1 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
1 aurait ni passion ni roman véritables, au sens «  tristanien  » de ces termes. Car il manquerait entre les deux protagonistes l’obs
2 a nommé un jour l’élan mortel, secret de l’amour tristanien . Et l’absence de sacré exténue les passions, que la conscience d’une
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
3 aurait ni passion ni roman véritables, au sens «  tristanien  » de ces termes. Car il manquerait entre les deux protagonistes l’obs
4 a nommé un jour l’élan mortel, secret de l’amour tristanien . Et l’absence de sacré exténue les passions, que la conscience d’une
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
5 sque. À l’autre extrême, le général de Gaulle est tristanien dans son nationalisme. Son Iseut, c’est la France, il est bien près d
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
6 qui évoquerait l’infidélité — et ce scrupule est tristanien  — la « disponibilité », qui a je ne sais quel relent de charité génér
5 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
7 type donjuanesque. Mais le général de Gaulle est tristanien dans son nationalisme altier. Son Iseut, c’est la France — il est bie
6 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
8 s la deuxième strophe éclate ce cri véritablement tristanien , arraché par l’amour que le poète ne peut s’empêcher d’éprouver pour
7 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
9 désormais naturelle en Europe. L’empire du mythe tristanien sur Racine est manifeste : il explique seul que l’amour de Phèdre pou
10 n) et, par-delà le pétrarquisme, rejoint le mythe tristanien , encore qu’il traduise et transpose la légende chevaleresque dans le
11 omantiques allemands suffiront pour donner le ton tristanien de la nouvelle école. Hölderlin, lettre à Diotima : La passion de l’