1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 ype du voyageur intelligent, qui n’accepte d’être séduit que pour « mieux comprendre », assez « fidèle » à ses origines pour g
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
2 me avec moins de prudence mais aussi de lucidité. Séduit par Gide ; admirant Maurras sans l’aimer ; saluant en Valéry une réus
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
3 t l’imagination. On comprend que ce doux-amer ait séduit Barrès, mais ne l’ait point trompé : « Avec son beau regard de rêve,
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
4 fait significatives à cet égard. L’on est d’abord séduit par la finesse et la mesure de leur argumentation, par leur côté vrai
5 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
5 au derrière. Drôles de révolutionnaires que l’on séduit par le mépris. Certes, ils sont conformistes pis qu’à la gauche, mais
6 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
6 s, n’ont pas toujours cette précision d’épure qui séduisait les clercs méticuleux, mais bien une sorte d’implacable agencement, c
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
7 ise occidentale et l’isolement où ils se voient ; séduits par certains résultats matériels et même moraux, et par l’euphorie ju
8 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
8 iable le fait à sa place, et contre l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal commun que nous devions
9 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
9 lement l’allure d’une force révolutionnaire. Elle séduit par son insolence. Le « bon sens » plein de verve et de saine vulgari
10 C’est la passion qui entraîne les hommes, et qui séduit leur générosité ou leur bassesse, et c’est parce qu’elle revêt un mas
10 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
11 iable le fait à sa place, et contre l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal commun que nous devions
11 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
12 ise occidentale et l’isolement où ils se voient ; séduits par certains résultats matériels et même moraux, et par l’euphorie ju
12 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
13 lement l’allure d’une force révolutionnaire. Elle séduit par son insolence. Le « bon sens » plein de verve et de saine vulgari
14 C’est la passion qui entraîne les hommes, et qui séduit leur générosité ou leur bassesse, et c’est parce qu’elle revêt un mas
13 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
15 able le fait à sa place, et contre l’homme, qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal commun que nous devions
14 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
16 ise occidentale et l’isolement où ils se voient ; séduits par certains résultats matériels et même moraux, et par l’euphorie ju
15 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
17 rer contre l’opinion générale. Celle-ci se laisse séduire par les seuls constructeurs. Mais alors, quel point de vue constructi
16 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
18 ttache, c’est de ne plus pouvoir « représenter », séduire , voyager, rouler auto, aller au théâtre, garder un appartement, etc.
19 évapore de nos vies. L’esprit pur a cessé de nous séduire  : nous posons nos regards à hauteur d’homme. Et nous voyons un monde
17 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
20 est pour eux un moyen de propagande, un moyen de séduire les droites et de faire peur à l’étranger ; mais l’arrière-pensée du
18 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
21 ine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu par la réalité dès q
19 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
22 ouer que par symboles trompeurs, — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè o
20 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
23 na Alcoforado, comme elle écrit à l’homme qui l’a séduite  : « Je vous rends grâces du fond de mon cœur pour la désespérance où
24 uelque au-delà de plus en plus mystérieux, apte à séduire le besoin d’idéal qu’avait laissé dans la conscience une connaissance
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
25 vouer que par symboles trompeurs — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè o
26 eu ne leur permettait que le bien40. » Pour mieux séduire les âmes, Lucifer leur a montré « une femme d’une beauté éclatante, q
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
27 na Alcaforado, comme elle écrit à l’homme qui l’a séduite  : « Je vous rends grâce du fond de mon cœur pour la désespérance où v
28 uelque au-delà de plus en plus mystérieux, apte à séduire le besoin d’idéal qu’avait laissé dans la conscience une connaissance
23 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
29 vouer que par symboles trompeurs — à ne plus nous séduire que par le charme et la secrète incantation d’un mythe ? 3.Agapè o
30 eu ne leur permettait que le bien. »33 Pour mieux séduire les âmes, Lucifer leur a montré « une femme d’une beauté éclatante, q
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
31 na Alcoforado, comme elle écrit à l’homme qui l’a séduite  : « Je vous rends grâce du fond de mon cœur pour la désespérance où v
32 uelque au-delà de plus en plus mystérieux, apte à séduire le besoin d’idéal qu’avait laissé dans la conscience une connaissance
25 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
33 , à quelques réactions impressionnistes. ⁂ Ce qui séduit , ce qui fascine dans ce Journal, ce n’est rien qui puisse être défini
26 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
34 amoureux de la révolution manquée par nous, mais séduite et violée par le voisin ; d’une nostalgie de cette communauté qu’ils
27 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
35 nazis ? Que des populations entières se laissent séduire  ? Que dans tous les pays, et non pas seulement en Allemagne, des homm
28 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
36 tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite , et j’en ai mangé.10 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus.
