1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
1 nd industriel, qui avait fondé des entreprises de tuileries et de chaufournerie en Styrie et en Salzburg. Antoine déployait depui
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
2 européenne devient soudain, mêlé aux flammes des Tuileries , l’éclairage du Grand Soir et de la fin de l’Europe. Je n’oublierai
3 ne veux pas parler seulement de la guerre, ni des Tuileries  ; je savais sans cela que tout passerait, toute la figure du vieux mo
4 l’admettre. Oui, ils venaient alors de brûler les Tuileries … Oh ! sois tranquille, je sais que c’était « logique ». Et je compren
5 s pétroleurs, pouvais leur dire en face que leurs Tuileries étaient une erreur ; moi seul entre tous les conservateurs-vengeurs p
6 ateurs-vengeurs pouvais dire aux vengeurs que les Tuileries étaient un crime sans doute mais n’en étaient pas moins logiques. Et
7 s qui m’a tant épouvanté, ce ne sont pas même les Tuileries , mais tout ce qui devait suivre. Ils étaient condamnés à se battre en
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Ce « petit peuple pacifique… »
8 1792, et se firent massacrer sur les marches des Tuileries , l’ordre royal leur ayant interdit de tirer sur la foule pour se défe
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
9 de compter, nous nous enrichirions en faisant des Tuileries un parking payant et de Notre-Dame un immeuble de bureaux. » « Généra
5 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
10 nnuyeuse. Le lendemain 19 mars, Napoléon est aux Tuileries . Benjamin fuit vers Nantes, mais cette ville vient de passer à l’empe