1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 semble se rapprocher de moi. Il me raconte de ces superstitions qui ne sont enfantines que pour nos savants retombés en pleine barbar
2 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
2 sa nuit. Je saute quelques délires et pas mal de superstitions . Enfin cette expérience folle le mène à une découverte sur les sept s
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
3 à la Commission scolaire. Nous n’avions plus de «  superstitions grossières » comme celles qui touchent à l’action des étoiles par exe
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
4 s brillants météores ne troublent pas beaucoup ma superstition , par ailleurs fort grande. Tous ceux qui ont eu l’occasion de compare
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
5 à la Commission scolaire. Nous n’avions plus de «  superstitions grossières » comme celles qui touchent à l’action des étoiles par exe
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
6 s brillants météores ne troublent pas beaucoup ma superstition , par ailleurs fort grande. Tous ceux qui ont eu l’occasion de compare
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 lus incompréhensibles s’emparent de moi comme des superstitions . Tout mon avoir se fond dans une loterie qui peut-être n’a pas de gro
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
8 semble se rapprocher de moi. Il me raconte de ces superstitions qui ne sont enfantines que pour nos savants retombés en pleine barbar
9 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
9 lus incompréhensibles s’emparent de moi comme des superstitions . Tout mon avoir se fond dans une loterie qui peut-être n’a pas de gro
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
10 l’aspect absurde que nous leur connaissons, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs ne contredisent pas
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 lus incompréhensibles s’emparent de moi comme des superstitions . Tout mon avoir se fond dans une loterie qui peut-être n’a pas de gro
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 l’aspect absurde que nous leur connaissons, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs ne contredisent pas
13 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
13 as. » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis sur le premier ou sur le secon
14 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
14 s la neige avec une sorte d’innocence animale. La superstition rôde dans ces campagnes désertiques : il y a des fous, des femmes pos
15 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
15 s la neige avec une sorte d’innocence animale. La superstition rôde dans ces campagnes désertiques ; il y a des fous, des femmes pos
16 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
16 essistes » que nos enfants mettront au nombre des superstitions les plus étranges du siècle athée. Ils font ce qu’ils ont toujours vu
17 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
17 s ! » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis sur le premier ou sur le secon
18 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
18 essistes » que nos enfants mettront au nombre des superstitions les plus étranges du siècle athée. Ils font ce qu’ils ont toujours vu
19 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
19 s ! » Qu’il exprime la religion du travail, ou la superstition du loisir — c’est affaire d’accent mis sur le premier ou sur le secon
20 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
20 saire de Hegel était encore bien mal purgé de ses superstitions pseudo-scientifiques ! Mais il n’importe. Ce qui est admirable ici, c
21 Le « retour étemel » est alors le type même de la superstition née du cerveau d’un homme très excité. En somme, qu’est-ce que cela
21 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
22 ie unten. L’astrologie de Paracelse n’est pas une superstition de devin, c’est une science de la guérison fondée sur le principe hip
22 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
23 catastrophes faudra-t-il donc pour détruire cette superstition  ? o. « La situation politique en France », L’Ordre nouveau, Paris, n
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
24 i ne se croit pas observé, le laïque adonné à ses superstitions laïques les plus grossières. Tout ceci dans un seul exemple. L’homme
24 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
25 autonomie personnelle, d’invention. Raison contre superstition  : le schéma est peut-être primaire, il n’en traduit pas moins dans se
26 forme ait fait plus que la Renaissance contre les superstitions héritées du monde antique par le Moyen Âge. La vraie foi est pour la
25 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
27 qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. « Les autres forment l’hom
26 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
28 i ne se croit pas observé, le laïque adonné à ses superstitions laïques les plus grossières. Tout ceci dans un seul exemple. L’homme
27 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
29 autonomie personnelle, d’invention. Raison contre superstition  : le schéma est peut-être primaire, il n’en traduit pas moins dans se
30 forme ait fait plus que la Renaissance contre les superstitions héritées du monde antique par le Moyen Âge. La vraie foi est pour la
