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ême tenté d’en écrire l’épopée dans Prikaz, cette
traduction
française de l’énorme cri de délivrance du peuple fou. Belles étincel
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ui ont dû l’inciter à l’acte recréateur qu’est la
traduction
d’un poète par un autre poète. Les quatrains sont ici précédés de Fra
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rvaient qu’à noter des mètres, il apparaît que la
traduction
de tels fragments est illusoire, car on ne peut songer à remplacer ce