1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 hose, et cela sans qu’intervienne aucun effort de traduction conceptuelle. En d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se fo
2 venir, en moins d’un siècle, et à travers quelles traductions , aux initiés de l’Église d’Amour, et par eux aux poètes du Midi ? Je
3 l’origine, tout est symbole religieux, et non pas traduction de relations humaines. Toutefois, le narcissisme inhérent à tout amou
4 uissement de l’aile de Gabriel. — E. Dermenghem : trad. de plusieurs poèmes d’Ibn-al-Faridh (dans les revues Mesures, Hermès,
5 Familier des Amants. 68. « C’est lui l’amour… » trad. Dermenghem, Hermès, déc. 1933. 69. Les modernes n’ont vu là qu’un ra
6 e poésie (Hermès, juin 1936), où l’on trouvera la traduction de très belles légendes musulmanes sur la mort par amour (mystique).
7 p. 298. 82. Histoire de Bailé au doux langage, trad. G. Dottin (L’Épopée irlandaise, Paris 1926). 83. H. Hubert, op. cit
8 e Venusberg ! 85. Le Tristan et Iseut de Thomas, traduction française par J. Herbomez et R. Beaurieux, 1935.
2 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
9 Tristan n’est qu’une impure et parfois équivoque traduction de la mystique courtoise. (Il arrive que les situations les plus appa
10 re, de saint Jean de la Croix, II, i, 1er verset. Trad. Hoornaert. 91. Ce n’est pas évident pour Eckhart (voir plus bas, cha
11 lèbre de R. Otto sur le Sacré a paru jusqu’ici en traduction française. 94. « Minne einiget nicht. Si einigt Wol an einem werke,
12 lle-ci : Lui demeure Dieu et elle demeure âme. » ( Trad. Mayrisch Saint-Hubert). Il faut bien dire que l’on se heurte dans tou
13 de la Nuit par le Jour dans sa Philosophie. (Cf. trad. française par H. Corbin dans Hermès, I, 1938.)
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
14 général. 133. La Tragédie de Roméo et Juliette, traduction P.-J. Jouve et G. Pitoëff. 134. Floris Delattre, Milton, 1937. (Intr
4 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
15 e chapitre et du suivant sont des citations de la traduction française. (Paris 1932.) 167. Qu’on se reporte à notre analyse du my
5 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
16 s troubadours (1856). C’est un lexique donnant la traduction d’environ 500 termes, comme par exemple : « Arbres morts ». — Les cat
17 vrés De leur frein naturel. Sa vie se consumait. ( Traduction Bossert.) Les trois derniers vers sont une parfaite confirmation de
18 in qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. ( Traduction Bossert.) Pour qui conserverait des doutes sur la nature de l’amour