1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
1 ’on me les oppose. Ce ne sont pas les termes d’un traité de paix. Entre moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les critiqu
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 evue ? Mais plus tard, plus tard. Tenez, voici un traité de métaphysique, vous lirez ça en attendant. Très bien fait. Excellen
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
3 e, sans lamentations d’adieu.   On nous a parfois traités de fous (avec ou sans sourire). Nous sommes à l’âge de nous en réjoui
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
4 Aragon, Traité du style (août 1928)as Ce n’est pas le seul talent de M. Aragon qu
5 ciles à cent célébrités locales. (Quant à Goethe, traité de clown, cela ne va pas loin.) C’est une belle rage (ô combien parta
6 ets qui enfin valent le respect. as. « Aragon : Traité du style (NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
7 Pierre-Quint vient d’écrire sur ce poète, qu’on a traité de fou et d’ange, un essai remarquable de netteté et souvent, d’indép
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 it la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’après le traité de Trianon ! Ces choses, je les ai rêvées sur un divan, à cause d’un
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voy
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
10 mystique se révèle au cours d’un épisode central traité en profondeur — roman-plongée pourrait-on dire —, d’une sourde et hau
9 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
11 lle Europe centrale. Il semblait que les noms des traités de 19, Versailles, Trianon, convenaient mieux au rococo des sentiment
10 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
12 it la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’après le traité de Trianon ! Ces choses, je les ai rêvées sur un divan, à cause d’un
13 des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voy
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
14 lle Europe centrale. Il semblait que les noms des traités de 19, Versailles, Trianon, convenaient mieux au rococo des sentiment
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 it la Hongrie, sur une Carte du Tendre d’après le traité de Trianon ! Ces choses, je les ai rêvées sur un divan, à cause d’un
16 des plans d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voy
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
17 u de l’inceste, par exemple, résiste encore ; les traités ne sont guère respectés, mais on discute solennellement leurs clauses
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
18 r de la Bible admiré par Fénelon, auteur de vingt traités sur la morale, la liturgie et la théologie qui furent traduits dans t
15 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
19 lement défini par la Sorbonne, entre autres. 7. Traité du désespoir, trad. Gateau (Gallimard), p. 178. C’est nous qui soulig
16 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
20 notre faute si le pays des petits rentiers et du traité de Versailles est tout de même aussi le dernier refuge continental de
17 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
21 jusqu’ici, un peu au hasard, il faut l’avouer, le Traité du désespoir 3 est de beaucoup la plus centrale, la plus révélatrice,
22 révélée par l’Évangile qui sauve. ⁂ La lecture du Traité n’est pas des plus aisées. Les termes hégéliens qui abondent dans les
18 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
23 eler certains arguments ; de les grouper en brefs traités . Dans le petit espace dont nous disposons pour aborder de si grands s
19 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
24 sse. 50. Traduite en français sous le titre de Traité du désespoir. 51. Rudolf Kassner, dans Commerce, n° XII. s. « Noti
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
25 de la vie. 56. L’instant. 57. Journal. 58. Traité du désespoir, p. 156. 59. Je ne reviendrai pas, ici, sur l’aspect ph
21 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
26 ire l’armée bolivienne, mais sans contrat, car le traité de Versailles interdit à la Bolivie d’utiliser les services des Allem
22 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
27 r les sentiments patriotiques. Elle aboutit à des traités « économiques ». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom
23 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
28 n nommait naguère lucidité, il se voit simplement traité d’« intellectuel impénitent ». L’expression, dans un certain sens, es
24 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
29 ement défini par la Sorbonne, entre autres. 37. Traité du désespoir, trad. Gateau (Gallimard), p. 178. C’est nous qui soulig
25 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
30 hilosophe abstrus, désespéré, voire nihiliste7 du Traité du désespoir ; et celui du psychologue lyrique et retors à la fois du
26 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
31 r les sentiments patriotiques. Elle aboutit à des traités « économiques ». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom
27 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
32 n nommait naguère lucidité, il se voit simplement traité d’« intellectuel impénitent ». L’expression, dans un certain sens, es
28 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
33 ement défini par la Sorbonne, entre autres. 30. Traité du désespoir, trad. Gateau (Gallimard), p. 178. C’est nous qui soulig
