1 rationnels. Nous ne pensons plus par ensembles7 : symptôme de fatigue. Mais tout cela : dégoût universel, désir de violences, gr

2 ance réciproque dont je viens d’indiquer l’un des symptômes les plus extérieurs ? Supposez, maintenant, que la collusion se produ

3 de tabac, les journaux, ne sont-ils pas autant de symptômes d’aliénation mentale ? La société de nos jours manifeste une tendance

4 qu’une science de mythomanes. J’y verrais même le symptôme d’une espèce de refoulement. Dès que l’homme, en effet, refoule sa vo

5 le premier temps du refoulement personnaliste, le symptôme évident de la débilité spirituelle qui favorise la dissociation de l’

6 qu’une science de mythomanes. J’y verrais même le symptôme d’une espèce de refoulement. Dès que l’homme, en effet, refoule sa vo

7 le premier temps du refoulement personnaliste, le symptôme évident de la débilité spirituelle qui favorise la dissociation de l’

8 part du temps à mettre un nom abstrait sur chaque symptôme , Paracelse ne veut nommer les maladies que par le nom de leur remède.

9 issement général auquel on s’est acheminé par des symptômes imperceptibles répandus sur toute la durée fastidieuse d’un long règn

10 Diderot est trop aisée. « Affaissement général », symptômes imperceptibles. On n’a qu’à se baisser, vraiment. Des éditeurs lancen

11 e bourgeoisie de chez nous. J’en vois partout les symptômes annonciateurs. » — On pourrait allonger la liste65. Mais en voilà ass

12 a limite de l’abaissement que je demande. D’un symptôme de décadence Pour mesurer la décadence de la culture, considérons

13 lus loin que la plus juste indignation contre des symptômes morbides. Il faut aller jusqu’à cette pitié corrosive qui s’attaque a

14 re qui préside à chacun de ses actes, je vois les symptômes cliniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des citoyens, qui est

15 a limite de l’abaissement que je demande. D’un symptôme de décadence Pour mesurer la décadence de la culture, considérons

16 lus loin que la plus juste indignation contre des symptômes morbides. Il faut aller jusqu’à cette pitié corrosive qui s’attaque a

17 re qui préside à chacun de ses actes, je vois les symptômes cliniques d’une maladie de l’esprit et du cœur des citoyens, qui est

18 tre considérée par un psychiatre chinois comme un symptôme de folie. Nous sommes fous sans nous en rendre compte ; toute notre v

19 lé d’une crise dont nous ne voyons encore que les symptômes superficiels, sporadiques et incohérents. ⁂ On sent combien serait va

20 lé d’une crise dont nous ne voyons encore que des symptômes superficiels, sporadiques et incohérents. ⁂ On sent combien serait va

21 tre considérée par un psychiatre chinois comme un symptôme de folie. « Nous sommes fous sans nous en rendre compte ; toute notre

22 puis la guerre de 1914-18. La SDN fut l’un de ses symptômes , bien faible encore. L’idée d’un réseau de pactes bilatéraux, ou à tr

23 ique du fédéralisme. Elle se manifeste par divers symptômes non trompeurs : intolérance morale, timidité intellectuelle, méfiance

24 rra prévenir la multiplication prochaine d’autres symptômes de la même névrose. Tout porte à croire que nous allons entrer dans u

25 rra prévenir la multiplication prochaine d’autres symptômes de la même névrose. Tout porte à croire que nous allons entrer dans u

26 rra prévenir la multiplication prochaine d’autres symptômes de la même névrose. Tout porte à croire que nous allons entrer dans u

27 pe mal relevée d’une grave opération à chaud, les symptômes du même mal, localement extirpé, mais maintenant diffus dans le corps

28 is la guerre de 1914-1918. La SDN fut l’un de ses symptômes , bien faible encore. L’idée d’un réseau de pactes bilatéraux en fut u

29 r, d’importantes sections de nos élites. D’autres symptômes d’un mal profond, dont l’hitlérisme fut la première crise ou le premi

30 r, d’importantes sections de nos élites. D’autres symptômes d’un mal profond, dont l’hitlérisme fut la première crise ou le premi

31 is la guerre de 1914-1918. La SDN fut l’un de ses symptômes , bien faible encore. L’idée d’un réseau de pactes bilatéraux en fut u

32 main nos frontières tombaient. Certes, il y a des symptômes de crise moins contingents, dans notre civilisation : conflits sociau

33 gaise, essayer au contraire de la décrire par ses symptômes cliniques, comme l’obsession qu’elle est ; ou parler de la Révolution

