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ient légèrement blanchi. Il me regardait avec une
terreur
ou je crus distinguer je ne sais quelle déchirante nostalgie. Pour lu
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es s’accrochèrent désespérément à ses manches. De
terreur
, le homard avait rougi : il conserva toute la nuit une magnifique cou
3
’un philosophe caractérisé, nous dit-on, par « sa
terreur
sincère de la vérité qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette
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ate tragiquement. Est-ce la fin ? Grande heure de
terreur
et de prière. Puis, « la page du ciel a été tournée », ils se relèven
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puissances impunément. « Ma santé fut menacée. La
terreur
venait… J’étais mûr pour le trépas… » Alors paraît le doute, entraîna
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Hanau, pour que l’on sente toujours vigilante la
terreur
bourgeoise. Matraques et revolvers au service de la Propriété : des v
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sse distinguer (ni eux) si c’est de volupté ou de
terreur
. La peur du sang, le goût du sang : ce sont là deux aspects morbides
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es s’accrochèrent désespérément à ses manches. De
terreur
, le homard avait rougi : il conserva toute la nuit une magnifique cou
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té au lendemain de l’affaire de Quiberon, sous la
Terreur
, deux ans après que sa petite cousine Charlotte ait cloué dans son ba
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autant de tentatives angoissées pour opposer à la
terreur
de Pan les ordonnances dictatoriales de l’esprit. Mais cet esprit n’e
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les lakistes ce même sentiment mêlé d’amour et de
terreur
, que ces mots soient intraduisibles en notre langue13 ? Alors que tou
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el : Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la
terreur
que commencent d’y semer nos faux dieux, ont réveillé quelques esprit
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ate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande heure de
terreur
et de prière… Puis, « la page du ciel a été tournée », ils se relèven
14
il le peut, sans souci de la règle commune, et la
terreur
domine cette anarchie, distribuant des condamnations d’autant plus ex
15
s prêtres donnent des idoles faites à l’image des
terreurs
de l’homme. Dans le culte de ces images, le peuple croit trouver son
16
vains seraient moins excités, moins excessifs. La
Terreur
qui règne en permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’
17
le pouvoir affermi. La justification des actes de
terreur
est à peu près la même de part et d’autre. C’est le bras vengeur du j
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il le peut, sans souci de la règle commune, et la
terreur
domine cette anarchie, distribuant des condamnations d’autant plus ex
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s prêtres donnent des idoles faites à l’image des
terreurs
de l’homme. Dans le culte de ces images, le peuple croit trouver son
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vains seraient moins excités, moins excessifs. La
Terreur
qui règne en permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’
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il le peut, sans souci de la règle commune, et la
terreur
domine cette anarchie, distribuant des condamnations d’autant plus ex
22
s prêtres donnent des idoles faites à l’image des
terreurs
de l’homme. Dans le culte de ces images, le peuple croit trouver son
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vains seraient moins excités, moins excessifs. La
Terreur
qui règne en permanence dans les revues d’avant-garde est le signe d’
24
etite minorité. Comment s’imposèrent-ils ? Par la
terreur
. Ils arrivaient dans un village, par petits groupes montés sur des ca
25
. Mais c’est qu’ils sont, sans le savoir, pour la
Terreur
et Robespierre. Non point pour la Terreur sanglante et les exécutions
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pour la Terreur et Robespierre. Non point pour la
Terreur
sanglante et les exécutions spectaculaires, mais pour le contrôle des
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le pouvoir affermi. La justification des actes de
terreur