29 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
34 Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)n Ce que je voudra
35 r depuis les temps du Livre de Job, de ce profond traité théologique qui ne fait pas intervenir un seul concept abstrait, et q
36  217). n. « Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) », Hermès, Bruxelles-Paris, n° 4
30 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
37 ise, d’organiser la production ou de conclure des traités  ? Et si ce n’est pas le cas, ne ferait-il pas mieux de se limiter à s
31 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
38 Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)j On nous montre un Calvin maigre
39 ert-Marie Schmidt dans son introduction aux Trois traités que l’on vient de rééditer12. Le grand mérite de cette introduction,
40 amentaire à l’intérieur de la Réforme et c’est le Traité de la cène ; enfin, aux diverses mystiques de l’humanisme antichrétie
41 mystiques de l’humanisme antichrétien et c’est le Traité des scandales. Ce troisième traité n’avait jamais été réimprimé depui
42 en et c’est le Traité des scandales. Ce troisième traité n’avait jamais été réimprimé depuis sa parution en 1550. « Originale
43 se rompent le col en s’aheurtant ». Cet étonnant traité , tour à tour éloquent à l’antique ou rabelaisien dans la satire, pour
44 un des plus négligeables que comportent les Trois traités , M. Schmidt nous propose quelques définitions fort bien venues : Qui
45 et pompeux dans l’Épître, sobre et grave dans le Traité de la Cène, ce style garde partout les vertus qui, sans doute, font l
46 ts français de Calvin — c’est le cas de ces Trois traités — furent traduits par lui-même du latin. D’où la jeunesse de cette la
47 le doit commander toutes les autres. 12. Trois traités de Jean Calvin. Préface de Jacques Pannier. Introduction de A.-M. Sch
48 hmidt. (Éditions « Je sers », Paris.) j. « Trois traités de Jean Calvin », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 666, 20 juille
32 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
49 l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la Maladie mortelle 16, il venait justement de dépasser cette illu
50 gen ». 9. Apprentissage du christianisme. 10. Traité du désespoir, trad. Gateau, p. 105. 11. Isaïe 21, 11. 12. Lorsque S
51 amour. 16. Traduction française sous le titre de Traité du désespoir. C’est une laïcisation ! Kierkegaard se rapportait de la
33 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
52 n a traduit la Maladie à la mort sous le titre de Traité du désespoir, Kierkegaard a passé bientôt pour le coryphée du désespo
53 lentendus que je signalais ont valu à l’auteur du Traité du désespoir un « succès » dont il est peut-être temps de tirer certa
34 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
54 es, ni à l’Église, comme ce serait le devoir d’un traité dogmatique. Je m’adresse aux chrétiens, mais plus encore aux autres.
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
55 vous risquez une critique du marxisme, vous serez traité de cornichon : le communisme des bourgeois, c’est une mystique, un ly
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
56 nte répond admirablement à cette question par son traité De vulgari eloquentia. Le latin, en tant qu’il figure la persistance
57 e actuelle au xiiie siècle. Le titre même de son traité nous met en garde contre cette interprétation. Les « signes » latins,
58 tous les jours, de tous les hommes. Ce vigoureux traité de Dante marque un sommet. À l’apogée du Moyen Âge, il signale le sup
59 . L’interprétation du mythe de Babel dans ce même traité (I. VII) caractérise très bien cette attitude : c’est, selon Dante, l
60 t. I, p. 286. 31. Ibid., p. 284. 32. Calvin, Traité des scandales. On peut penser que le passage vise Érasme. « Il leur s
37 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
61 cyclopédies et fichiers, répertoires d’arguments, traités de rhétorique, histoire de la philosophie, table de logarithmes, stat
38 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
62 ts ouvriers, voter, aller à la messe, ratifier un traité , renverser un ministère, fusiller un camarade, prendre un rendez-vous
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
63 vous risquez une critique du marxisme, vous serez traité de cornichon : le communisme des bourgeois, c’est une mystique, un ly
40 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
64 nte répond admirablement à cette question par son traité De vulgari eloquentia. Le latin, en tant qu’il figure la persistance
65 e actuelle au xiiie siècle. Le titre même de son traité nous met en garde contre cette interprétation. Les « signes » latins,
66 tous les jours, de tous les hommes. Ce vigoureux traité de Dante marque un sommet. À l’apogée du Moyen Âge, il signale le sup
67 . L’interprétation du mythe de Babel dans ce même traité (I, vii) caractérise très bien cette attitude : c’est, selon Dante, l
68 t. I, p. 286. 32. Ibid., I, 284. 33. Calvin, Traité des scandales. On peut penser que le passage vise Érasme. « Il leur s
41 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
69 cyclopédies et fichiers, répertoires d’arguments, traités de rhétorique, histoire de la philosophie, table de logarithmes, stat
42 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
70 ts ouvriers, voter, aller à la messe, ratifier un traité , renverser un ministère, fusiller un camarade, prendre un rendez-vous
43 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
