1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 e sa vitre, tremblait si fort qu’il avait peur de trébucher et de faire du bruit. Il songea : — C’est la fin pour moi. Puis : — Q
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 le tente la même fuite. Mais trop lucide, hésite, trébuche , oscille entre la violence et le désespoir (c’est l’amour), et, déchi
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 assant, relevons un sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retro
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
4 assant, relevons un sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retro
5 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
5 h bien, ils savent très bien que cela veut dire «  trébucher  », sur des racines ou n’importe quoi ! Le chant national des Genevois