1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 raient nos amours terrestres dans d’imprévisibles transfigurations , — l’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce visage aimé pou
2 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
2 la force et la joie d’envisager la mort comme une transfiguration tragique, la force et la joie d’envisager la vie comme un combat perp
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
3 raient nos amours terrestres dans d’imprévisibles transfigurations — l’heure anxieuse et mélancolique où l’on quitte ce visage aimé pour
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
4 ristan sorte purifié ; vers une mort qui soit une transfiguration , et non pas un hasard brutal. Il s’agit donc toujours de ramener la f
5 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
5 sque de la mort, et que la mort est le gage d’une transfiguration , l’instant où ce qui était la Nuit se révèle le Jour absolu. Mais fau
6 lement, cette mort, il ne la désire pas comme une transfiguration  : il a pris le parti du jour, la mort n’est plus que le châtiment de
6 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
7 stan sortira purifié ; vers une mort qui soit une transfiguration , et non pas un hasard brutal. Il s’agit donc toujours de ramener la f
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
8 sque de la mort, et que la mort est le gage d’une transfiguration , l’instant où ce qui était la Nuit se révèle le Jour absolu. Mais fau
9 lement, cette mort, il ne la désire pas comme une transfiguration  : il a pris le parti du jour, la mort n’est plus que le châtiment de
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
10 stan sortira purifié ; vers une mort qui soit une transfiguration , et non pas un hasard brutal. Il s’agit donc toujours de ramener la f
9 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
11 sque de la mort, et que la mort est le gage d’une transfiguration , l’instant où ce qui était la Nuit se révèle le Jour absolu. Mais fau
12 lement, cette mort, il ne la désire pas comme une transfiguration  : il a pris le parti du jour, la mort n’est plus que le châtiment de
10 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
13 enrichir, mais bien d’opérer le grand œuvre d’une transfiguration de la matière par l’homme, lui-même démiurge délégué par Dieu35. La f
11 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
14 enrichir, mais bien d’opérer le grand œuvre d’une transfiguration de la matière par l’homme, lui-même démiurge délégué par Dieu73. La f
12 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
15 tiendra, bien des années plus tard, d’opérer la «  transfiguration  » des idéaux de 48 en un européisme et en un mondialisme sublimes, ac
16 e à mourir, mais à mourir comme les dieux, par la transfiguration . La France deviendra l’Europe. Certains peuples finissent par la subl
17 nsi se réaliserait ce passage à l’Europe, cette «  transfiguration  » d’une vocation nationale dont rêvaient Hugo pour la France et Mazzi
13 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
18 courtois et amour mystique. Car l’amour tend à la transfiguration de la figure aimée terrestre, en l’adossant à une lumière qui en fass
19 xtinction des différences éphémères, leur mort et transfiguration  ; — à l’individuel aboli par une longue aspiration de l’Atman, le per
14 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
20 courtois et amour mystique. Car l’amour tend à la transfiguration de la figure aimée terrestre, en l’adossant à une lumière qui en fass
21 xtinction des différences éphémères, leur mort et transfiguration  ; — à l’individuel aboli par une longue aspiration de l’Atman, le per
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
22 tiendra, bien des années plus tard, d’opérer la «  transfiguration  » des idéaux de 1848 en un européisme et en un mondialisme sublimes,
23 e à mourir, mais à mourir comme les dieux, par la transfiguration . La France deviendra l’Europe. Certains peuples finissent par la subl
24 ncore un peu de temps, et tu t’évanouiras dans la transfiguration . Tu es si grande que voilà que tu ne vas plus être. Tu ne seras plus
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
25 nsi se réaliserait ce passage à l’Europe, cette «  transfiguration  » d’une vocation nationale dont rêvait Hugo pour la France et Mazzini
17 1974, Articles divers (1974-1977). À propos de Théodore Strawinsky [préface] (1974)
26 à toute invite de l’Esprit, au grand-œuvre d’une transfiguration des apparences de ce monde — cette transfiguration qui se trouve être
27 ransfiguration des apparences de ce monde — cette transfiguration qui se trouve être le nom théologique, le sujet même du chef-d’œuvre
18 1977, Articles divers (1974-1977). La fonction et la structure de la ville future (décembre 1977)
28 bylone », modèle de la ville dé-mesurée) comme la transfiguration de la ville à « mesure d’homme » qui devient « mesure d’ange » (Apoc
29 n’est pas le « retour à la Mère Nature », mais la transfiguration de la société humaine, c’est-à-dire la personne réalisée dans la comm
19 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
30 us échapper à la destruction nucléaire que par la transfiguration . Une « pédagogie des catastrophes » Ce que j’avais nommé ailleu
20 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
31 gent de son évolution — soit vers une progressive transfiguration , ou vers une lente dégradation des énergies. Ai-je assez montré l’eff
32 âce, nous soulèvent et nous portent vers l’ultime transfiguration de notre individu en personne pure, telle que la foi, par éclairs, l’