37 ntradiction torturante que souffre l’infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dans l’évasion ve
29 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
38 nazis ? Que des populations entières se laissent séduire  ? Que dans tous les pays, et non pas seulement en Allemagne, des homm
30 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
39 tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite , et j’en ai mangé.21 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus.
40 ntradiction torturante que souffre l’infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dans l’évasion ve
31 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
41 nazis ? Que des populations entières se laissent séduire  ? Que dans tous les pays, et non pas seulement en Allemagne, des homm
32 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
42 tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite , et j’en ai mangé.23 Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus.
43 tradiction torturante que souffre l’infini désir, séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dans l’évasion ve
33 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
44 lstoï, La Guerre et la Paix.) Cette page m’avait séduit par sa mauvaise humeur. En la copiant, je n’y vois plus que sophismes
34 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
45 tu fait cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite , et j’en ai mangé. » (Gen. 3:8-13) Voyez : ils vont se cacher, ils n’
35 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
46 manquez de méchanceté pour vos idées. Elles vous séduisent de loin et quand vous nous les présentez, elles ont déjà votre compli
47 Je veux dire : tout écrivain n’est-il pas d’abord séduit , ou au contraire vexé par ses images ou ses idées — avant toute raiso
48 cherie, c’est quand le philosophe ou l’essayiste, séduits par la clarté axiomatique, prétendent partir de vérités élémentaires
36 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
49 cours duquel un fonctionnaire du Château tente de séduire une jeune fille, illustre une situation analysée par Kierkegaard dans
50 sans parler de nos efforts tragi-comiques pour le séduire ou le duper. Le chevalier de la foi, revenu sur la terre ferme, aurai
37 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
51 e, à quelques réactions impressionnistes. Ce qui séduit , ce qui fascine dans ce Journal, ce n’est rien qui puisse être défini
38 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
52 otidiennement la chronique, là-bas. Avez-vous été séduit par l’Amérique ? Je l’aime énormément ; c’est une autre civilisation
39 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
53 amoureux de la révolution manquée par nous, mais séduite et violée par le voisin ; d’une nostalgie de cette communauté qu’ils
40 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
54 anser de cette joie de dire vrai ? Et comment les séduire au rythme sans défaut, sans relâche et sans repentir, d’une pensée qu
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
55 ttache, c’est de ne plus pouvoir « représenter », séduire , voyager, rouler auto, aller au théâtre, garder un appartement, etc.
56 évapore de nos vies. L’esprit pur a cessé de nous séduire  : nous posons nos regards à hauteur d’homme. Et nous voyons un monde
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
57 ue de publier après votre retour vos impressions. Séduit par l’idée de me voir nommé à titre d’adversaire déclaré du régime, j
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
58 est pour eux un moyen de propagande, un moyen de séduire les droites et de faire peur à l’étranger ; mais l’arrière-pensée du
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
59 amoureux de la révolution manquée par nous, mais séduite et violée par le voisin ; d’une nostalgie de cette communauté qu’ils
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
60 anser de cette joie de dire vrai ? Et comment les séduire au rythme sans défaut, sans relâche, et sans repentir, d’une pensée q
46 1947, Articles divers (1946-1948). La balance n’est pas égale entre les États-Unis et l’URSS (8 novembre 1947)
61 icain, pour éduquer le grand public, cherche à le séduire et lui fait trop de concessions, ce qui rapporte une quantité de doll
47 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
62 manquez de méchanceté pour vos idées. Elles vous séduisent de loin et quand vous nous les présentez, elles ont déjà votre compli
63 Je veux dire : tout écrivain n’est-il pas d’abord séduit , ou au contraire vexé par ses images ou ses idées, avant toute raison
64 cherie, c’est quand le philosophe ou l’essayiste, séduits par la clarté axiomatique, prétendent partir de vérités élémentaires
48 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
65 ine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu par la réalité dès q
49 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
66 olstoï, La Guerre et la Paix.) Cette page m’avait séduit par sa mauvaise humeur. En la copiant, je n’y vois plus que sophismes
50 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
67 à toute pensée qui par le style d’abord ne l’ait séduit . Il me parle souvent des Variations de Bossuet, avec une vive admirat
51 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
68 prenants de la part d’un grand chef qu’ils savent séduire sans passer par la voie du service. Les voici maintenant formés par l