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
31 qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions déprimantes et, par méthode, paralysantes. « Les autres forment l’hom
29 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
32 rt qui rapporte « en doublage »… 20 janvier 1935 Superstition . — C’est de Casanova que Ligne écrit : « Il ne croit à rien excepté c
30 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
33 ésite pas à tirer bénéfice de la culture de cette superstition . S’il est vrai que certains individus « ont la veine » dans ces loter
34 je mentirais si j’écrivais que je n’y crois pas. Superstition  ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me formule en vertu d
35 ns assez heureux de cette découverte en moi d’une superstition réelle, capable de me faire agir, ou plus exactement, je suis heureux
36 ne accession à la condition générale ! Avouer ses superstitions , ce serait avouer ce qu’on a de plus individuel, de plus irréductible
37 ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses superstitions , c’est sans doute en vertu d’une prudence qui est le fondement même d
38 ue ». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes superstitions , il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu une contrepartie raiso
39 ades superstitieuses ? Accorder libre cours à nos superstitions , qui au point de vue psychologique sont notre vraie réalité, ce serai
40 éductibles, dans le sens du jeu le plus libre des superstitions que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très lentement sous l’inf
41 le voudra.) Ces deux faits définis, revenons à la superstition du peuple. Je l’approuve et je la partage en fait le plus souvent, qu
42 nc que l’homme se défend de moins en moins. Ses «  superstitions  » personnelles (son quant-à-soi), vaincues par une crise dont ce n’es
43 ement. L’homme cessant de croire à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la même manière aux lois et aux po
44 ’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos superstitions les plus valables que naissent par exemple la menace fasciste et l’en
31 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
45 rs du Nord ! — environnés de paysages de rêve, de superstitions folles, de folles vertus, de coutumes doucement tyranniques, tout cel
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
46 ésite pas à tirer bénéfice de la culture de cette superstition . S’il est vrai que certains individus « ont la veine » dans ces loter
47 t prendre 1/10e de billet. 20 janvier 1935 Superstition . — C’est de Casanova que Ligne écrit : « Il ne croit à rien excepté c
48 je mentirais si j’écrivais que je n’y crois pas. Superstition  ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me formule en vertu d
49 ns assez heureux de cette découverte en moi d’une superstition réelle, capable de me faire agir ; ou plus exactement, je suis heureu
50 ne accession à la condition générale ! Avouer ses superstitions , ce serait avouer ce qu’on a de plus individuel, de plus irréductible
51 ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses superstitions , c’est sans doute en vertu d’une prudence qui est le fondement même d
52 ue ». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes superstitions , il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu une contrepartie raiso
53 ades superstitieuses ? Accorder libre cours à nos superstitions , qui du point de vue psychologique sont notre vraie réalité, ce serai
54 éductibles, dans le sens du jeu le plus libre des superstitions que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très lentement sous l’inf
55 le voudra.) Ces deux faits définis, revenons à la superstition du peuple. Je l’approuve et je la partage en fait le plus souvent, qu
56 nc que l’homme se défend de moins en moins. Ses «  superstitions  » personnelles (son quant-à-soi) cessent d’agir et de s’efforcer cont
57 ement. L’homme cessant de croire à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la même manière aux lois et aux po
58 ’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos superstitions les plus valables, que naissent par exemple la menace fasciste et l’e
59 hrétienne, dans le socialisme, se fonde sur cette superstition bourgeoise : que le bonheur dépend mathématiquement (statistiquement)
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
60 ’avisait de le diriger contre la politique, notre superstition . « J’entends crier de toutes parts au mauvais citoyen. Le capitaliste
34 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
61 ie des aveux. J’ai même confessé certaines de mes superstitions . Il ne me reste qu’à persévérer, et c’est ce que je vais faire en vou
35 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
62 aux recettes de la Science avec la plus touchante superstition . Nous emboîtons le pas de la mode les yeux fermés. Mais quand la Scie
36 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
63 s. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange er
64 point… et qui introduit la nouveauté, sœur de la superstition , fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus ta
37 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
65 nel, elle a été interprétée généralement selon la superstition matérialiste111. On a « ramené » tout ce qu’on pouvait — et un peu pl
