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la « vraie vie » qu’il appelait, c’était la mort
transfigurante
. Mais nous avons perdu la transcendance. La mort n’est plus qu’une mé
2
on qui veut la Nuit et qui triomphe dans une Mort
transfigurante
, elle représente pour toute Société une menace violemment intolérable
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e se jette pas dans l’illusion d’une mort d’amour
transfigurante
, mais au contraire accepte les limites de sa terrestre vocation. « Ri
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car la vraie vie qu’il appelait, c’était la mort
transfigurante
. Mais nous avons perdu la transcendance. La mort n’est plus qu’une le
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on qui veut la Nuit et qui triomphe dans une Mort
transfigurante
, elle représente pour toute Société une menace violemment intolérable
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e se jette pas dans l’illusion d’une mort d’amour
transfigurante
, mais au contraire accepte les limites de sa terrestre vocation. « Ri
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car la vraie vie qu’il appelait, c’était la mort
transfigurante
. Mais nous avons perdu la transcendance. La mort n’est plus qu’une le
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on qui veut la Nuit et qui triomphe dans une Mort
transfigurante
, elle représente pour toute Société une menace violemment intolérable
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e se jette pas dans l’illusion d’une mort d’amour
transfigurante
, mais au contraire accepte les limites de sa terrestre vocation. « Ri
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car la vraie vie qu’il appelait, c’était la mort
transfigurante
. Mais nous avons perdu la transcendance. La mort n’est plus qu’une le
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s fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi
transfigurante
. L’histoire du mythe, dans nos mœurs et coutumes, ne serait-elle que
12
musique, vrai langage du mythe essentiel, la mort
transfigurante
des amants. Cette mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau décor
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de son être au travers d’une « mort à soi-même »
transfigurante
. Ce modèle de l’amour et du vrai moi instaure le normal, le sublime,
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de son être au travers d’une « mort à soi-même »
transfigurante
. Ce modèle de l’amour et du vrai moi instaure le normal, le sublime,
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ue sur l’histoire ce même recours à l’imagination
transfigurante
qui, par-delà tous nos calculs, vaincra… Je me suis un peu attardé su
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s fut mortelle aux amants séparés, mais fut aussi
transfigurante
. L’histoire du mythe, dans nos mœurs et coutumes, ne serait-elle que
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musique, vrai langage du mythe essentiel, la mort
transfigurante
des amants. Cette mince bande jaune sur la mer, dans le nouveau décor
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e, les [p. 83] plus envoûtants, et par la qualité
transfigurante
du regard porté sur les êtres, non seulement les plus nobles mais cho
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acle suprême est la mort, qui provoque la passion
transfigurante
, la « joie suprême » d’Isolde agonisante au dernier vers du grand poè