71 s quatre essais publiés jusqu’ici par Mounier, ce traité de la propriété est sans doute le mieux venu, le plus précis et situé
44 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
72 ve (23 mars 1937)g Le rêve, le romantisme ? Et traités en deux gros volumes qui, au surplus, sont une thèse de doctorat ?3 Q
45 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
73 rer qu’il s’agit d’un bouquin d’érudition ou d’un traité classique d’officier en retraite. C’est toute l’histoire de la premiè
46 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
74 Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)w Luther inconnu Dire qu’on igno
75 humain », parce qu’il attribue tout à Dieu. Le Traité du serf arbitre C’est sans doute dans cette perspective que le le
76 hèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas traités en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système, au sens philoso
77 vres morales. Que trouveront-ils dès lors dans ce Traité  ? Une verdeur de polémique qui peut flatter en nous le goût du pittor
78 argon d’aujourd’hui), tout est bien fait, dans ce Traité , pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui qui ne partage
79 on par un simple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue
80 ation purement biblique qu’on en trouvera dans le Traité du serf arbitre, malgré quelques détails exégétiques discutables, suf
81 lin 1935. w. « Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) », Foi et Vie, Paris, n° 2, mars-avril 1937, p. 221-
47 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
82 ins d’une cinquantaine d’auteurs célèbres qui ont traité le mythe de l’ombre perdue dans leurs romans, pièces, ou contes fanta
48 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
83 t l’ouvrage central de la réforme luthérienne, le Traité du serf arbitre 14. Ne fût-ce que sur le plan de la culture générale,
84 e ton de l’ouvrage. Mais on ne saurait réduire le Traité du serf arbitre à la querelle avec Érasme, qui lui servit de prétexte
85 égard, il n’est nullement exagéré de voir dans le Traité du serf arbitre une sorte de résumé — très peu systématique, et c’est
86 19 juin 1937, p. 5. Il s’agit d’une recension de Traité du aerf arbitre de Martin Luther, traduit pour la première fois en fr
49 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
87 vivre sans avoir pu les choisir à son goût. J’ai traité ces deux grandes questions de la culture et de la communauté dans un
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
88 , remarquablement cohérente. En somme, les grands traités mystiques de Swedenborg — dont l’influence fut si profonde sur les me
51 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
89 er, dès le départ, que l’état de fait créé par le traité de Vienne est aussi mal interprété par ses garants que par ses soi-di
52 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
90 ion de vivre. Cette année folle, inaugurée par un traité avec le diable, vient mourir dans la nuit de Noël au rythme familier
53 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
91 Luther, Traité du serf arbitre (1937)m Luther inconnu Dire qu’on ignore Luth
92 e plus aisément à saisir l’importance centrale du traité que nous publions : je le vois au centre du débat occidental par exce
93 hèmes qu’illustre cet ouvrage. S’ils n’y sont pas traités en forme, c’est qu’ils ne constituent pas un système, au sens philoso
94 es morales. Que trouveront-ils, dès lors, dans ce Traité  ? Une verdeur de polémique qui peut flatter en nous le goût du pittor
95 jargon d’aujourd’hui), tout est fait, dans notre Traité , pour heurter de front le lecteur incroyant, ou celui qui ne partage
96 on par un simple rappel de l’ordre dans lequel le Traité fut pensé. Je tenterai donc d’esquisser, tout au moins, le dialogue d
97 ation purement biblique qu’on en trouvera dans ce traité , malgré quelques détails exégétiques discutables, suffit à établir, p
98 1, 83, 85 et suiv. en particulier. m. Préface au Traité du serf arbitre de Martin Luther, Paris, Éditions « Je sers », 1937,
54 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
99 933, les circonstances politiques de l’Europe, le traité de Versailles, la décomposition des gauches, le double jeu du grand c
55 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
100 uerre déclarée. C’est en tout petit l’histoire du traité de Versailles. 3 janvier 1936 « Nie mehr Krieg ! ». Nous avons
101 sition de la France. Honneur veut dire mépris des traités . Et ce qu’on souhaite au peuple — et qu’on lui donne — c’est le droit
102 pentir et à l’humilité, on nous parle d’un odieux traité , générateur de rancune, d’humiliation. Au lieu de la grâce, le héros
56 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
103 933, les circonstances politiques de l’Europe, le traité de Versailles, la décomposition des gauches, le double jeu du grand c
57 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
104 reux dans ce cas. L’écrivain « objectif » se voit traité d’hitlérien par certains critiques de gauche, mais non pas de bolchév
58 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
105 933, les circonstances politiques de l’Europe, le traité de Versailles, etc. Mais tout cela retrace le comment cela s’est fait
59 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
106 s descendants sera peut-être moins l’histoire des traités et de leur périlleux ajustement, que l’histoire du réveil des religio
60 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
