1 le a laissé se faire au petit bonheur, la société stato-nationaliste et industrielle. Sur ce continuum sans ordre ni structure d’anarchie

2 le a laissé se faire au petit bonheur, la société stato-nationaliste et industrielle. Sur ce continuum, sans ordre ni structure, d’anarchi

3 e a laissé se faire au petit bonheur, la société stato-nationaliste et industrielle. Sur ce continuum, sans ordre ni structure, d’anarchi

4 tissement normal, sinon fatal, de tout le système stato-nationaliste lentement mis au point par le xixe siècle. Certes, Dunant, pas plus

5 es conditionnés par un siècle et demi d’éducation stato-nationaliste gratuite et obligatoire : uniformisation et mise au pas des corps par

6 on.) Résistances conditionnées par l’éducation stato-nationaliste Les nations sont immortelles (François Mauriac), tandis que les r

7 , à savoir la religion civique. C’est la religion stato-nationaliste fabriquée par la Révolution française et par Napoléon. Il ne faut pas

8 s conditionnés par un siècle au moins d’éducation stato-nationaliste gratuite et obligatoire : uniformisation et mise au pas des corps par

9 ion. Résistances conditionnées par l’éducation stato-nationaliste « Les nations sont immortelles » (François Mauriac), tandis que « 

10 le a laissé se faire au petit bonheur, la société stato-nationaliste et industrielle. Sur ce continuum, sans ordre ni structure, d’anarchi

11 es conditionnés par un siècle et demi d’éducation stato-nationaliste gratuite et obligatoire : uniformisation et mise au pas des corps par

12 ion. Résistances conditionnées par l’éducation stato-nationaliste « La France est immortelle », mais « l’Allemagne éternelle » (Fran

13 re dynamique des deux mouvements que la mentalité stato-nationaliste conçoit comme contraires : l’élan vers l’universel (communautaire, fé

14 ifiée de Hitler, extension continentale du modèle stato-nationaliste jacobin puis napoléonien, les fédéralistes européens opposent l’Europ

15 etenus. Absurde, impossible et réelle, la société stato-nationaliste a pour seule vertu d’être là. Écoutons Baudelaire : Le monde va fini

16 et de sa dynamique fondamentale, dans une société stato-nationaliste . Il y aurait donc une politique du nucléaire, elle serait caractérisé

17 ent résulterait nécessairement de la dissociation stato-nationaliste  : « Partout où règnent la contrainte géométrique et l’arbitraire des

18 ndre, forcer, interdire, qui définissent le style stato-nationaliste de gouverner. « Gouverner, c’est contraindre », écrivait Georges Pomp

19 itée, de la passivité civique, et de la servitude stato-nationaliste . L’empêcher de jurer dans sa langue, c’est en faire un furieux sépara

20 ur est typique de la mentalité de l’établissement stato-nationaliste , en laquelle se confondent les deux superstitions du « réalisme » des

21 Il y a, dans la révolte civique contre le diktat stato-nationaliste une puissante incitation à la région. Mais là aussi se manifeste la l

22 l’on accuse de « déviation » par rapport au credo stato-nationaliste . Quant à ceux qui objectent, au nom de leur conscience, ou de la paix

23 etenus. Absurde, impossible et réelle, la société stato-nationaliste a pour seule vertu d’être là. Écoutons Baudelaire : Le monde va fini

24 cal… Nous sommes en plein délire de sacralisation stato-nationaliste . d) La nation n’était rien au départ de la Révolution, que la devise

25 s (on n’avait pas osé le dire franchement, pudeur stato-nationaliste oblige) du type de la Regio basiliensis (helvéto-franco-allemande), d

26 s autres et dans les mêmes termes, au même délire stato-nationaliste . 16 mai 1969 Pour résumer toutes les agitations qui ont eu lieu en ju