1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 les vices enlacés aux vertus, c’est un ricanement splendide comme un éclat de rire de condamné à mort et à l’éternité. Le diable
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 e par les seuls éclats d’un fanatisme à vrai dire splendide . (Qui me guérira de la honte de n’être pas Rimbaud ?) Plus que jamais
3 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
3 indéfinie. Plus tard je lus le livre qui me parut splendide … Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandais-je. Quelque chose d’assez mépr
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
4 italien. Tout au début je trouve ces deux phrases splendides  : « J’ai considéré tout cela d’un regard tranquille et subtil, et je
5 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
5 e par les seuls éclats d’un fanatisme à vrai dire splendide . Plus que jamais, il faudra s’appliquer à distinguer dans ce vertige
6 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
6 spirituelle une carrière de démesure et de délire splendide . S’il s’abandonne, il deviendra non pas ce chêne tutélaire (peut-être
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
7 e par les seuls éclats d’un fanatisme à vrai dire splendide . Plus que jamais, il faudra s’appliquer à distinguer dans ce vertige
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
8 italien. Tout au début je trouve ces deux phrases splendides  : « J’ai considéré tout cela d’un regard tranquille et subtil, et je
9 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
9 finie. (Plus tard, j’ai lu le livre, qui me parut splendide .) Qu’est-ce qu’une ombre ? me demandais-je. Quelque chose d’assez mép
10 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
10 e et l’hypocrisie missionnaire, ont détruit les «  splendides  » cultures des Indiens, des Aztèques et des Incas, et nos deux-cents
11 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
11 e d’Orient. N’oublions pas, dans cette génération splendide , les communes, les Ligues, les fédérations, et jusqu’à cette Féodalit
12 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
12 Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)aa Qu’est-ce qui persiste du poème qu’un jour ou l’autre nui
13 tur prochain (« Et à l’aurore… nous entrerons aux splendides villes »), Apollinaire hante la marge d’émotion entre le souvenir de
14 j’élirai ma demeure à jamais, près de vous, noms splendides  ! 21. Patmos, 1801-1802. 22. Mnemosyne III, 1803. 23. « Par le
15 . 826. aa. « Hölderlin dans le souvenir des noms splendides  », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 2,