1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 ds, ni le respect de moi ni de mes rêves, ni toi, triste mort, ni l’effroi d’après-tombe qui m’empêcheront de joindre ce que j
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
2 oire, l’ennemie » — avec une intelligence dont la triste profession est de détruire le désir qu’elle excite par curiosité pass
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 ée de mes désirs. Qu’ils viennent battre ce corps triste , qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joies du large !… Ti
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 de lui-même) — il n’« accroche » pas à ce qui est triste ou ennuyeux, que ce soit l’idée de la mort ou les soucis politiques,
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 une réalité bien plus étrange.) Une atmosphère de triste volupté emplit notre monde à ce chant. L’odeur du fleuve est son parf
6 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 er de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste lucidité, je t’avais déjà invoquée, hypocrisie consolante et libératr
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
7 ampagnes désolées où ils se développent. Paysages tristes et sans violence, autour de ces êtres dont la détresse est d’autant p
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
8 Lettre du survivant (février 1927)f «  Triste , mais vrai. » (Les journaux.) Mademoiselle, Il faut d’abord que je m
9 étroite… J’ai dormi quelques heures, d’un sommeil triste , tout enfiévré par la crainte du réveil. Puis je suis revenu dans ces
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
10 uite. Suicide du Marquis Salomon le danseur triste baisa cette main cruelle… et quitta le bal au matin. Il neigeait dans
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
11 apparaît toujours sous forme d’objets. Ce comique triste , ces imaginations délirantes mais parfaitement concrètes, ces tours d
11 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
12 ; et puis la, comédie n’est pas mon fort, même la triste . Je n’aime plus que les choses lentement émouvantes, monotones et aig
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
13 romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste . Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme ils égare
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
14 évoltants de la terre : une église, une prison. » Triste carence d’un jugement qui se prétend humain ! Pensez-y M. Nizan : que
14 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
15 traces qui « malgré tout » révèlent ses origines. Triste jeu. 33. Représentatifs d’une atmosphère moraliste, quelles que soie
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
16 visage dont Klauer modela l’effigie passionnément triste et dominatrice. Large bouche aux lèvres serrées, l’inférieure creusée
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
17 mais non pas le généreux avec le pleutre, une âme triste avec une âme joyeuse. » Voilà bien le leitmotiv de l’œuvre entière de
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
18 romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste . Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme ils ég
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
19 ; et puis, la comédie n’est pas mon fort, même la triste . Je n’aime plus que les choses lentement émouvantes, monotones et aig
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 a romance à mon oreille de violoneux qui me croit triste . Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme ils égare
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
21 mêmes fumées sur les tourbières, les mêmes chants tristes , la même vie intérieure… Il me disait aussi que les paysans huguenots
21 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
22 derniers cahiers de Maurice Barrès on trouve une triste et désarmante confidence. Barrès l’exprime avec son génie de mélancol
22 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
23 mais il n’en parla pas »), et servi par un garçon triste qui perd le vol-au-vent, inexplicablement. Tâchez de ne pas rire ; si
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
24 hilosopher, c’est apprendre à mourir », disait le triste Cicéron, et Montaigne l’en loue. Pour M. Marcel, on lui ferait plus v
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
25 ue nulle violence ne peut dérober, mais c’est une triste réponse à la révolte de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les a
25 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
26 ves, acheminant l’espèce vers un équilibre final, triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, refusent t
26 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
27 ves, acheminant l’espèce vers un équilibre final, triste réplique du millenium chrétien. Les autres, avec Proudhon, refusent t
27 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
28 ette réplique fameuse : « La vérité est peut-être triste . » Réponse qui n’est encore qu’une question déguisée. Le soupçon de R
29 t un doute sur la vérité : ce qui est « peut-être triste  », insondablement triste, c’est que « peut-être » la vérité n’existe
30 : ce qui est « peut-être triste », insondablement triste , c’est que « peut-être » la vérité n’existe pas. Et si la vérité n’ex
28 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
31 sse l’ironie qui le tourmente sans espoir, ironie triste de cette tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrèt
29 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
32 sépare du monde et confond tout dans la distance triste . Le temps, c’est l’aliénation angoissante82. C’est ce qui fait que to
30 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
33 sse l’ironie qui le tourmente sans espoir, ironie triste de cette tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrèt
31 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
34 sépare du monde et confond tout dans la distance triste . Le temps, c’est l’aliénation angoissante84. C’est ce qui fait que to
32 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
35 pouvoir ! » L’autre se dégage et s’en va, un peu triste , ou peut-être gêné. Entre ces deux hommes, je n’hésite pas : je vote
33 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
36 10 avril Je n’ai pas encore parlé de la poule, la triste et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin. Elle y est p
37 ce mot, que tant de gens invoquent avec un accent triste . Je suis devenu tout doucement amoureux de ma vie, et je crois bien q
34 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
