1
r, retient le rocher. Étrange lieu que ce coin du
Tartare
, où la pesante logique de la matière est abolie pour peu que l’homme
2
e qui n’arrive jamais, et ne peut arriver dans le
Tartare
. Tantale, ne croyant pas à la résurrection, ni au pardon, ni au salut
3
r, retient le rocher. Étrange lieu que ce coin du
Tartare
, où la pesante logique de la matière est abolie pour peu que l’homme
4
e qui n’arrive jamais, et ne peut arriver dans le
Tartare
. Tantale, ne croyant pas à la résurrection, ni au pardon, ni au salut
5
siatique : Alexandre Nevski, vassal des occupants
tartares
, mais vainqueur des chevaliers teutoniques, et préférant la dominatio
6
il doit jour et nuit se battre non pas contre les
Tartares
et les Scythes, mais contre les hordes de brigands d’une mélancolie i
7
il doit jour et nuit se battre non pas contre les
Tartares
et les Scythes, mais contre les hordes de brigands d’une mélancolie i
8
rsan, le François et l’Espagnol, le Chinois et le
Tartare
, le chrestien et le juif ou mahometain ? Je dis que telles inimitiez
9
ie et Transylvanie), contre les Moscovites et les
Tartares
, un royaume de Pologne, enfin un royaume de Bohême. Pour associer ces
10
am-hi, Amalogdo-Chan, monarque de la Chine et des
Tartares
les plus orientaux, et Jakso Adjam-Saugbed, roy des Abyssins, qui a f
11
ue pour un maître. La raison en est que le peuple
tartare
, conquérant naturel de l’Asie, est devenu esclave lui-même. … C’est c
12
. … C’est ce qui a fait que le génie de la nation
tartare
ou gétique a toujours été semblable à celui des empires de l’Asie. Le
13
eux-ci, sont gouvernés par le bâton ; les peuples
tartares
par les longs fouets. L’esprit de l’Europe a toujours été contraire à
14
n, les peuples d’Europe l’ont appelé outrage. Les
Tartares
, détruisant l’empire grec, établirent dans le pays conquis la servitu
15
les habitants de ces climats vivaient, comme les
Tartares
ont toujours vécu, dans l’ignorance, dans la disette, dans la barbari
16
que par la non-mixtion ; et depuis l’arrivée des
Tartares
, ils ont gagné beaucoup. Antoine Rivarol (1753-1801), homme d’esprit
17
tre le fer sur son enclume ; les plus féroces des
Tartares
ont appris à craindre et à obéir. Les barbares indépendans n’occupent
18
ment une barrière impénétrable à la cavalerie des
Tartares
, et l’Europe n’a plus à redouter une irruption de barbares, puisqu’il
19
ique. Russie moscovite, ayant secoué le règne des
Tartares
, et se considérant, selon les termes de la lettre du moine Philotée à
20
ous n’avons rien construit, comme des Huns et des
Tartares
, mais en vue de quelque autre chose, que nous ignorons encore il est
21
e à l’Occident. Il n’y a pas si longtemps que les
Tartares
, déferlant à travers la Pologne, s’approchaient des frontières allema
22
es humains des vaines terreurs de l’Achéron et du
Tartare
. » Aux yeux de l’un des hommes auxquels l’union de l’Europe devra le