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
66 s. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange er
67 point… et qui introduit la nouveauté, sœur de la superstition , fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus ta
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
68 nel, elle a été interprétée généralement selon la superstition matérialiste129. On a « ramené » tout ce qu’on pouvait — et un peu pl
40 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
69 s. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de « ramener » le sublime à l’infime, l’étrange er
70 point… et qui introduit la nouveauté, sœur de la superstition , fille de l’inconstance ». Et saint Thomas eut beau, cent ans plus ta
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
71 nel, elle a été interprétée généralement selon la superstition matérialiste119. On a « ramené » tout ce qu’on pouvait — et un peu pl
42 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
72 de nouveau possible. Notre culture libérée de la superstition des lois fatales peut envisager de nouveau d’influencer le monde réel
43 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
73 ui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition … c’est la préoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente,
44 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
74 ui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition , […] c’est la préoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pen
45 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
75 ui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition , c’est la préoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente,
46 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
76 ui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition … c’est la préoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente,
77 à l’égard des fameuses « nécessités techniques », superstition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils ont pensé, et prouvé par le f
47 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
78 de nouveau possible. Notre culture libérée de la superstition des lois fatales peut envisager de nouveau d’influencer le monde réel
48 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
79 ui menace la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition … c’est la préoccupation, la passion du bien-être matériel. Sa pente,
80 à l’égard des fameuses « nécessités techniques », superstition des experts d’hier et d’avant-hier. Ils ont pensé, et prouvé par le f
49 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
81 races inférieures, besoins religieux qualifiés de superstitions . 10. L’expression psychological warfare est devenue courante dans le
50 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
82 . Pardon ! La science produit des preuves que les superstitions seraient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit ! Elle inv
51 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
83 . Pardon ! La science produit des preuves que les superstitions seraient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit ! Elle inv
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
84 l’aspect absurde que nous leur connaissons, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs ne contredisent pas
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
85 lus incompréhensibles s’emparent de moi comme des superstitions . Tout mon avoir se fond dans une loterie qui peut-être n’a pas de gro
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
86 ésite pas à tirer bénéfice de la culture de cette superstition . S’il est vrai que certains individus « ont la veine » dans ces loter
87 ndre un dixième de billet. 20 janvier 1935 Superstition . — C’est de Casanova que le prince de Ligne écrit : « Il ne croit à r
88 je mentirais si j’écrivais que je n’y crois pas. Superstition  ! Je m’étonne de ce que ce « reproche », que je me formule en vertu d
89 ns assez heureux de cette découverte en moi d’une superstition réelle, capable de me faire agir ; ou plus exactement, je suis heureu
90 ne accession à la condition générale ! Avouer ses superstitions , ce serait avouer ce qu’on a de plus individuel, de plus irréductible
91 ordinaire d’avouer sa réalité individuelle et ses superstitions , c’est sans doute en vertu d’une prudence qui est le fondement même d
92 ue ». Et si j’avoue et légitime la réalité de mes superstitions , il faut tout de suite que j’oppose à cet aveu une contrepartie raiso
93 ades superstitieuses ? Accorder libre cours à nos superstitions , qui du point de vue psychologique sont notre vraie réalité, ce serai
94 éductibles, dans le sens du jeu le plus libre des superstitions que j’ai dites, et dont l’éducation se fait très lentement sous l’inf
95 voudra.) Ces deux principes posés, revenons à la superstition du peuple. Je l’approuve et je la partage en fait le plus souvent, qu
96 nc que l’homme se défend de moins en moins. Ses «  superstitions  » personnelles (son quant-à-soi) cessent d’agir et de s’efforcer cont
97 ement. L’homme cessant de croire à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la même manière aux lois et aux po
98 ’un refoulement, puis d’un transfert fatal de nos superstitions les plus valables, que naissent par exemple la menace fasciste et l’e
