1
usqu’aux logiciens de Vienne puis d’Oxford et aux
structuralistes
de Paris. Trois auteurs seront nos guides en cette quête : T. S. Elio
2
usqu’aux logiciens de Vienne puis d’Oxford et aux
structuralistes
de Paris. Il n’y a pas de rayonnement continental ou planétaire sans
3
modernes, existentialistes, freudo-marxistes, ou
structuralistes
; quand on répète que la mort de l’homme s’ensuit « logiquement » ; q
4
psycholinguistiques qu’on eût appelées plus tard
structuralistes
. Et il venait de signer avec Robert Aron La Révolution nécessaire, un
5
? Et par quel improbable privilège posthume ? Les
structuralistes
, en ce point, déclarent que l’homme n’existe pas, n’est qu’illusion,
6
modernes, existentialistes, freudo-marxistes, ou
structuralistes
; quand on répète que la mort de l’homme s’ensuit « logiquement » ; q
7
onde la linguistique, d’où naîtront les doctrines
structuralistes
des années 1960 et de nombreuses écoles américaines et françaises ill
8
de l’homme » lancées dans les années 1960 par les
structuralistes
français, notamment Lévi-Strauss, Foucault et Lacan. Quoique ces théo
9
ose qui le dominait. Ce qui motive les assertions
structuralistes
paraît donc simple : fuite devant la responsabilité personnelle ; dég
10
es pratiquer aujourd’hui, mais « l’entropologie »
structuraliste
entraîne une conséquence beaucoup plus grave : elle refuse l’homme qu
11
er la reproduction, la recréation permanente. Les
structuralistes
paraissent motivés par un profond ressentiment (au sens nietzschéen e
12
as vous qui parlez ou agissez — nous répètent les
structuralistes
—, c’est ça qui parle ou qui opère en vous. Objectivement, c’est mett