34 gaise, essayer au contraire de la décrire par ses symptômes cliniques, comme l’obsession qu’elle est ; ou parler de la Révolution

35 ù partit l’Aventure : l’Europe. Choisissant trois symptômes de cette crise — la désunion de l’Europe, la condition prolétarienne,

36 un de nos civilisations vivantes ? Ou encore, des symptômes spécifiques de notre seule culture européenne ? Il semble à première

37 des plus sérieux ou révolutionnaires montrent les symptômes d’une névrose attribuable au refoulement du spirituel. Tandis que d’a

38 pond chez nous — me disent les psychiatres — à un symptôme de névrose caractérisée. Cette peur est plus ouvertement avouée, voir

39 dans la littérature européenne, est peut-être le symptôme d’une proche agonie ; de même certains hommes deviennent voyants sur

40 , nous suivons clairement à la trace les premiers symptômes de notre événement, absolument semblable au premier par son cours et

41 de la poésie, de la philosophie n’est-elle pas le symptôme d’un proche épuisement de cette substance ? La dispersion et l’affair

42 on parle tant et qui se manifeste par de nombreux symptômes de dévitalisation n’est pas un sombre destin, ni une impénétrable fat

43 st le signe d’une maturité insuffisante. C’est le symptôme clé d’une culture restée en arrêt. Car, lorsque nous exécutons un act

44 ement général vers l’œcuménisme est sans doute le symptôme le plus frappant d’une renaissance spirituelle des églises. Qu’il s’a

45 ai dans cette étude à décrire quelques-uns de ses symptômes , et à marquer l’une de ses causes, la plus généralement inaperçue.

46 tte absence de réaction des Ligues constituent un symptôme frappant de l’espèce de schizophrénie dont j’ai rappelé les origines 

47 nctionnel, formule de l’avenir européen. Tous ces symptômes révèlent une inadaptation morbide de l’État-nation aux réalités polit

48 nte de réduction de tout au même cadre physique : symptôme d’une grave névrose (ou psychose) politique, qu’on nommera le complex

49 presque intolérable de leurs capitales. Tous ces symptômes révèlent une inadaptation morbide de l’État-nation aux réalités polit

50 totale, le totalitarisme, ne sont encore que les symptômes d’une évolution morbide, non la cause même du mal. Cette cause, il fa

51 experts sauraient tirer. Mais justement, l’un des symptômes les plus frappants de la crise que traverse l’Europe — et avec elle t

52 ouffre pas ? Celui-là seul qui s’en tiendrait aux symptômes extérieurs, si différents d’un côté à l’autre de l’océan. Vous êtes p

53 ute notre culture avec Kafka. Mais plusieurs des symptômes européens du mal commun se retrouvent en Amérique : l’isolement crois

54 nctionnel, formule de l’avenir européen. Tous ces symptômes révèlent une inadaptation morbide de l’État-nation aux réalités polit

55 nte de réduction de tout au même cadre physique : symptôme d’une grave névrose politique, qu’on nommera le complexe de Procuste.

56 ances du passé et nous continuerons à traiter les symptômes plutôt que les causes. » 1 1. J. W. Forrester, World Dynamics, Wr

57 le, dont le rapport du club de Rome décrivait les symptômes matériels et le syndrome fondamental : celui de la croissance illimit

58 le, dont le Rapport au club de Rome décrivait les symptômes matériels et le syndrome fondamental : celui de la croissance illimit

59 nière dramatique à bref délai. Énumérons quelques symptômes . 1. Les mégalopoles du type New York « ne sont plus gouvernables » (m

60 ici ou là, voire d’en éliminer pour un temps les symptômes . Une technologie plus poussée ne résoudrait rien par elle-même, tendr

61 On entend bien que ce ne sont là que signes, que symptômes d’un mal bien plus grave que les crimes par lesquels on dirait qu’il

62 de puissance mise sur la défensive ; et tous les symptômes habituels de la schizophrénie technologique. Mais en face, je vois to

63 sources, André Reszler me paraît tenté de voir un symptôme de décadence, de lassitude, finalement de rejet de l’Europe ou tout a

64 ns vu dans le succès qu’elles eurent un temps, le symptôme clinique de quelque chose de plus profond et inquiétant. Il y eut d’a

65 ndividualisme comme maladie de l’individu dont le symptôme est l’absence de civisme, et la centralisation étatique en route vers

66 croyait si méticuleusement athée… Au-delà de ces symptômes , je persiste à prévoir l’universelle mais souterraine propagation de