99 hrétienne, dans le socialisme, se fonde sur cette superstition bourgeoise : que le bonheur dépend mathématiquement (statistiquement)
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
100 ’avisait de le diriger contre la politique, notre superstition . « J’entends crier de toutes parts au mauvais citoyen. Le capitaliste
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
101 et de sacré subsistants : sports, modes, slogans, superstitions nouvelles, « scientifiques ». — Sociétés trop vastes et informes pour
57 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
102 sa nuit. Je saute quelques délires et pas mal de superstitions . Enfin cette expérience folle le mène à une découverte sur les sept s
58 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
103 d’une confusion contre une autre confusion, d’une superstition contre un mythe, de quelques scélérats déclarés infaillibles contre u
59 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
104 me, dès qu’il se voit isolé par le sort, entre en superstition  : c’est sa voie clandestine. L’explorateur va découvrir au loin ses p
105 intimes. Se croire ou se sentir unique, c’est la superstition fondamentale. Et les autres s’ensuivent aisément, comme le corps quan
106 e tire les cartes, j’accepte le clin d’œil de mes superstitions improvisées. Qu’est-ce donc que cela ? Un moyen de me refonder sur me
107 m’entraînait dans sa mort naissante. » Poésie et superstition  : elles ont mêmes lois, mêmes incertitudes, mêmes échecs et mêmes réu
108 utume. Pourtant, c’est vrai.) ⁂ Bonne et mauvaise superstition , comme il y a bonne et mauvaise poésie. Ajoutons que le vrai supersti
109 . Ajoutons que le vrai superstitieux se moque des superstitions comme le vrai poète des sujets et des mots poétiques : ni plus ni moi
60 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
110 d’une confusion contre une autre confusion, d’une superstition contre un mythe, de quelques scélérats déclarés infaillibles contre u
61 1948, Articles divers (1948-1950). Essai sur l’avenir (1948)
111 . Pardon ! La science produit des preuves que vos superstitions seraient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit ! Elle inv
112 e draine et enflamme nos facultés irrationnelles, superstitions et préjugés locaux. Ces deux passions produisent des guerres, à la fa
62 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
113 critique pour ses créateurs et cependant cause de superstition nouvelle pour les masses, la science « qui guérit et qui tue » joue-t
63 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
114 rges sur un autel, et à cultiver toutes sortes de superstitions  ; tandis que le catholique moyen tient le protestant pour un demi-inc
64 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
115 ion de la nation. S’il n’était pas aveuglé par la superstition jacobine, il verrait comme nous tous que la souveraineté absolue n’es
65 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
116 ant à ce qui fut sa base, n’est plus guère qu’une superstition . Il entretient religieusement des attitudes garanties par une science
117 été conduits par leurs travaux bien au-delà de la superstition matérialiste, constatent que les frontières s’effacent entre le « fon
118 dopte une attitude docétiste. 28. En un sens, la superstition scientifique est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge
66 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
119 point… et qui introduit la nouveauté, sœur de la superstition , fille de l’inconstance ». Et saint Thomas, au siècle suivant, eut be
67 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
120 orité d’un prix Nobel garantit la valeur de cette superstition , dont nul profane n’oserait encore douter qu’elle se place dans le se
68 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
121 tenants attardés d’un certain historisme et de la superstition du « fait concret », ceux qui croient encore, sincèrement, que le vra
69 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
122 ant à ce qui fut sa base, n’est plus guère qu’une superstition . Il entretient religieusement des attitudes garanties par une science
123 été conduits par leurs travaux bien au-delà de la superstition matérialiste, constatent que les frontières s’effacent entre le « fon
124 dopte une attitude docétiste. 64. En un sens, la superstition scientifique est plus aveugle que celle qu’on reprochait au Moyen Âge
70 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
125 tique et jamais achevée, pourvoyeuse de nouvelles superstitions pour les masses mais se nourrissant elle-même d’esprit critique et de
126 is une œuvre achevée, un acte créateur. L’une des superstitions les plus curieuses de l’Occident se révèle là : prisonniers de l’Hist
71 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (juin 1960)
127 tions pour les hommes politiques, et finalement : superstition moderne du « sens de l’histoire », qui non seulement alimente les plu
72 1960, Articles divers (1957-1962). Originalité de la culture européenne comparée aux autres cultures (août 1960)
128 tions pour les hommes politiques, et finalement : superstition moderne du « sens de l’histoire », qui non seulement alimente les plu
73 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
129 ations pour les hommes politiques et finalement : superstition moderne du « sens inévitable de l’histoire », qui influence parfois s