107 opprime si méticuleusement, tous ces articles du traité qui nous accusent, toutes ces règles du jeu politique inventées par d
61 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
108 e mythe. On pourrait se contenter d’une loi, d’un traité de morale, ou même d’une historiette jouant le rôle de résumé mnémote
62 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
109 use et chevaleresque, dont les titres de quelques traités mystiques de cette école donnent une idée : Le Familier des Amants, L
110 es Sept Beautés… Il y a plus. À l’occasion de ces traités , les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaît
111 el Arabi, écrit quatre-vingts ans auparavant : ce traité décrit en effet une traversée des trois mondes de l’au-delà, enfer, p
112 roduit dans leurs romans que des erreurs. Ils ont traité un thème nouveau, celui de l’amour physique, c’est-à-dire de la faute
113 — Henry Corbin : Édition et introduction de deux traités de Sohrawardi : Le Familier des Amants et le Bruissement de l’aile de
63 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
114 songe pas à nier cet aspect du problème, il sera traité en son lieu. Mais je crois qu’il y a bien autre chose. Car s’il n’y a
115 l’amour dans les romans de chevalerie et dans les traités spirituels du xvie siècle, on observe d’intéressantes analogies de f
116 es auteurs de romans de chevalerie comme ceux des traités mystiques se caractérisent par le même réalisme quand ils sacrifient
64 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
117 obert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons p
118 éprouve de justifier ce besoin ; d’où son fameux traité De l’Amour. Aux premières lignes de la préface, vous le sentez en ple
119 mour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thèse du traité . Il y a quatre amours différents : l’amour-passion, l’amour-goût, l’a
65 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
120 67 ». L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve discutées pêle-mêle à coups de
121 cela pour conquérir des avantages commerciaux des traités de commerce avantageux. Après avoir été le moyen violent que les peup
122 ultimatum et de la « déclaration » de guerre. Les traités ne seront plus la solennelle conclusion des hostilités. Les distincti
66 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
123 adresser d’abord à lui lorsqu’il faut négocier un traité . C’est ainsi que le solitaire conseille aux Suisses de se montrer pru
124 euses mentions du Frère Claus dans les sermons et traités de Bullinger (successeur de Zwingli à Zurich) ; de Vadian (Joachim vo
67 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
125 st la paix. Je t’apporte l’heureuse nouvelle d’un traité conclu par nos soins avec le roi de France Louis XI. Le secret en est
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
126 e mythe. On pourrait se contenter d’une loi, d’un traité de morale, ou même d’une historiette jouant le rôle de résumé mnémote
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
127 quisition avait brûlé tous les livres de culte et traités de doctrine de l’Hérésie, et que les seuls témoignages subsistants ét
128 use et chevaleresque, dont les titres de quelques traités mystiques de cette école donnent une idée : le Familier des Amants, l
129 es Sept Beautés… Il y a plus. À l’occasion de ces traités , les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaît
130 roduit dans leurs romans que des erreurs. Ils ont traité un thème nouveau, celui de l’amour physique, c’est-à-dire de la faute
131 . P., Rome 1939. Dondaine et Arno Borst datent ce traité de la seconde moitié du xiiie siècle. 38. Cf. La Cène secrète, publ
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
132 songe pas à nier cet aspect du problème, il sera traité en son lieu. Mais je crois qu’il y a bien autre chose. Car s’il n’y a
133 l’amour dans les romans de chevalerie et dans les traités spirituels du xvie siècle, on observe d’intéressantes analogies de f
134 es auteurs de romans de chevalerie comme ceux des traités mystiques se caractérisent par le même réalisme quand ils sacrifient
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
135 obert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons p
136 éprouve de justifier ce besoin : d’où son fameux traité De l’Amour. Aux premières lignes de la préface vous le sentez en plei
137 mour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thèse du traité . Il y a quatre amours différents : l’amour-passion, l’amour-goût, l’a
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
138 85 ». L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve discutées pêle-mêle à coups de
139 cela pour conquérir des avantages commerciaux des traités de commerce avantageux. Après avoir été le moyen violent que les peup
140 ultimatum et de la « déclaration » de guerre. Les traités ne seront plus la solennelle conclusion des hostilités. Les distincti
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
141 e mythe. On pourrait se contenter d’une loi, d’un traité de morale, ou même d’une historiette jouant le rôle de résumé mnémote
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
142 quisition avait brûlé tous les livres de culte et traités de doctrine de l’Hérésie, et que les seuls témoignages subsistants ét
143 use et chevaleresque, dont les titres de quelques traités mystiques de cette école donnent une idée : le Familier des Amants, l
