1
légresse rythmique. Je les vois frapper le sol du
talon
en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre tal
2
s, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre
talon
en changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose al
3
r seuls sur place ; de nouveau frapper le sol des
talons
, alternativement ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de gran
4
ris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des
talons
toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la d
5
eux de mer. Des grâces d’amazones avec un coup de
talon
qui les secoue jusqu’à la chevelure. Graves entre leurs éclats de rir
6
légresse rythmique. Je les vois frapper le sol du
talon
en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre tal
7
s, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre
talon
en changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose al
8
r seuls sur place ; de nouveau frapper le sol des
talons
, alternativement ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de gran
9
ris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des
talons
toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la d
10
eux de mer. Des grâces d’amazones avec un coup de
talon
qui les secoue jusqu’à la chevelure. Graves entre leurs éclats de rir
11
légresse rythmique. Je les vois frapper le sol du
talon
en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre tal
12
s, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre
talon
en changeant de main ; saisir la danseuse sous le bras (elle pose alo
13
r seuls sur place ; de nouveau frapper le sol des
talons
, alternativement ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de gran
14
ris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des
talons
toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la d
15
eux de mer. Des grâces d’amazones avec un coup de
talon
qui les secoue jusqu’à la chevelure. Graves entre leurs éclats de rir
16
ns à grandes enjambées, joyeux de sentir nos gros
talons
cloutés mordre dans le sol élastique. Soudain je suspendis mon pas :
17
? « La fourmi périssant de mort violente sous le
talon
d’un chrétien qui prie en marchant », — voilà qui pose à M. Monod le
18
le dérangement. Je me déplace. Elle entre sur ses
talons
plats, avec son chapeau de feutre gris souris relevé de côté, et le p
19
nnance fait irruption dans mon bureau, claque les
talons
, et m’annonce qu’on vient d’entendre à la radio que les Allemands son
20
légresse rythmique. Je les vois frapper le sol du
talon
en levant un bras, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre tal
21
s, la main à la nuque ; frapper le sol de l’autre
talon
en changeant de main ; saisir la danseuse sous les bras (elle pose al
22
r seuls sur place ; de nouveau frapper le sol des
talons
, alternativement ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de gran
23
ris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des
talons
toujours plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche, mains à la d
24
eux de mer. Des grâces d’amazones avec un coup de
talon
qui les secoue jusqu’à la chevelure. Graves entre leurs éclats de rir
25
nnance fait irruption dans mon bureau, claque les
talons
, et m’annonce qu’on vient d’entendre à la radio que les Allemands son
26
dérangement !… Je me déplace. Elle entre sur ses
talons
plats, avec son chapeau de feutre gris souris relevé de côté, et le p
27
ns à grandes enjambées, joyeux de sentir nos gros
talons
cloutés mordre dans le sol élastique. Soudain je suspendis mon pas :
28
pressaient trois hommes plus petits, l’un sur les
talons
de l’autre, le premier très gros et court, le second décharné, les te
29
chaussettes sont trouées, il teint à l’encre ses
talons
. En 1887, une espèce de vagabond sans bagage échoue dans un village d