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la famille, votre pauvre oncle Charles… qui avait
stupéfié
la famille en devenant catholique…, puis Edmund Lely, cousin germain
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les moindres manœuvres de régiment ou de brigade
stupéfie
le lecteur étranger. Mais plus encore le ton de ces comptes rendus, o
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e parler et de théoriser dans un monde à ce point
stupéfié
par une guerre que personne ne voulait, et qui tout de même, était là
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c’est comme s’il s’éveillait d’une longue torpeur
stupéfiée
. Le temps de réfléchir est revenu. S’il n’y a rien dans le journal, c
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es inventions, tandis que l’Amérique vue d’Europe
stupéfie
par sa production standardisée. C’est que l’Européen s’ennuie plus vi
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’y abandonner le temps de cette lettre. Ce qui me
stupéfie
, c’est la paresse et la mollesse de l’imagination dans notre siècle.
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c’est comme s’il s’éveillait d’une longue torpeur
stupéfiée
. Le temps de réfléchir est revenu. S’il n’y a rien dans le journal, c
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’y abandonner le temps de cette lettre. Ce qui me
stupéfie
, c’est la paresse et la mollesse de l’imagination dans notre siècle.
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c’est comme s’il s’éveillait d’une longue torpeur
stupéfiée
. Le temps de réfléchir est revenu. S’il n’y a rien dans le journal, c
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sse ; 6° Le succès à l’étranger d’un Henry Miller
stupéfie
les éditeurs américains qui en entendent parler, mais non pas Truman
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es inventions, tandis que l’Amérique vue d’Europe
stupéfie
par sa production standardisée. C’est que l’Européen s’ennuie plus vi
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sobriété stricte. Ses connaissances bibliques me
stupéfiaient
. L’usage qu’il en faisait me semblait décevant. Là où Claudel prend s
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stricte sobriété. Ses connaissances bibliques me
stupéfiaient
. L’usage qu’il en faisait me semblait décevant. Là où Claudel prend s