est à peu près la même de part et d’autre. C’est le bras vengeur du j
28
fus de discuter. Et de là vient le terrorisme. La
Terreur
(jacobine, bolchéviste ou fasciste) a toujours dénoncé à la vindicte
29
ge, au contraire, nous propose des paradis et des
terreurs
d’une intensité séduisante. Serait-il le signe, ou l’entrée, d’une Vé
30
recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme,
terreur
ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait perdu sa fo
31
orique. Un peu plus tard, le sang coulera sous la
Terreur
; mais nous n’en sommes encore qu’à la « guerre en dentelles ».) Or c
32
Novalis. Dans la panique de la Révolution, de la
Terreur
, des guerres européennes, certains aveux deviennent possibles, certai
33
as revenir au réel, mais s’égarer dans la zone de
terreur
et dans les terrains vagues où se sont déversés tous les rebuts d’une
34
le sentimentalisme humanitaire qui accompagna la
Terreur
, voir le très curieux ouvrage d’André Monglond, Le Préromantisme fran
35
en du sang, des morts communs, et par celui de la
terreur
sacrée. C’est autour d’un tabou et autour des tombeaux, objets d’effr
36
isonne, c’est l’homme qui cherche à échapper à la
terreur
originelle, aux liens sacrés du groupe, et par là même à son principe
37
las. — Mon cœur tremble au-dedans de moi, et les
terreurs
de la mort m’environnent ! Ô mon Seigneur, as-tu trompé ton serviteur
38
! péril et gloire ! Hardi ! Taillez et culbutez,
Terreur
au loin par votre cri de guerre ! Tous. Sonnez le cor épouvanta
39
r désormais — renversant les destins, ta patrie ?
Terreur
sur nous ! Pleurez femmes, sanglotez — sur les foyers désertés — hou
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recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme,
terreur
ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait perdu sa fo
41
orique. Un peu plus tard, le sang coulera sous la
Terreur
; mais nous n’en sommes encore qu’à la « guerre en dentelles ».) Or c
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Novalis. Dans la panique de la Révolution, de la
Terreur
, des guerres européennes, certains aveux deviennent possibles, certai
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as revenir au réel, mais s’égarer dans la zone de
terreur
et dans les terrains vagues où se sont déversés tous les rebuts d’une
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le sentimentalisme humanitaire qui accompagna la
Terreur
, voir le très curieux ouvrage d’André Monglond, le Préromantisme fran
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recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme,
terreur
ou idéal : tel est le mythe qui nous tourmente. Qu’il ait perdu sa fo
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orique. Un peu plus tard, le sang coulera sous la
Terreur
; mais nous n’en sommes encore qu’à la « guerre en dentelles ».) Or c
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Novalis. Dans la panique de la Révolution, de la
Terreur
, des guerres européennes, certains aveux deviennent possibles, certai
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as revenir au réel, mais s’égarer dans la zone de
terreur
et dans les terrains vagues où se sont déversés tous les rebuts d’une
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le sentimentalisme humanitaire qui accompagna la
Terreur
, voir le très curieux ouvrage d’André Monglond, Le Préromantisme fran
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en du sang, des morts communs, et par celui de la
terreur
sacrée. C’est autour d’un tabou et autour des tombeaux, objets d’effr
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isonne, c’est l’homme qui cherche à échapper à la
terreur
originelle, aux liens sacrés du groupe, et par là même à son principe
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en du sang, des morts communs, et par celui de la
terreur
sacrée. C’est autour d’un tabou et autour des tombeaux, objets d’effr
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isonne, c’est l’homme qui cherche à échapper à la
terreur
originelle, aux liens sacrés du groupe, et par là même à son principe
54
te aux seuls chefs. Ici le diable joue avec notre
terreur
de nous reconnaître responsables de nos vies. Autrefois il avait reco
55
retrouvé, dans la figure qui symbolise toutes les
terreurs
du siècle, la plupart des aspects classiques du démon : l’esprit tomb
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te aux seuls chefs. Ici le diable joue avec notre