130 universaliste : je nommerai le nationalisme et la superstition matérialiste. Il en va du nationalisme comme de notre rhume de cervea
74 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Soulèvement des puissances animiques
131 es, maladies mentales, racisme, vogue immense des superstitions et de la magie des charlatans, voilà la boue. La vague de l’érotisme
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
132 rgée soit portée dans ce pays, aussi bien que les superstitions romaines.112 Je juge que cette mission est la plus grande affaire de
76 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
133 de leur gouvernement ; je ne néglige pas même les superstitions européennes ; je m’applique à la médecine, à la physique, à l’astrono
77 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
134 public en ces lointains cadres politiques et leur superstition nordique au cœur même du christianisme. Comme la plupart de ses cont
78 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
135 t les despotismes. Brisons les glaives valets des superstitions et les dogmes qui ont le sabre au poing. Plus de guerres, plus de mas
79 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
136 e un facteur de développement culturel et devient superstition . Dans quelle mesure le siècle qui vient favorisera-t-il l’apaisement
80 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
137 ie. C’est l’esprit critique qui s’élève contre la superstition , cet esprit que célèbre Lucrèce en faisant l’éloge d’Épicure : « Alor
81 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
138 tique et le surnaturel, autant que la magie et la superstition . C’est enfin et surtout la notion d’une transcendance tout extérieure
82 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
139 erges sur un autel et à cultiver toutes sortes de superstitions , tandis que le catholique moyen tient le protestant pour un demi-incr
83 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
140 tions pour les hommes politiques, et finalement : superstition moderne du « sens de l’histoire », qui alimente de vives polémiques i
141 universaliste : je nommerai le nationalisme et la superstition matérialiste. Il en va du nationalisme comme de notre rhume de cervea
84 1970, Lettre ouverte aux Européens. III. La puissance ou la liberté
142 n de la nation. S’il n’eût pas été aveuglé par la superstition jacobine, il eût vu comme nous tous que la souveraineté absolue n’est
85 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte, suite et fin
143 t-nation et la religion de la production sont les superstitions fondamentales que partagent dans la même ferveur capitalistes et comm
86 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « Gagner le monde ou sauver son âme »
144 que d’écologie. Elle devrait battre en brèche la superstition bourgeoise du secret de l’économie et de la finance : après tout, les
87 1977, Articles divers (1974-1977). « Il faut changer de cap » (27 septembre 1977)
145 ine de nos maux actuels, il y a le gigantisme, la superstition des grandes dimensions. Or, nous constatons que les petits États ont
88 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
146 ues non sans avoir pesé ces risques, consulté des superstitions très personnelles, ou un ami, ou son conjoint. Pour calculer, il faut
89 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
147 ation. Et Barère poursuit : Le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton, l’émigration et la haine de la République parlent
90 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Un « Essai sur l’avenir » en 1948
148 . Pardon ! La science produit des preuves que vos superstitions seraient bien en peine de réfuter ou d’égaler. Elle guérit ! Elle inv
149 e draine et enflamme nos facultés irrationnelles, superstitions et préjugés locaux. Ces deux passions produisent des guerres, à la fa
91 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
150 -nationaliste, en laquelle se confondent les deux superstitions du « réalisme » des grands et petits bourgeois du xixe et du matéria
92 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
151 ationalistes, bien plus, de sa religion et de ses superstitions rigoureusement communes d’ailleurs aux Soviétiques et aux capitaliste
93 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
152 de leurs promesses et d’ailleurs partagent leurs superstitions , la croissance indéfinie par exemple. On s’en sortira, nous prometten
94 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
153 « décolonisation » un processus qui perpétue les superstitions les plus typiques des colonisateurs, parmi lesquelles l’idée du Progr
95 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
154 ux de nos capitales de pays colonisateurs, et nos superstitions les plus typiques, parmi lesquelles l’idée de Progrès matériel, l’idé
155 ns hérités du xixe siècle matérialiste et de ses superstitions spécifiques, telles que la Science, le Progrès, les nationalismes et
96 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
156 impénétrables même aux plus savants économistes. Superstition que les vrais économistes ne partagent pas, et dont les seuls bénéfic
97 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
157 hnologiques allégués par les promoteurs, sur leur superstition de la croissance. Ils voudraient nous faire prendre leurs désirs pour