38 rande Communication… ⁂ Montparnasse. — Stupidité triste , parfois insolente, et lourde, de cette population de mannequins vide
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
39 notes : je n’ai pas encore parlé de la poule, la triste et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin. Elle y est p
40 ce mot, que tant de gens invoquent avec un accent triste . Je suis devenu tout doucement amoureux de ma vie, et je crois bien q
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
41 pouvoir ! — L’autre se dégage et s’en va, un peu triste , ou peut-être gêné. Entre ces deux hommes, je n’hésite pas : je vote
37 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
42 la noblesse de leur caractère, nous délivrent du triste spectacle que nous avons sous les yeux. » Car la noblesse qu’il nous
38 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
43 Grande Communication… Montparnasse. — Stupidité triste , parfois insolente et lourde, de cette population de mannequins vides
39 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
44 hômage , il y a une poule. C’est une poule noire, triste et digne nous dit-on, dont nous faisons connaissance page 92. L’auteu
40 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
45 montre enfin ce dont il est capable ! Qu’il est triste , le Horst Wessel Lied, quand il ne retentit pas comme un défi dans le
41 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
46 ses qui communient avec elles-mêmes dans un chant triste ou dans un cri. Or ces religions vagues et violentes se cherchent pou
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
47 t diffuse souffrance, quelque chose d’impur et de triste , dont il me semble qu’on ne perdra rien à profaner les causes faussem
48 arrivait aussi à leurs oreilles, languissante et triste . Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle me parle encore. Pour q
43 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
49 sauras la cause. Dis-moi : qu’est-ce qui te rend triste à ce point ? Est-ce bien le cours des choses de ce monde ? Est-ce une
50 appelez morale, c’est ce qui nous rend méchants, tristes et honteux. Ce que vous appelez l’ordure, voilà ce qui peut nous puri
44 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
51 t assuré… Dorothée. —  Nicolas, pourquoi es-tu triste  ? Chasse donc ces mauvais souvenirs ! Nicolas. —  Ce ne sont pas m
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
52 t diffuse souffrance, quelque chose d’impur et de triste , dont il me semble qu’on ne perdra rien à profaner les causes faussem
53 arrivait aussi à leurs oreilles, languissante et triste . Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle me parle encore. Pour q
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
54 llent les textes, le dévot devient la proie de la triste loi karmique, comme n’importe quel débauché. » Mais la femme, dans to
55 -même, car le sot après avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
56 sauras la cause. Dis-moi : qu’est-ce qui te rend triste à ce point ? Est-ce bien le cours des choses de ce monde ? Est-ce une
57 appelez morale, c’est ce qui nous rend méchants, tristes et honteux. Ce que vous appelez l’ordure, voilà ce qui peut nous puri
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
58 t diffuse souffrance, quelque chose d’impur et de triste , dont il me semble qu’on ne perdra rien à profaner les causes faussem
59 arrivait aussi à leurs oreilles, languissante et triste . Elle m’a interrogé un jour, et voici qu’elle me parle encore. Pour q
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
60 llent les textes, le dévot devient la proie de la triste loi karmique, comme n’importe quel débauché. » Mais la femme, dans to
61 -même, car le sot après avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
62 sauras la cause. Dis-moi : qu’est-ce qui te rend triste à ce point ? Est-ce bien le cours des choses de ce monde ? Est-ce une
63 appelez morale, c’est ce qui nous rend méchants, tristes et honteux. Ce que vous appelez l’ordure, voilà ce qui peut nous puri
51 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
64 que des impressions générales sur le temps et les tristes événements ? Sont-ils vraiment des frères — et des frères dans l’Égli
52 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
65 oriental. L’homme choisit la plus terne, il était triste et présomptueux. À mesure qu’avec les années, il se persuadait que sa
66 luisait d’une froide splendeur, et quand il était triste , elle était consolante. Mais c’était l’autre qu’il prenait alors entr
67 l prenait alors entre ses mains, la pierre du vœu triste et présomptueux de sa jeunesse. Et il pleurait. Une troisième fois, i
53 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
68 es plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu sont plus profondes avec autant de
54 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
69 a gloire. Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissait mesquin de s’y tenir. Personne n’osait plus en
55 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
70 es plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu sont plus profondes avec autant de
56 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
71 a gloire. Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissait mesquin de s’y tenir. Personne n’osait plus en
57 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
72 es plus belles fables de ce monde, l’une des plus tristes dans sa fantaisie géniale, et peu sont plus profondes avec autant de
58 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
73 gloire. Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissait mesquin de s’y tenir. Personne n’osait plus en
59 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
74 visage dont Klauer modela l’effigie passionnément triste et dominatrice. Large bouche aux lèvres serrées, l’inférieure creusée
60 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
75 ue nulle violence ne peut dérober, mais c’est une triste réponse à la révolte de ces pauvres qu’on redoute plus qu’on ne les a
61 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
76 la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si tristes , mais avec un sourire de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moin
62 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
77 marque de la misère. Certains quartiers sont très tristes . La conscience politique de la classe ouvrière, si vivante chez nous,
63 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
