1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 ment, comme nous traversions une rue sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresser. Gérard dut le pr
2 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
2 les trams qui sonnent avec frénésie et les petits taxis rouges qui déferlent sur les boulevards comme une nuée d’insectes aff
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
3 nt tous destinés à la profession de chauffeurs de taxi . Si cette conception du pratique prévaut, il est à craindre que l’éco
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
4 nt tous destinés à la profession de chauffeurs de taxi . Si cette conception du pratique prévaut, il est à craindre que l’éco
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 laisse, la Légion d’honneur. Quand vous prenez un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez : à côt
6 rreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi , « nous deux le fantôme » comme on disait au village où je suis né, q
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 uilletons un peu ma Hongrie. 7. Les magnats en taxis La place Saint-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vid
8 urdité de notre époque, beaucoup ont dû louer des taxis démodés, au tarif inférieur. Des chauffeurs vautrés, la casquette de
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
9 ment, comme nous traversions une rue sillonnée de taxis rapides, le homard refusa obstinément de progresser. Gérard dut le pr
8 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
10 lletons un peu ma Hongrie. vii Les magnats en taxis La place Saint-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vid
11 urdité de notre époque, beaucoup ont dû louer des taxis démodés, au tarif inférieur. Des chauffeurs vautrés, la casquette de
9 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
12 it un amoureux de la France. Quand vous prenez un taxi passé onze heures, c’est double tarif, et pourquoi ? Regardez : à côt
13 rreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi , « nous deux le fantôme ». Ce soir-là, le fantôme ayant envie de mang
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
14 le froid paralyse la mâchoire. Les magnats en taxis La place Saint-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vid
15 urdité de notre époque, beaucoup ont dû louer des taxis démodés, au tarif inférieur. Des chauffeurs vautrés, la casquette de
11 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
16 nerveux, discontinu… Nos valises empilées dans un taxi , nous filons vers la porte d’Italie. 5 juillet 1935 Porte de C
12 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
17 s sont amenés dans la forêt de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en
13 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
18 rpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possib
19 ent tant… J’ai fini par trouver une place dans un taxi . Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail d
14 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
20 sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en
15 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
21 ons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis , les Ramblas presque déserts, et, dans le port, un petit bateau de gu
22 iants, plus de cigarettes, ni d’allumettes, ni de taxis , mais quelques officiers allemands en uniforme, dans une foule dépour
16 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
23 sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en
17 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
24 rpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possib
25 ent tant. J’ai fini par trouver une place dans un taxi . Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail d
18 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
26 rpentais des avenues interminables, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possib
27 ent tant. J’ai fini par trouver une place dans un taxi . Trois militaires, rentrant du Pacifique, s’y racontaient le détail d
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
28 le froid paralyse la mâchoire. Les magnats en taxis La place Saint-Georges, à Bude, est une place vraiment royale. Vid
29 urdité de notre époque, beaucoup ont dû louer des taxis démodés, au tarif inférieur. Des chauffeurs vautrés, la casquette de
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
30 nerveux, discontinu… Nos valises empilées dans un taxi , nous filons vers la porte d’Italie. 5 juillet 1935 Porte de C
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
31 a. J’ai pris les deux dernières places libres. Le taxi qui nous emmène au crépuscule traverse la cour du Louvre dans la lueu
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
32 ons-nous ? Troisième journée Barcelone sans taxis , les Ramblas presque déserts, et, dans le port, un petit bateau de gu
33 iants, plus de cigarettes, ni d’allumettes, ni de taxis , mais quelques officiers allemands en uniforme, dans une foule dépour
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
34 ntre nous, rien n’est plus important ! ⁂ Dans un taxi , la nuit. — Madeleine Ozeray (d’une voix angélique) : « Quel beau suj
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
35 8 heures. Salle : Basildon Room. Le chauffeur de taxi , comme on approche du Waldorf : « Y a du peuple ce soir. Ce serait-il
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
36 sont amenés dans les forêts de chasse au moyen de taxis aériens. Déjà la télévision en couleurs prouve qu’elle ne le cède en
26 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
37 nit le couple quelques instants pour la chasse au taxi , s’ils sortent ensemble. Et le reste, souvent, se perd dans les alcoo
27 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
38 nit le couple quelques instants pour la chasse au taxi , s’ils sortent ensemble. Et le reste, souvent, se perd dans les alcoo
28 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
39 l’Inde. La trouverai-je à Bombay ? Il appelle un taxi , et nous voilà partis. Nous avons quitté la voiture à l’entrée d’une
29 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
40 e à leur amie commune, la princesse de la Tour et Taxis , dédicace à Kassner de la Huitième Élégie de Duino, fin des Cahiers d
30 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
41 tat, mais Retinger veut davantage. Il donne à son taxi l’adresse de l’ambassade d’Allemagne. C’est l’heure du dîner. Retinge
42 restait 4 dollars en arrivant au port. Il prit un taxi , dit au chauffeur de lui faire voir tout ce qu’on pouvait voir de la
31 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
43 ilke à leur amie commune, la princesse de Tour et Taxis , dédicace à Kassner de la Huitième Élégie de Duino, fin des Cahiers d
32 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
44 ir bête si on les voyait marcher. Un chauffeur de taxi parisien me dit : — Je ne comprends plus les jeunes. Mon fils s’est a