52 1952, Articles divers (1951-1956). L’Heure de l’impatience (mars 1952)
69 t qu’Europe, aujourd’hui, risque à nouveau d’être séduite , cette fois-ci par un Ours, ou par un Aigle. Craignons plutôt le prud
53 1952, Articles divers (1951-1956). Robert de Traz, l’Européen (1952)
70 sse complaisante, ne souhaitons-nous plus qu’être séduits et passivement satisfaits ? Le snobisme bolchévique, le snobisme orie
54 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
71 mlet. Seulement, tandis que le roi Claudius avait séduit la reine, c’est de l’Église qu’abuse la doctrine édulcorée que la fou
72 ne l’écouterait. Il faut donc qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir attentif, toutefois sans trahir l
55 1953, Articles divers (1951-1956). Rudolf Kassner (1953)
73 t la difficulté, précisément, n’a pas cessé de me séduire et inciter. Je suppose qu’il est devenu banal de déplorer l’obscurité
56 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
74 st dialogue avec les forces naturelles qu’il faut séduire tout en leur obéissant. D’où « l’inadaptation » que notre esprit rati
57 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
75 st dialogue avec les forces naturelles qu’il faut séduire tout en leur obéissant. D’où « l’inadaptation » que notre esprit rati
58 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
76 out cela compose une religion assez complexe pour séduire à la fois les peuples orientaux en pleine misère matérielle, et les O
59 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
77 a dû suivre un Maître cynique et brutal, qui l’a séduite et humiliée. Il m’interdit de lui parler. Je lui dis pourtant mon amo
78 fiter de son sommeil. Au matin, c’est elle qui le séduit  ! Commence la longue fuite du beau-père et de la fille, traqués par l
79 États-Unis73. Jusqu’au jour où Lolita s’échappe, séduite par un autre homme d’âge mûr qu’Humbert tuera. À 17 ans, mariée depui
80 st enlevée par un puissant politicien qui l’avait séduite quand elle était encore « une gamine ». Le docteur réussit à rejoindr
60 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
81 t la difficulté, précisément, n’a pas cessé de me séduire et inciter. Je suppose qu’il est devenu banal de déplorer l’obscurité
61 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
82 ser de nous demander avec inquiétude s’il va nous séduire … et de redevenir enfin le peuple confiant et résolu que nous sommes e
62 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
83 ultiforme pour pouvoir sinon satisfaire, du moins séduire tous les peuples du monde. Nous avons aussi vu qu’elle exporte ses pr
63 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
84 c, si l’on ose dire, l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la seule énergie du désir. Je ne l’imagine pas du tout comme que
85 les, il l’invite à entrer, fait un geste. « Il ne séduit pas mais il désire, et ce désir a un effet séducteur. » Non seulemen
86 ritable de la femme consiste en sa volonté d’être séduite … C’est pourquoi elle ne se fâche jamais contre son séducteur, du moin
87 contre son séducteur, du moins s’il l’a vraiment séduite  ».97 L’érotisme de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psy
88 dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fois. Au contraire, le Mari qui prendra
89 l’enfer, — c’est la dernière connaissance qui le séduit . Peut-être qu’elle aussi le désappointera comme tout ce qu’il a connu
64 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
90 naturelle et l’exubérance humaine l’ont aussitôt séduit . La situation du Mexique luttant pour son indépendance réelle contre
65 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
91 d’Étranger. À la question d’une femme qu’il veut séduire  : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina rép
66 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
92 a dû suivre un Maître cynique et brutal, qui l’a séduite et humiliée. Il m’interdit de lui parler. Je lui dis pourtant mon amo
93 fiter de son sommeil. Au matin, c’est elle qui le séduit  ! Commence la longue fuite du beau-père et de la fille, traqués par l
94 États-Unis17. Jusqu’au jour où Lolita s’échappe, séduite par un autre homme d’âge mûr qu’Humbert tuera. À 17 ans, mariée depui
95 st enlevée par un puissant politicien qui l’avait séduite quand elle était encore « une gamine ». Le docteur réussit à rejoindr
67 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
96 mlet. Seulement, tandis que le roi Claudius avait séduit la reine, c’est de l’Église qu’abuse la doctrine édulcorée que la fou
97 ne l’écouterait. Il faut donc qu’il commence par séduire le public, qu’il le force à devenir attentif, toutefois sans trahir l
68 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
98 ine (souvenir inconscient de la mère) — trop vite séduit par la plus fugitive ressemblance, toujours déçu par la réalité dès q
69 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
99 c, si l’on ose dire, l’absolu nihilisme moral. Il séduit par la seule énergie du désir. « Je ne l’imagine pas du tout comme qu
100 les, il l’invite à entrer, fait un geste. « II ne séduit pas, mais il désire, et ce désir a un effet séducteur. » « Non seulem
101 ritable de la femme consiste en sa volonté d’être séduite … C’est pourquoi elle ne se fâche jamais contre son séducteur, du moin
