1 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
1 érieur. Ou moins encore, quelques syllabes et des tirets remplaçant le début ou la fin d’un verset, appels nostalgiquement pri
2 et22 Invocation du rythme, pouvoirs du signe23, tirets qui jalonnent un silence, et ce n’est pas seulement absence du son, d
3 de la page, et parfois prolongés par une suite de tirets signalant des reliefs sous-marins25. En cherchant à les compléter par
4 a Pléiade, paru en 1967, supprime par malheur ces tirets , que donnent toujours les éditions allemandes. 26. Cf. l’essai cité,