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r. Trop longtemps elle a cru pouvoir les ignorer (
spiritualisme
). Par un funeste et naturel retour elle risque aujourd’hui de succomb
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uillet 1933)e Le malaise De même que le «
spiritualisme
» du siècle dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce s
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ale de l’humanisme, du piétisme, du moralisme, du
spiritualisme
, de l’historicisme, de tout ce qui est œuvre de l’homme, pour atteind
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es ignorer et nous assistons à leur vengeance. Le
spiritualisme
les a déclarés vulgaires, et l’individualisme les a rationnellement i
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nité pâtit à tous les coups, soit que triomphe un
spiritualisme
sans corps ou que s’installe un matérialisme sans âme. ⁂ À ce degré d
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doute utile et astucieux de feindre d’y voir un «
spiritualisme
» dont leur matérialisme n’est que l’empreinte négative. On abuse sin
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eint de croire, qu’il ne s’agissait là que d’un «
spiritualisme
». De même, on a trop souvent confondu, et jusque chez les communiste
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qu’on voit partout inséparables : matérialisme et
spiritualisme
. Voici l’aspect de vérité que la personne éclaire en eux : le matéria
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est-il plus difficile d’être équitable envers le
spiritualisme
: c’est qu’il nous a fait plus de mal, et que l’erreur matérialiste e
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jet soit ou non présent. Mais alors le malheur du
spiritualisme
fut de se replier sur cette liberté pour la chérir dans sa précieuse
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La révolte matérialiste trouve dans la carence du
spiritualisme
une espèce provisoire de justification. Il y a dans cette révolte un
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es ignorer et nous assistons à leur vengeance. Le
spiritualisme
les a déclarés vulgaires, et l’individualisme les a rationnellement i
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de l’esprit bourgeois, une dernière survivance du
spiritualisme
, de la « belle âme », et, pour tout dire, de l’hypocrisie de la class
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u temps vide ? Le malaise De même que le «
spiritualisme
» du siècle dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce s
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eint de croire, qu’il ne s’agissait là que d’un «
spiritualisme
». De même, on a trop souvent confondu, et jusque chez les communiste
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doute utile et astucieux de feindre d’y voir un «
spiritualisme
» dont leur matérialisme n’est que l’empreinte négative. On abuse sin
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es ignorer et nous assistons à leur vengeance. Le
spiritualisme
les a déclarés vulgaires, et l’individualisme les a rationnellement i
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de l’esprit bourgeois, une dernière survivance du
spiritualisme
, de la « belle âme », et, pour tout dire, de l’hypocrisie de la class
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u temps vide ? Le malaise De même que le «
spiritualisme
» du siècle dernier mérite et conditionne le « matérialisme » de ce s
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eint de croire, qu’il ne s’agissait là que d’un «
spiritualisme
». De même, on a trop souvent confondu, et jusque chez les communiste
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os commissaires sont de bons écrivains. IV. Le
spiritualisme
consacre le préjugé utilitaire De tout ceci, retirons deux faits s
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correspond toujours dans l’histoire au maximum de
spiritualisme
distingué. Le culte des principes en soi : voilà ce qu’il faut au rég
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ions de la jeunesse qui repousse à l’unanimité un
spiritualisme
complice d’intérêts devenus criminels ; — constate : que le problème
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Il résume une fois pour toutes les équivoques du
spiritualisme
. Pilate a dit le droit : « Cet homme est juste. » Ayant dit ses raiso
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ils n’y croient qu’en théorie. Si bien que leur «
spiritualisme
» revient à tolérer sereinement l’exaction. 39. Cette échelle est au
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riedmann que nous sommes beaucoup plus opposés au
spiritualisme
qu’il ne l’est au matérialisme ; que notre condamnation du régime sov
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r : c’est que pour l’un, esprit signifie évasion,
spiritualisme
et duperie bourgeoise ; pour l’autre, présence effective de la pensée
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r : c’est que pour l’un, esprit signifie évasion,
spiritualisme
et duperie bourgeoise ; pour l’autre, présence effective de la pensée
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r : c’est que pour l’un, esprit signifie évasion,
spiritualisme
et duperie bourgeoise ; pour l’autre, présence effective de la pensée
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ent aujourd’hui cette devise, pour l’opposer au «
spiritualisme
» autant qu’à la routine et au cynisme des conservateurs. Saint Paul
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uritaine, à mesure qu’elles « réussissaient ». Le
spiritualisme
transcendant des Juifs d’Orient au contact des coutumes occidentales,
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ire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur
spiritualisme
exalté ; par leur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus
33
s ambitieux et aux pompes sacrales de l’Église un
spiritualisme
épuré, ils aboutissent parfois, plus ou moins consciemment, à des doc
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ire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur
spiritualisme
exalté ; par leur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus
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s ambitieux et aux pompes sacrales de l’Église un
spiritualisme
épuré, ils aboutissent parfois, plus ou moins consciemment, à des doc
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ire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur
spiritualisme
exalté ; par leur doctrine de la « joie rayonnante » ; par leur refus
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e néglige la vie concrète, que je m’évade dans le
spiritualisme
, alors que je ne vois de salut pour l’esprit que dans la présence eff
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e néglige la vie concrète, que je m’évade dans le
spiritualisme
, alors que je ne vois de salut pour l’esprit que dans la présence eff
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e. Au-delà de tout idéalisme ou réalisme, de tout
spiritualisme
ou matérialisme, le réel vivant — faut-il dire le réalisant — apparaî
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ologie, forme première du paradoxe vivant dont le
spiritualisme
, puis le matérialisme, sont deux manières de s’évader, l’une par en h
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on puise aux deux sources à la fois, réconciliant
spiritualisme
et naturisme dans une alliance imprévue, mais lyrique. Avant d’analys
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du Dieu bon, et qui leur oppose en sourdine un «
spiritualisme
épuré », c’est-à-dire en fait un dualisme. Car l’homme est conçu déso
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s ambitieux et aux pompes sacrales de l’Église un
spiritualisme
épuré, ils aboutissent parfois, plus ou moins consciemment, à des doc
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ologie, forme première de paradoxe vivant dont le
spiritualisme
, puis le matérialisme, sont deux manières de s’évader, l’une par en h
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on puise aux deux sources à la fois, réconciliant
spiritualisme
et naturisme dans une alliance imprévue, mais lyrique. Avant d’analys
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du Dieu Bon, et qui leur oppose en sourdine un «
spiritualisme
épuré », c’est-à-dire en fait un dualisme. Car l’homme est conçu déso
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dans les déviations qualifiées par lesquelles le
spiritualisme
des Juifs d’Orient, au contact des coutumes occidentales, se mue en s
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ent aujourd’hui cette devise, pour l’opposer au «
spiritualisme
» autant qu’à la routine et au cynisme des conservateurs. Saint Paul
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lichés sur le « matérialisme occidental » et le «
spiritualisme
oriental » : dans quelle mesure traduisent-ils des réalités, et dans
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lles furent condamnées par les conciles pour leur
spiritualisme
excessif et unilatéral. Le conflit entre la science « matérialiste »
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xixe siècle et le christianisme rejeté vers le «
spiritualisme
pur » reposait donc sur un malentendu profond. Ce faux problème se vo
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le sud de la France : tous opposent à l’Église un
spiritualisme
épuré, tous condamnent le mariage — que le pape Grégoire VII vient d’