terreur
de nous reconnaître responsables de nos vies. Autrefois il avait reco
57
retrouvé, dans la figure qui symbolise toutes les
terreurs
du siècle, la plupart des aspects classiques du démon : l’esprit tomb
58
r ce qu’il appelle des esprits. Il est victime de
terreurs
inexplicables. Des cauchemars envahissent sa vie quotidienne, le pers
59
honneur blessé. Flamme aveuglante, vague de sang,
terreur
froide, ou goût du suicide. Ne me parlez pas de droits, vous n’y avez
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animé. Il se charge à nos yeux d’une puissance de
terreur
dont nous n’avions sans doute jamais eu l’expérience. Et pourtant c’e
61
puissances impunément. « Ma santé fut menacée. La
terreur
venait… J’étais mûr pour le trépas… » Alors paraît le doute, entraîna
62
du désespéré est un calcul toujours faussé par la
terreur
de perdre ce qu’on n’a même pas… Ainsi l’acte absolu, s’il l’imagine
63
l : Kierkegaard. Le grand mal de l’époque, et la
terreur
que commencent d’y semer nos faux dieux, ont réveillé quelques esprit
64
ate tragiquement. Est-ce la Fin ? Grande heure de
terreur
et de prière… Puis, « la page du ciel a été tournée », ils se relèven
65
ge, au contraire, nous propose des paradis et des
terreurs
d’une intensité séduisante. Serait-il le signe, ou l’entrée, d’une vé
66
de présages. Quelques années plus tard éclate la
Terreur
, balayant les symboles sacrés, les rites sociaux et les cérémonies do
67
our instaurer le culte dépouillé de la Raison. La
terreur
dans les arts vint au siècle suivant. Elle aussi fit la chasse aux «
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du réalisme social. C’est là que va triompher la
terreur
, se déchaîner la chasse impitoyable aux artifices de la fabulation. M
69
e la plus convaincante. 1. La dialectique de la
Terreur
et de la Rhétorique forme le sujet du grand livre de Jean Paulhan, pu
70
t au-dessus de lui. L’abîme ne lui inspire pas de
terreur
. Son visage est plein d’intelligence, de rêve et d’attente. C’est un
71
er quand je m’aperçois, et cette fois-ci non sans
terreur
, que la femme du banquier, elle aussi, n’a presque pas touché aux met
72
ait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans la
terreur
ou la méditation. (Cette réaction, je le crains, va se généraliser.)
73
ait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans la
terreur
ou la méditation. (Cette réaction, je le crains, va se généraliser.)
74
. Mais c’est qu’ils sont, sans le savoir, pour la
Terreur
et Robespierre. Non point pour la Terreur sanglante et les exécutions
75
pour la Terreur et Robespierre. Non point pour la
Terreur
sanglante et les exécutions spectaculaires, mais pour le contrôle des
76
e refus de discuter, d’où vient le terrorisme. La
Terreur
(jacobine, bolcheviste ou fasciste) a toujours dénoncé à la vindicte
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ait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans la
terreur
ou la méditation. (Cette réaction, je le crains, va se généraliser.)
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calembour, un non-mot, un retrait, et voilà les «
terreurs
» du catch dialectique, les costauds de la certitude rationnelle envo
79
de police, le favoritisme éhonté, la calomnie, la
terreur
, n’ont rien à voir avec l’esthétique, ont tout à voir avec le fascism
80
s ? L’étaient-ils pour le christianisme ? Pour la
terreur
? Pour le capitalisme ? Pour la bombe atomique ? S’ils avaient été pr
81
man américain. Nous ne voulons pas d’un régime de
terreur
, de parole asservie, d’épuration à froid, de discipline d’acier (c’es
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er quand je m’aperçois, et cette fois-ci non sans
terreur
, que la femme du banquier, elle aussi, n’a presque pas touché aux met
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man américain. Nous ne voulons pas d’un régime de
terreur
, de parole asservie, d’épuration à froid, de discipline d’acier (c’es
84
la condamnation du régime du parti unique, de la
terreur
, et en général de toute pression exercée par le gouvernement sur l’op
85
té au lendemain de l’affaire de Quiberon, sous la
Terreur
, deux ans après que sa petite cousine Charlotte ait cloué dans son ba
86
on fomentée par la propagande et maintenue par la
terreur
? Si nous refusons la calomnie ? Si nous refusons tous les insignes,
87
’Allemands de l’Ouest, quelle ne doit pas être la
terreur
de Mao Tsé-toung devant ses propres Chinois ? Car voici la situation.
