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hose, et cela sans qu’intervienne aucun effort de
traduction
conceptuelle. En d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se fo
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venir, en moins d’un siècle, et à travers quelles
traductions
, aux initiés de l’Église d’Amour, et par eux aux poètes du Midi ? Je
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l’origine, tout est symbole religieux, et non pas
traduction
de relations humaines. Toutefois, le narcissisme inhérent à tout amou
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uissement de l’aile de Gabriel. — E. Dermenghem :
trad.
de plusieurs poèmes d’Ibn-al-Faridh (dans les revues Mesures, Hermès,
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Familier des Amants. 68. « C’est lui l’amour… »
trad.
Dermenghem, Hermès, déc. 1933. 69. Les modernes n’ont vu là qu’un ra
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e poésie (Hermès, juin 1936), où l’on trouvera la
traduction
de très belles légendes musulmanes sur la mort par amour (mystique).
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p. 298. 82. Histoire de Bailé au doux langage,
trad.
G. Dottin (L’Épopée irlandaise, Paris 1926). 83. H. Hubert, op. cit
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e Venusberg ! 85. Le Tristan et Iseut de Thomas,
traduction
française par J. Herbomez et R. Beaurieux, 1935.