1
peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les
tyrans
nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
2
c cent-mille autres ? Cent-mille mains saluent le
tyran
, une main crée. Le temps est peut-être venu de penser avec ses mains.
3
entes victimes. Je veux bien obéir aux décrets du
tyran
; je ne veux pas qu’on exige que ce soit de bon cœur. Je me défends e
4
satisfait provisoirement dans sa bassesse, ou du
tyran
vidé d’héroïsme et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le con
5
e peuple souverain On devrait dire : le peuple
tyran
. Jamais souverain ne fut à ce degré jaloux de son aveuglement, impati
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entes victimes. S’il me faut obéir aux décrets du
tyran
, je ne veux pas qu’on exige que ce soit de bon cœur. Je me défends en
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satisfait provisoirement dans sa bassesse, ou du
tyran
vidé d’héroïsme et de rêves. Toute l’histoire le démontre avec le con
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peuple souverain On devrait, dire : le peuple
tyran
. Jamais souverain ne fut à ce degré jaloux de son aveuglement, impati
9
’une tradition, ni de la force du nombre, ou d’un
tyran
, ou de l’argent ; ni de la police, ni de la majorité, ni d’un parleme
10
nt l’effet infaillible est de faire apparaître le
tyran
sous les espèces d’un surhomme. Après quoi l’on créera la diversion i
11
bri d’un vaste appareil qui, d’auxiliaire devient
tyran
, le jour où celui qui l’a fait renonce à tenir les commandes. « Les a
12
ui sanctionnera la lâcheté sociale par décret des
tyrans
, la pensée sans douleur par des diplômes et des titres, la religion s
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bri d’un vaste appareil qui, d’auxiliaire devient
tyran
, le jour où celui qui l’a fait renonce à tenir les commandes. « Les a
14
ui sanctionnera la lâcheté sociale par décret des
tyrans
, la pensée sans douleur par diplômes et titres, la religion sans foi
15
qu’ils sont par là même les premiers à rendre le
tyran
fatal. 1. Ce qui a pu faire illusion, reconnaissons-le, c’est la t
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s pressé », sauver d’abord sa peau, renverser les
tyrans
? Ainsi parlent le bon sens, et le marxisme. Mais si l’Apôtre avait p
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la Colère de Dieu sévit par les mains de quelques
tyrans
, on demande au chrétien comme jadis au Prophète : « Sentinelle, que d
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Évasion ? Non pas. Réalisme. La force réelle des
tyrans
est religieuse. Et la foi seule peut vaincre une religion païenne.
19
t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
20
de part du peuple allemand gémit sous la botte du
tyran
. Je réponds : non, l’opposition se réduit réellement de jour en jour
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nt l’effet infaillible est de faire apparaître le
tyran
sous les espèces d’un surhomme. Après quoi l’on créera la diversion i
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t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
23
entats contre Hitler, c’est qu’Hitler n’est ni un
tyran
ni un roi, mais un fondateur de religion. Cependant, tout ne s’expliq
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peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les
tyrans
nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
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orale. Au lieu d’une discipline, nous avons vingt
tyrans
qui nous poussent à hue et à dia. Au lieu d’un directeur qui nous par
26
a plus excitante victoire ? « La nouveauté est le
tyran
de notre âme », écrit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’ho
27
est, ce grand duché occidental sous le règne d’un
tyran
fou, que l’on a surnommé le Téméraire. Lourde menace pour qui n’a pas
28
Les compagnons. — Hou ! Hou ! Hou ! À bas les
tyrans
! Altinghausen. — Et vous ! Vous proclamez de beaux principes, ma
29
ur, écrit Goethe, les Suisses se délivrèrent d’un
tyran
. Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éc
30
re du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits
tyrans
. À présent, ils continuent à répéter le vieux conte. On les entend di