88
es missi dominici n’allaient qu’à cheval. Mais sa
Terreur
valait les purges communistes, et son « cléricalisme » fut sans tache
89
ent et pourraient donc devenir ses juges. D’où la
Terreur
inévitable qu’il exerce, étant lui-même terrorisé. D’où le fait néces
90
, mais par la fascination de ses mythes et par la
terreur
même qu’il exerce. Dans les pays demeurés libres, le développement de
91
médiévales concernent les vergers. Le reste était
terreur
. 41. L’Encyclopédie de 1765 définit le loisir comme « le temps vuid
92
lement dupée par les prétextes humanitaires de la
Terreur
. Nous n’avons pas opposé à la propagande des Bons Tyrans je ne sais q
93
cent : il avait les mains rouges d’un agent de la
Terreur
. Mais nous disions que les chefs d’accusation produits par la « justi
94
lus ennuyeux, déjà, ce procédé de K. invoquant la
terreur
qui régnait au Kremlin — mais non pas à Paris ni à Rome, que l’on sac
95
lithique, enfin de leur connivence active avec la
Terreur
même régnant à l’Est, et dont on sait que la fascination leur a valu
96
i a motivé le génocide des koulaks, etc. C’est la
terreur
policière, la dictature, la folie acclamée du dictateur. Des poèmes c
97
té — le fait sans précédent archétypique — est la
terreur
de tous les « Moyen Âge ». Quand elle survient, quand on se voit cont
98
urgeoisie même et au Prolétariat (cette figure de
terreur
longtemps refoulée dans l’inconscient de la Société) — tout cela met
99
générale se trouvant désormais neutralisée par la
terreur
de mettre en œuvre ses moyens. Que l’URSS surmonte ou non sa crise co
100
thétique qui, faute de tradition, s’impose par la
Terreur
: le Soleil invaincu de Dioclétien annonce la swastika d’Hitler, comm
101
ciale, et signifie les sanctions immédiates de la
Terreur
. Ainsi la fuite devant tout engagement et l’absorption complète dans
102
es missi dominici n’allaient qu’à cheval. Mais sa
Terreur
valait les purges communistes, et son « cléricalisme » fut sans tache
103
ent et pourraient donc devenir ses juges. D’où la
Terreur
inévitable qu’il exerce, étant lui-même terrorisé. D’où le fait néces
104
es et traditionnelles, qui pour se défendre de la
terreur
de l’histoire, disposait de tous les mythes, rites et comportements (
105
n ne peut plus désormais se défendre contre cette
terreur
que par l’idée de Dieu. En effet, c’est seulement en présupposant l’e
106
té — le fait sans précédent archétypique — est la
terreur
de tous les moyens âges. Quand elle survient, quand on se voit contra
107
nt-Just, complaisamment traité « d’archange de la
Terreur
». L’exemple de Saint-Just illustre tragiquement la situation plutôt
108
médiévales concernent les vergers. Le reste était
terreur
. 81. « Ein Minimum an Warum und Wofür », Ernst Jünger, Der Arbeiter
109
c’est une métapsychologie qui s’institue, dans la
terreur
et la pitié. L’humanisme n’est plus cette chose molle qu’on obtient e
110
mains de deux empires presque immobilisés par la
terreur
d’y recourir… Que pensaient et pressentaient ces deux génies de premi
111
, le psychologue paraît attendre davantage de la
terreur
qu’inspirent les armes physiques : « La guerre de demain, écrit Freud
112
onditionné procédant de ce traumatisme que fut la
Terreur
jacobine. Je parle évidemment des partis d’opinion ou d’idéologie, à
113
munistes russes mal ressuyés du stalinisme, cette
terreur
sincère devant le dialogue égal, réduit à peu de choses les chances d
114
résistances intérieures. L’État y répondra par la
Terreur
et par la guerre. Car, dit Hegel : Les nations divisées en elles-mêm
115
