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la procréation, mais par ailleurs divinisaient le
sperme
.55 Il est probable que des excès de ce genre se produisirent aussi c
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nt très nettement Aphrodite (de aphros, écume, ou
sperme
du dieu mutilé), qui préside à l’amour physique, et Éros, qui régit l
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ans leur organisme les hormones contenues dans le
sperme
. » Ce procédé est bien connu de l’Inde : les upanishads et les écrits