1
habitations de l’île : toutes claires et propres,
tapissées
de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles
2
che, les jambes nues, nous courons sur les roches
tapissées
d’algues sombres dont le crépitement sous nos pas fait fuir et choir
3
che, les jambes nues, nous courons sur les roches
tapissées
d’algues sombres dont le crépitement sous nos pas fait fuir et choir
4
ne pipe neuve mais « déjà culottée », au fourneau
tapissé
d’une couche de charbon lisse. Cela me rappelle le vieux débat sur le
5
habitations de l’île : toutes claires et propres,
tapissées
de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles
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che, les jambes nues, nous courons sur les roches
tapissées
d’algues sombres dont le crépitement sous nos pas fait fuir et choir
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ne pipe neuve mais « déjà culottée », au fourneau
tapissé
d’une couche de charbon lisse. Cela me rappelle le vieux débat sur le
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el est sombre et bas à l’horizon des perspectives
tapissées
de hauts mimosas. C’est l’hiver et les maîtres sont absents. Mais la