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je me borne ici à suggérer. Voici en attendant la
traduction
d’un hymne de John Donne (1573-1661), le plus grand des « poètes méta
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étaphysiciens » de l’école anglaise. Une première
traduction
de cet hymne, dont nous nous sommes inspirés, a paru dans la Nouvelle
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ns la Nouvelle Revue française du 1er avril 1923 (
trad.
Jean de Menasce). N. B. — Le poème contient deux jeux de mots intr