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aurait ni passion ni roman véritables, au sens «
tristanien
» de ces termes. Car il manquerait entre les deux protagonistes l’obs
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a nommé un jour l’élan mortel, secret de l’amour
tristanien
. Et l’absence de sacré exténue les passions, que la conscience d’une
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aurait ni passion ni roman véritables, au sens «
tristanien
» de ces termes. Car il manquerait entre les deux protagonistes l’obs
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a nommé un jour l’élan mortel, secret de l’amour
tristanien
. Et l’absence de sacré exténue les passions, que la conscience d’une
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sque. À l’autre extrême, le général de Gaulle est
tristanien
dans son nationalisme. Son Iseut, c’est la France, il est bien près d
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qui évoquerait l’infidélité — et ce scrupule est
tristanien
— la « disponibilité », qui a je ne sais quel relent de charité génér
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type donjuanesque. Mais le général de Gaulle est
tristanien
dans son nationalisme altier. Son Iseut, c’est la France — il est bie
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s la deuxième strophe éclate ce cri véritablement
tristanien
, arraché par l’amour que le poète ne peut s’empêcher d’éprouver pour
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désormais naturelle en Europe. L’empire du mythe
tristanien
sur Racine est manifeste : il explique seul que l’amour de Phèdre pou
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n) et, par-delà le pétrarquisme, rejoint le mythe
tristanien
, encore qu’il traduise et transpose la légende chevaleresque dans le
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omantiques allemands suffiront pour donner le ton
tristanien
de la nouvelle école. Hölderlin, lettre à Diotima : La passion de l’