144 s Sept Beautés… Il y a plus. À l’occasion de ces traités , les mêmes disputes théologiques se produisirent, qui devaient renaît
145 roduit dans leurs romans que des erreurs. Ils ont traité un thème nouveau, celui de l’amour physique, c’est-à-dire de la faute
146 . P., Rome 1939. Dondaine et Arno Borst datent ce traité de la seconde moitié du xiiie siècle. 31. Cf. La Cène secrète, pub
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
147 songe pas à nier cet aspect du problème, il sera traité en son lieu. Mais je crois qu’il y a bien autre chose. Car s’il n’y a
148 l’amour dans les romans de chevalerie et dans les traités spirituels du xvie siècle, on observe d’intéressantes analogies de f
149 es auteurs de romans de chevalerie comme ceux des traités mystiques se caractérisent par le même réalisme quand ils sacrifient
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
150 obert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’ironie. Nous ne savons p
151 éprouve de justifier ce besoin ; d’où son fameux traité De l’Amour. Aux premières lignes de la préface vous le sentez en plei
152 mour-passion. ⁂ Tout le monde connaît la thèse du traité . Il y a quatre amours différents : l’amour-passion, l’amour-goût, l’a
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
153 se. » L’Arbre des Batailles d’Honoré Bonet est un traité sur le droit de guerre où l’on trouve discutées pêle-mêle à coups de
154 ela pour conquérir des avantages commerciaux, des traités de commerce avantageux. Après avoir été le moyen violent que les peup
155 ultimatum et de la « déclaration » de guerre. Les traités ne seront plus la solennelle conclusion des hostilités. Les distincti
78 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
156 odernes n’ont pas été créés par Dieu, mais par le traité de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi que d’autres États,
157 its États, ont été créés, eux aussi, par d’autres traités plus anciens, qui se trouvent en contradiction avec l’évolution récen
79 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
158 devons rester neutres, nous dit-on, parce que les traités nous y forcent. Et certes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les
159 ertes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération res
160 rêt général en Europe. Rester neutres au nom d’un traité signé à Vienne il y a plus de cent ans, soit ! Mais il ne faudrait pa
161 ans, soit ! Mais il ne faudrait pas retenir de ce traité uniquement ce qui nous semblerait y garantir notre sécurité ; car le
80 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
162 es causes sont, de toute évidence : la guerre, le traité de Versailles, la grande misère de l’inflation et du chômage, l’échec
81 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
163 édéralistes, dans son sens étymologique. (fœdus = traité , serment, union.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédé
164 é par les faits. 14. Neutralité « morale ». — Les traités nous reconnaissent une neutralité politique et militaire. Ils nous ob
82 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). III. Organisation de la Ligue
165 mandons pas aux groupes existants de conclure des traités théoriques et des compromis sans lendemain, mais nous donnons à leurs
83 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
166 er, dès le départ, que l’état de fait créé par le traité de Vienne est aussi mal interprété par ses garants que par ses soi-di
84 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
167 odernes n’ont pas été créés par Dieu, mais par le traité de Versailles. Et c’est bien vrai. Elle dit aussi que d’autres États,
168 tits États, ont été créés, eux aussi par d’autres traités plus anciens, qui se trouvent en contradiction avec l’évolution récen
169 devons rester neutres, nous dit-on, parce que les traités nous y forcent. Et certes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les
170 ertes, aux yeux d’un chrétien et d’un Suisse, les traités ne seront jamais de simples chiffons de papier ! La Confédération res
171 edouter sont justement ceux qui déclarent que les traités et les serments ne sont faits que pour être violés. Enfin, l’on donne
172 rêt général en Europe. Rester neutres au nom d’un traité signé à Vienne il y a plus de cent ans, soit ! Mais il ne faudrait pa
173 ans, soit ! Mais il ne faudrait pas retenir de ce traité uniquement ce qui nous semblerait y garantir notre sécurité ; car le
85 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
174 plusieurs pages pour énumérer simplement tous ces traités enchevêtrés, qui se résoudront finalement dans un traité unique et un
175 enchevêtrés, qui se résoudront finalement dans un traité unique et uniforme instituant l’État fédératif. Pendant des siècles,
86 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
176 édéralistes, dans son sens étymologique. (fœdus = traité , serment, union.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédé
177 é par les faits. 14. Neutralité « morale ». — Les traités nous reconnaissent une neutralité politique et militaire. Ils nous ob
87 1941, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Autocritique de la Suisse (février 1941)
178 édéralistes, dans son sens étymologique. (fœdus = traité , serment, union.) Par une inconséquence très bizarre, ces pseudo-fédé
88 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
179 mot. On se tromperait sur l’intention de ce petit traité , si l’on y voyait un effort pour « démontrer » l’existence du diable.
