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deux vers de son ami Hilaire Belloc dont voici la
traduction
: L’amour de Dieu qui mène aux royaumes d’en-haut est contrecarré par
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s, dans la très belle préface qu’il a donnée à la
traduction
française note avec raison que M. Baring se montre « quelque peu inex
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el que l’on n’ouvrît pas par ce roman la série de
traductions
de ses livres. Mais ce Journal, s’il est l’œuvre la moins forte du Da
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centrale du De servo arbitrio, dont une première
traduction
française va paraître, après un peu plus de 400 ans : je le vois au c
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pe de relations ecclésiastiques devait trouver sa
traduction
politique dans un fédéralisme plus ou moins accentué selon les nation
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re–octobre 1946, p. 621-639. ac. Il s’agit d’une
traduction
en français de « Ecumenicity and federalism », Christendom, New York,