre tour. Mais nous sommes peut-être d’accord, en
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
147 page que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux de Waldburg qui ne boivent que du lait ». Et nous se
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
148 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va
149 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo
150 vec des écharpes et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
151 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
152 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
153 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
154 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques
155 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
156 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
157 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. 12 juin 1929 Paracelse et Swedenb
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
158 intéresser, et je lui donne la parole. » M. Palut sourit cordialement, et parle : « On a dit ici même que l’Église est contre
159 connaissez beaucoup mieux que moi… » — Le pasteur sourit  : « Vous me faites plaisir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon c
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
160 ’est que je suis chômeur moi-même, madame… » Elle sourit à son tour, l’air de dire : « Oh ! vous, ce n’est pas la même chose. 
161 bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs vagues sourires , à leurs timidités et aux distances télescopiques que tout cela met e
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
162 , mais stable. — En somme, vous êtes content ? Il sourit , hausse un peu les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit part
163 sur le seuil un petit homme en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d
164 eux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre. Et soudai
165 uissant râle d’une nation possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’ami et le libérateur invincible
166 Certains cercles protestants, ajoute-t-il avec un sourire , paraissent n’avoir point encore remarqué la nature essentielle de l’
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
167 ’est, me dit-il, que le train a déraillé. » Et il sourit longuement, tandis que je perds mon temps à vérifier que tous les wag
168 r à la mer… Subitement, un coup de tampon, un bon sourire Thank you, Sir ! And good luck to you ! C’est fini. Le monde s’ouvre
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
169 et l’éclat des costumes, et la joie rayonnante du sourire des étoiles : c’est leur au-delà ! Les descriptions du Paradis chez D
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
170 dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient aux petites plaisanteries d’orateur qui amusent si facilement l’Améri
171 à) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires , aidés des quelques mots de schwyzer dütsch dont le séjour de Berne m
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
172 ar des centaines de milliers de tendrons. Elle me sourit avec cette grâce à la fois nostalgique et enthousiaste qui est le sec
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
173 main, s’en va d’un pas étrangement souple avec un sourire parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment
174 arfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment courageux — vous alliez croire à de l’insouciance — vers un
175 aux chevilles des jeunes femmes ; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passants, les voisins d’autobus ou de t
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
176 ache et d’une boutonnière fleurie à la Menjou, un sourire charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
177 a craie sur fond rouge, maigre et qui rit, plutôt sourit … Il arrive hier matin, plus ressemblant que jamais. « C’est la Savoie
100 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
178 i monstrueuse, qu’il s’agisse de l’automobile, du sourire de la Joconde, ou des Variations Goldberg. Les copies seules sont acc