89 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
180 ! Vous serez comme des dieux ! » En combattant le traité de Versailles, « cette Gorgone terrorisant le peuple allemand qui viv
181 mort « espace vital ». Ce n’est pas de violer les traités , mais c’est de vouloir s’innocenter en proclamant en tête d’un nouvea
90 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
182 isères venaient de l’extérieur, de l’étranger, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets, ou des Ploutocrates angl
91 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
183 s. Il n’y avait qu’à les laisser aller ! Dans son Traité de l’éloquence vulgaire, il propose une explication fort naturelle du
184 c’est incompatible avec la Vie. J’avais signé ce traité , dit une nation, mais vous voyez qu’il lèse mes intérêts vitaux. Alor
185 r, ce beau raisonnement détruit les bases de tout traité , de toute parole donnée ou échangée, enfin du langage même et de la p
92 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
186 mot. On se tromperait sur l’intention de ce petit traité , si l’on y voyait un effort pour « démontrer » l’existence du diable.
93 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
187 ! Vous serez comme des dieux ! » En combattant le traité de Versailles, « cette Gorgone terrorisant le peuple allemand qui viv
188 mort « espace vital ». Ce n’est pas de violer les traités , mais c’est de vouloir s’innocenter en proclamant en tête d’un nouvea
94 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
189 isères venaient de l’extérieur, de l’étranger, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets, ou des Ploutocrates angl
95 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
190 question, qu’ils n’ont pas lu de leur vie un seul traité théologique. On les étonnerait davantage en leur disant que cela se s
191 s. Il n’y avait qu’à les laisser aller ! Dans son Traité de l’éloquence vulgaire, il propose une explication fort naturelle du
192 c’est incompatible avec la Vie. J’avais signé ce traité , dit une nation, mais vous voyez qu’il lèse mes intérêts vitaux. Alor
193 r, ce beau raisonnement détruit les bases de tout traité , de toute parole donnée ou échangée, enfin du langage même et de la p
96 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
194 mot. On se tromperait sur l’intention de ce petit traité , si l’on y voyait un effort pour « démontrer » l’existence du diable.
97 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
195 ! Vous serez comme des Dieux ! » En combattant le traité de Versailles, « cette Gorgone terrorisant le peuple allemand qui viv
196 mort « espace vital ». Ce n’est pas de violer les traités , mais c’est de vouloir s’innocenter en proclamant en tête d’un nouvea
98 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
197 isères venaient de l’extérieur, de l’étranger, du traité de Versailles, ou des Juifs, ou des Soviets, ou des Ploutocrates angl
99 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
198 question, qu’ils n’ont pas lu de leur vie un seul traité théologique. On les étonnerait davantage en leur disant que cela se s
199 s. Il n’y avait qu’à les laisser aller ! Dans son Traité de l’éloquence vulgaire, il propose une explication fort naturelle du
200 c’est incompatible avec la Vie. J’avais signé ce traité , dit une nation, mais vous voyez qu’il lèse mes intérêts vitaux. Alor
201 r, ce beau raisonnement détruit les bases de tout traité , de toute parole donnée ou échangée, enfin du langage même et de la p
100 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
202 duire, ni de rien prévoir d’autre que d’astucieux traités de commerce que la prochaine guerre annulerait. 2. Hitler. — Nous pen