2
ue » et maladie « romaine » de la personne. La
spire
Si dans la Personne du Dieu-homme les deux natures s’unissent plei
3
éant un axe d’attraction verticale, il a élevé en
spire
un mouvement naturel qui tendait à devenir circulaire, et transformé
4
vertis. C’est ici que le cycle nouveau s’ouvre en
spire
ascendante et devient notre Histoire. Retour des phases, mais modi
5
e et devant ses « Barbares »… Le deuxième tour de
spire
a ramené les mêmes phases dans le même ordre de procession, si toutef
6
es gauchit perpétuellement : d’où ce mouvement de
spire
mouvante qui en résulte à nos yeux d’observateurs distants. Ceci enco
7
se de notre évolution qui correspond — un tour de
spire
au-dessus — à celle de l’expansion chrétienne. De même que la prédica
8
ptait l’une et rejetait l’autre à tout jamais, la
spire
rejoindrait l’axe, ou se muerait en cycle. Dans l’un et l’autre cas,
9
histoire. En suivant le cours manifesté de notre
spire
, nous n’avons donc jamais rencontré la personne, pour la raison bien