n de cerveaux à diriger. Nous pressentons dans la
terreur
et l’espérance ce que l’Occident peut devenir : soit s’engloutir dans
116
ccupée par cinq ou six hommes, ce ne fut pas sans
terreur
qu’il entendit soudain l’un d’eux dire à haute voix : « Savez-vous la
117
n de cerveaux à diriger. Nous pressentons dans la
terreur
et l’espérance ce que l’Occident peut devenir : soit s’engloutir dans
118
nes les plus grandes. Les hommes en proie à cette
terreur
toujours renaissante auraient craint de négliger leurs institutions m
119
eux qui s’y distinguaient. Mais aujourd’hui cette
terreur
a presque complètement disparu. On ne massacre guère les vaincus, et
120
ignation que l’habitude de l’humiliation et de la
terreur
ne peuvent étouffer dans l’âme des opprimés. … Peut-on douter que la
121
aumatisme agit encore, réflexe conditionné par la
Terreur
, dans l’esprit des Français et des Européens qui tiennent à se réclam
122
officier, ancien spéculateur, ancien détenu de la
Terreur
, économiste, ingénieur, écrivain, et futur fondateur d’une secte reli
123
cipé par le bien, par le mal, par la joie, par la
terreur
, par la haine ou par le fanatisme. Devenu ministre des Affaires étra
124
r contre elle, en libérant les humains des vaines
terreurs
de l’Achéron et du Tartare. » Aux yeux de l’un des hommes auxquels l
125
vont venir les nouveaux périls, la tyrannie ou la
terreur
. Parmi les vainqueurs, une Babel de voix confuses ; parmi les vaincus
126
urgeoisie même et au Prolétariat (cette figure de
terreur
longtemps refoulée dans l’inconscient de la Société) — tout cela met
127
et c’est ce que l’on a baptisé l’équilibre de la
terreur
. La prodigieuse réussite technique que représente la bombe H sert la
128
ucoup plus sensible aux autres… L’équilibre de la
terreur
repose bien moins sur une angoisse panique des peuples qui s’opposera
129
faveur d’un équilibre qui ne soit pas celui de la
terreur
, mais des diverses facultés humaines développées dans la liberté et u
130
plexes ». Ces expressions erronées répandirent la
terreur
chez les parents cultivés et chez les moralistes oublieux du fait que
131
ait jetés dans l’élucubration, plutôt que dans la
terreur
ou la méditation. (Cette réaction, je le crains, va se généraliser.)
132
calembour, un non-mot, un retrait, et voilà les «
terreurs
» du catch dialectique, les costauds de la certitude rationnelle envo
133
, mais par la fascination de ses mythes et par la
terreur
même qu’il exerce. Dans les pays demeurés libres, le développement de
134
ar la propagande et maintenue par la police et la
terreur
, si nous refusons la calomnie, si nous refusons tous les insignes et
135
ut y mettre la police, l’armée, la violence et la
terreur
pour aligner la réalité sur ce que quelques idéologues ont eu l’idée
136
souvent invoqués à propos de « l’équilibre de la
terreur
atomique », ou plus simplement à propos des sondages d’opinion publié
137
Europe à autre chose qu’à une tyrannie accrue. La
Terreur
jacobine aboutit à Napoléon. La révolution d’Octobre aboutit à Stalin
138
de relations humaines. Allons au fait : la grande
terreur
du séparatisme, qui se manifeste en Espagne comme en France, et en UR
139
tains, destructeurs de toute communauté, et de la
terreur
permanente qui règne au sein de la paix des lâches. Beaux résultats !
140
tion puisse être « renversé » par la violence, la
terreur
, l’anarchie systématique, ou « la Révolution » mythique dont parlent
141
ment mégalopolitain destructeur de communauté, et
terreur
permanente au sein de la paix des lâches. Beaux résultats ! Brillante