78 la ramener ! 3. Que l’Église cesse de défendre la triste et inefficace moralité bourgeoise, avec laquelle trop de chrétiens co
64 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
79 à-bas, ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici vous avez la religion de la démocratie et la publici
65 1946, Journal des deux mondes. Virginie
80 x de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaient n’habiter que
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
81 romance à mon oreille d’un violoneux qui me croit triste . Ils l’ont amené du fond d’une Inde. Ils l’ont égaré, comme ils égare
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
82 ves, acheminant l’espèce vers un équilibre final, triste réplique du millénium chrétien. Les autres, avec Proudhon, refusent t
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
83 notes : je n’ai pas encore parlé de la poule, la triste et digne poule noire qui habite seule au bout du jardin. Elle y est p
84 ce mot, que tant de gens invoquent avec un accent triste . Je suis devenu tout doucement amoureux de ma vie, et je crois bien q
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
85 pouvoir ! » L’autre se dégage et s’en va, un peu triste , ou peut-être gêné. Entre ces deux hommes, je n’hésite pas : je vote
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
86 i montre enfin ce dont il est capable ! Qu’il est triste , le Horst Wessel Lied, quand il ne retentit pas comme un défi dans le
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
87 ses qui communient avec elles-mêmes dans un chant triste ou dans un cri. Or ces religions vagues et violentes se cherchent pou
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
88 à-bas, ils ont des religions antiques et ils sont tristes et méchants, ici vous avez la religion de la démocratie et la publici
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
89 x de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaient n’habiter que
74 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
90 douleur, du Périer, sera donc éternelle ? Et les tristes discours… … Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve
75 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
91 la ramener ! 3° Que l’Église cesse de défendre la triste et inefficace moralité bourgeoise, avec laquelle trop de chrétiens co
76 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
92 la rue en chantonnant leurs mélodies toujours si tristes , mais avec un sourire de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moin
77 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
93 , plus virulentes, plus théâtrales, surtout moins tristes , parce qu’elles étaient plus proches d’un public influent. Mais le ph
78 1948, Suite neuchâteloise. VIII
94 mêmes fumées sur les tourbières, les mêmes chants tristes , la même vie intérieure… Il me disait aussi que les paysans huguenots
79 1953, Articles divers (1951-1956). Une fausse nouvelle : « Dieu est mort » (juin-juillet 1953)
95 esse dont on est animé. « La vérité est peut-être triste  », disait Renan. Il était loin de s’en réjouir, mais pour autant, n’a
80 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
96 seconde, la personne grandiose de Saint-Just, au triste Marat… », écrit l’un d’eux. L’incroyance, même la plus sereine, a bes
81 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
97 llent les textes, le dévot devient la proie de la triste loi karmique, comme n’importe quel débauché. » Mais la femme, dans to
98 -même, car le sot après avoir vidé sa bourse fait triste contenance ! (Marcabru.) Écoutez ! Sa voix (d’Amour) paraîtra douce c
82 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
99 seconde, la personne grandiose de Saint-Just, au triste Marat… », écrit l’un d’eux. L’incroyance, même la plus sereine, a bes
83 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
100 e pas d’évoquer la grande ombre du Chevalier à la Triste Figure : c’est-à-dire qu’au-delà du monde technique, comme avant lui,
84 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (II) (mai 1961)
101 n.123 Ou simplement en quelques mots : Tristan, triste temps, joyeuse éternité. — Don Juan, joyeux moments, éternité d’enfer
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
102 in.49 Ou simplement en quelques mots : Tristan, triste temps, joyeuse éternité. — Don Juan, joyeux moments, éternité d’enfer
86 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
103 e Chevalier G. La situation de l’Europe est assez triste à l’en croire : On ne parle que des machines de Guerre et les plus d
87 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
104 go Grotius, Pufendorf, Vattel et d’autres encore ( tristes consolateurs), bien que leur code, conçu de manière philosophique ou
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
105 aient pendant à ces chroniques chinoises d’une si triste uniformité. … Jetons d’abord un coup d’œil sur la situation la plus a
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
106 ant nous-mêmes, ne se sont pas évanouies comme un triste mirage ? Est-ce que la décomposition et l’individualisation ne s’y fo
90 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
107 ditionnel, beaucoup mieux même, dirai-je, que les tristes bâtisses, sombres et froides du xixe siècle. Mais le mouvement génér
91 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
108 sse dont on est animéc. « La vérité est peut-être triste  », disait Renan. Il était loin de s’en réjouir, mais pour autant, n’a
92 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
109 mais jamais sur ce ton pseudo-sacré d’une emphase triste et correcte qui ne trompe personne, et qui suffirait à ridiculiser n’
93 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
110 la ramener ! 3° Que l’Église cesse de défendre la triste et inefficace moralité bourgeoise, avec laquelle trop de chrétiens co
94 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Témoignage sur Bernard Barbey (7-8 février 1970)
111 s campagnes désolées où il se développe. Paysages tristes et sans violence, autour de ces êtres dont la détresse est d’autant p
95 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
112 r le jeu spontané du « mouvement de l’histoire », triste alibi de nos refus d’être libres. Il faudra que la succession, le rem
96 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
113 aussi injuste qu’un pamphlet doit l’être, j’ai le triste plaisir de constater que mon texte n’a pas vieilli, parce que l’école
97 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
114 aussi injuste qu’un pamphlet doit l’être, j’ai le triste plaisir de constater que mon texte n’a pas vieilli, parce que l’École