31
oethe écrivait cela au xviiie siècle. Les petits
tyrans
dont il parle étaient peut-être alors les petites oligarchies que la
32
ur, écrit Goethe, les Suisses se délivrèrent d’un
tyran
. Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éc
33
re du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits
tyrans
. À présent, ils continuent à répéter le vieux conte. On les entend di
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Goethe écrivait cela au xviie siècle. Les petits
tyrans
dont il parle étaient peut-être alors les petites oligarchies que la
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t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
36
sa grandeur le rôle ironiquement providentiel des
Tyrans
. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties
37
ous vous battez au nom de votre liberté contre un
tyran
qui mène sa guerre au nom de la liberté du peuple allemand. Cet autoc
38
uré dans sa puissance originelle et créatrice. Un
tyran
ou l’État pourront bien interdire nos discours et nos discussions, «
39
t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
40
isse, ils s’ennuient, et bientôt ils appellent un
tyran
. Mais dès que le tyran sévit, leur amour de la liberté les pousse aux
41
t bientôt ils appellent un tyran. Mais dès que le
tyran
sévit, leur amour de la liberté les pousse aux sommets du courage. Et
42
’est point la liberté réelle des hommes, qu’aucun
tyran
jamais n’a pu suspendre un seul moment, mais c’est le droit que l’Éta
43
rait nous asservir. La solution est d’attaquer le
tyran
— puisqu’il nous attaque — avec des tanks, des avions, de la propagan
44
sa grandeur le rôle ironiquement providentiel des
Tyrans
. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties
45
ieu Sous la main de celui qui te tuera. Face aux
Tyrans
tout devient clair et décisif. À l’épreuve de la guerre et du meurtre
46
défaite pour le diable, d’ores et déjà, pour les
Tyrans
aussi ; une défaite absolue et sans recours, un élément premier de l’
47
res se battaient au nom de leur liberté contre un
tyran
qui menait sa guerre au nom de la liberté du peuple allemand. Cet aut
48
uré dans sa puissance originelle et créatrice. Un
tyran
ou l’État pourront bien interdire nos discours et nos discussions, «
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t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
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isse, ils s’ennuient, et bientôt ils appellent un
tyran
. Mais dès que le tyran sévit, leur amour de la liberté les pousse aux
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t bientôt ils appellent un tyran. Mais dès que le
tyran
sévit, leur amour de la liberté les pousse aux sommets du courage. Et
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’est point la liberté réelle des hommes, qu’aucun
tyran
jamais n’a pu suspendre un seul moment, mais c’est le droit que l’Éta
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rait nous asservir. La solution est d’attaquer le
tyran
— puisqu’il nous attaque — avec des tanks, des avions, de la propagan
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sa grandeur le rôle ironiquement providentiel des
Tyrans
. Écoutez le prophète Ézéchiel, lorsqu’il s’adresse à nos démocraties
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ieu Sous la main de celui qui te tuera. Face aux
Tyrans
tout devient clair et décisif. À l’épreuve de la guerre et du meurtre
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défaite pour le diable, d’ores et déjà, pour les
Tyrans
aussi ; une défaite absolue et sans recours, un élément premier de l’
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res se battaient au nom de leur liberté contre un
tyran
qui menait sa guerre au nom de la liberté du peuple allemand. Cet aut
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uré dans sa puissance originelle et créatrice. Un
tyran
ou l’État pourront bien interdire nos discours et nos discussions, «
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peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les
tyrans
nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
60
et rigide, qu’elle soit imposée d’en haut (État,
tyran