102 contre son séducteur, du moins s’il l’a vraiment séduite .26 » L’érotisme de Don Juan s’oppose à l’Éros antique, qui était psy
103 dans chaque femme réelle, c’est ce qui veut être séduit et qui ne peut l’être qu’une fois. Au contraire, le Mari, qui prendra
104 l’enfer, — c’est la dernière connaissance qui le séduit . Peut-être qu’elle aussi le désappointera comme tout ce qu’il a connu
105 d’Étranger. À la question d’une femme qu’il veut séduire  : « Ah ciel ! Homme, qui es-tu ? » le Don Juan de Tirso de Molina rép
70 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
106 à toute pensée qui par le style d’abord ne l’ait séduit . Il me parle souvent des Variations de Bossuet, avec une vive admirat
71 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
107 t la difficulté, précisément, n’a pas cessé de me séduire et inciter. Je suppose qu’il est devenu banal de déplorer l’obscurité
72 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
108 aussi gras et sanguin que Thomas d’Aquin — il ne séduit que par la démesure d’une inflexible discipline intime. Rien de moins
73 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
109 rer contre l’opinion générale. Celle-ci se laisse séduire par les seuls constructeurs. Mais alors, quel point de vue constructi
74 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
110 ltiforme pour pouvoir, sinon satisfaire, du moins séduire tous les peuples du monde. Nous avons vu aussi que l’Europe envoie da
75 1970, Articles divers (1970-1973). La place du livre dans l’information de l’homme moderne (1970)
111 e jamais, justement par là que le livre charme et séduit le plus au milieu d’un âge du travail, je veux dire de la précipitati
76 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
112 ltiforme pour pouvoir, sinon satisfaire, du moins séduire tous les peuples du monde. Nous avons vu aussi que l’Europe envoie da
77 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
113 bien le versant germanique que j’explore, d’abord séduit par Goethe, par son art de vivre autant que par ses écrits. Je lisais
78 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
114 d’un parti à la simple majorité. Mais seul pourra séduire la vérité celui qui aura conçu le plus haut sens. Inconcevable naïvet
79 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Aux origines : le Mythe et l’Épopée
115 profane, qui compose ses écrits pour distraire ou séduire , sans nul souci d’un rôle social, hors de toute liturgie civique. Le
80 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
116 ent dirigé des groupes d’études. Arthur Koestler, séduit par le climat intellectuel autant que par la beauté du lieu, s’y est
81 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
117 eublement des plus riches. Au xixe , la Polynésie séduit Gauguin, sans lui apporter rien d’essentiel que la Bretagne n’ait for
82 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
118 s’il était proposé aujourd’hui, ne pourrait guère séduire la volonté de puissance des États : on sait bien qu’ils accordent peu
83 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
119 nazis ? Que des populations entières se laissent séduire  ? Que dans tous les pays, pas seulement en Allemagne, des hommes subi
120 d’écrire le très germanique Heidegger — un temps séduit par les mythes du nazisme. Ayant pour force unique l’appel communauta
84 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
121 ent des citoyens. Ce n’est plus de violer mais de séduire . Ce n’est plus de « tenir son monde » mais de servir les habitants de
85 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
122 principes fondamentaux : — la non-résistance (qui séduira Tolstoï, et à travers lui, Gandhi) ; — l’unanimité quant à l’idéal pr
86 1978, Articles divers (1978-1981). « Que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? » (22 février 1978)
123 des gens soient plus attachés à leur voiture que séduits par vos thèses… Ils ne s’opposeront donc pas aux constructions décidé
87 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
124 e font traiter de « pépés » quand ils essaient de séduire la jeunesse par leur « discours » — mot qui va remplacer désormais le
88 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
125 anser de cette joie de dire vrai ? Et comment les séduire au rythme sans défaut, sans relâche et sans repentir, d’une pensée qu
126 naître et du même coup, il a perdu son pouvoir de séduire et de dénaturer le mouvement même de toute création, qui est amour. L
89 1983, Articles divers (1982-1985). Hitler, l’anti-prophète de notre siècle (10 février 1983)
127 nazis ? Que des populations entières se laissent séduire  ? Que dans tous les pays, pas seulement en Allemagne, des hommes subi
128 d’écrire le grand philosophe Heidegger — un temps séduit par les mythes du nazisme. Ayant pour force unique l’appel communauta
90 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
129 dit qu’Europe aujourd’hui risque à nouveau d’être séduite , cette fois-ci par un Ours ou par un Aigle. Craignons plutôt le prude
91 1988, Inédits (extraits de cours). Histoire
130 liquer la doctrine de Hegel à Proudhon, qui a été séduit au début, et qui a cru pendant longtemps qu’il était hégélien. Il n’a
92 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
131 it : « Ce n’est pas moi, c’est le serpent qui m’a séduite  ». Et le serpent, bien sûr, n’est plus là. Il n’est pas vrai de dire,