), ou d’en bas (égalitarisme poussé à l’extrême) nient la vocation per
61
; enfin, il faut lui proposer un rôle normal, ni
tyran
ni victime intéressante, dans la communauté européenne. Tout cela rev
62
on d’attendre autre chose, pour le monde, que des
tyrans
, leurs guerres, et les tyrannies qui en résultent… Un mot encore. Ce
63
peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les
tyrans
nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
64
sans nul doute, hanté par les victimes du célèbre
tyran
. (C’était lui qui forçait les femmes du monde de Buenos Aires à galop
65
t le rêve de 60 millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
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de part du peuple allemand gémit sous la botte du
tyran
. Je réponds : non, l’opposition se réduit réellement de jour en jour
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peuvent plus apprivoiser le destin. Soit que les
tyrans
nous accablent, soit qu’un sursaut nous dresse à résister, il faudra
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sans nul doute, hanté par les victimes du célèbre
tyran
. ( C’était lui qui forçait les femmes du monde de Buenos Aires à galo
69
s actions, il n’y aurait pas eu de martyrs, ni de
tyrans
, ni d’adversaires de la Révolution, ni de socialisme, ni d’Histoire e
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l’électricité. L’Europe qui, à peine délivrée des
tyrans
et des dictatures, cesse de croire à la démocratie. L’Europe qui se d
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a plus excitante victoire ? « La nouveauté est le
tyran
de notre âme », écrit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’ho
72
on d’attendre autre chose, pour le monde, que des
tyrans
, leurs guerres, et les tyrannies qui en résultent… Un mot encore. Ce
73
ndait sur les groupes. Et les masses, elles-mêmes
tyrans
, n’obéissent qu’à la tyrannie. Que serait une tyrannie américaine ? U
74
notre époque ait fait de plus flagrants abus. Les
tyrans
eux-mêmes s’en réclament. À tel point que l’adjectif « démocratique »
75
amarades des pays satellites et de l’URSS, et les
tyrans
l’ont confirmé en ouvrant le feu. L’imposture communiste est devenue
76
marades des pays satellites et de l’URSS ; et les
tyrans
l’ont confirmée, en ouvrant le feu. L’imposture communiste est devenu
77
ul fait qu’il était prononcé à portée de voix des
tyrans
. À la suite du meeting mémorable de Berlin, nous nous sommes organisé
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urnal : Un jour, les Suisses se délivrèrent d’un
tyran
. Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éc
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re du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits
tyrans
. À présent, ils continuent de répéter le vieux conte. On les entend d
80
e haut, tout en bénéficiant des victoires sur les
tyrans
, dont d’autres pays firent les frais. C’est oublier que la volonté de
81
volutions européennes n’ont jamais renversé aucun
tyran
. Au contraire, elles en ont établi, de très grands et de très sanglan
82
lants : Napoléon, Hitler, Mussolini, Staline. Ces
tyrans
n’ont été abattus que par la guerre ou par la mort. Et la plupart fur
83
ence fantomatique de cette capitale, créée par un
tyran
dans des marécages malsains, au prix de la vie de milliers d’ouvriers
84
Nous n’avons pas opposé à la propagande des Bons
Tyrans
je ne sais quel « front uni » exigeant farouchement le sacrifice « te
85
annie soviétique un règlement de comptes entre le
tyran
défunt et ses successeurs ; attribuer du jour au lendemain tout le ma
86
oi, dont le plus fort ou le plus chanceux se fait
tyran
. Mais cette fuite générale devant les engagements — civiques, privés
87
volutions européennes n’ont jamais renversé aucun
tyran
. Au contraire, elles en ont établi, de très grands et de très sanglan
88
lants : Napoléon, Hitler, Mussolini, Staline. Ces
tyrans
n’ont été abattus que par la guerre ou par la mort. Et la plupart fur
89
de Gaulle doit nécessairement apparaître comme le
Tyran
sans frein ni loi — tandis que dans le monde où Dieu existe, qui est
90
ur que je saurai mentir : je demanderai pardon au
tyran
, le suppliant de me laisser vivre encore un peu dans le voisinage de
91
idérés par les chancelleries comme de « dangereux
tyrans
» partisans de la Révolution) : il pressentait que l’instauration d’u
92
u’à augmenter et à propager la puissance de leurs
tyrans
, lorsque les dangers et la mort sont les seuls fruits qu’ils recueill
93
s lois qu’ils se donnent, n’obéissent point à des
tyrans
, et qui par-là même ne travaillent que pour eux, sont les hommes les
94
ire », pieux mensonge à l’usage des victimes d’un
tyran
, mais dans les lois de la lutte des fils contre les pères. Et l’oncle
95
ureuse diversion pour attaquer et renverser leurs
tyrans
… C’est à cette guerre sainte qu’Anacharsis Cloots est venu inviter l’
96
française : libérer sa propre nation du joug des
tyrans
intérieurs ou étrangers, c’est libérer l’Europe et le genre humain. E
97
lution n’éclate jamais qu’après la mort des vrais
tyrans
, contre leurs héritiers débiles et qui assurent que ce n’est pas de l
98
lution n’éclate jamais qu’après la mort des vrais
tyrans
, contre leurs héritiers débiles et qui assurent que ce n’est pas leur
99
ur que je saurai mentir : je demanderai pardon au
tyran
, le suppliant de me laisser vivre encore un peu dans le voisinage de
100
a plus excitante victoire ? « La nouveauté est le
tyran
de notre âme », écrit le vieux Casanova. Mais déjà ce n’est plus l’ho
101
u’à augmenter et à propager la puissance de leurs
tyrans
, lorsque les dangers et la mort sont les seuls fruits qu’ils recueill
102
s, mais les appelèrent une horde de bandits et de
tyrans
, pour avoir pillé et brûlé campagnes et cités, et privé de leurs bien
103
me, ils ne seront pas à l’abri des attaques de ce
tyran
piqué par le taon de l’avidité et de l’ambition. Quelle redoute pourr
104
lantes qui sortent de leur pays pour détruire les
tyrans
et les esclaves, et apprendre aux hommes que, la nature les ayant fai
105
es et l’optimisme de Leibniz, ou encore entre les
tyrans
éclairés et le pacifisme intégral. Considérant l’Europe dans l’état o
106
rop hautement professés, pour que les efforts des
tyrans
et des prêtres puissent les empêcher de pénétrer peu à peu jusqu’aux
107
ant de ne leur montrer que des corrupteurs ou des
tyrans
, nous deviendrons pour eux des instruments utiles, ou des généreux li
108
ureuse diversion pour attaquer et renverser leurs
tyrans
… C’est à cette guerre sainte qu’Anacharsis Cloots est venu inviter l’
109
ecclésiastique, et il est évident que le joug des
tyrans
s’est toujours appesanti dans la mesure même où ils croyaient pouvoir
110
française : libérer sa propre nation du joug des
tyrans
intérieurs ou étrangers, c’est libérer l’Europe et le genre humain… E
111
ffort qui incite Hercule à purger la terre de ses
tyrans
, de ses brigands et de ses monstres, à dompter les fleuves, à assaini
112
on d’attendre autre chose, pour le monde, que des
tyrans
, leurs guerres, et les tyrannies qui en résultent… Un mot encore. Ce
113
et rigide, qu’elle soit imposée d’en haut (État,
tyran
), ou d’en bas (égalitarisme poussé à l’extrême) nient la vocation per
114
s pressé », sauver d’abord sa peau, renverser les
tyrans
? Ainsi parlent le bon sens, et le marxisme. Mais si l’Apôtre avait p
115
oyage : Un jour, les Suisses se délivrèrent d’un
tyran
. Ils purent se croire libres un moment : mais le soleil fécond fit éc
116
re du cadavre de l’oppresseur un essaim de petits
tyrans
. À présent, ils continuent de répéter le vieux conte. On les entend d
117
sont toujours la victoire d’un cœur franc sur un
tyran
et de la liberté sur le destin. Mais tant de choses ont changé autour
118
e qu’il gardait cachée une seconde flèche pour le
tyran
. Il s’évade à la faveur d’une tempête sur le lac, et il tue finalemen
119
e épreuve d’adresse imposée par un seigneur ou un
tyran
à un arbalétrier vantard et coléreux : il n’aura la vie sauve que s’i
120
hapeau emplumé, du Saut libérateur, du Meurtre du
Tyran
par un Simple au cœur pur — ont composé un archétype national. Guilla
121
Ni la lutte contre l’ennemi commun ou contre les
tyrans
, ni le désir de paix, ni même la recherche de la prospérité n’ont jam
122
es » et de la société. Le vide social appelle les
tyrans
. Rome, en réponse à ce défi de l’anarchie, invente l’État et ses inst
123
ou bien passivité de la plèbe, représentée par le
tyran
qu’elle plébiscite à 99 % des voix ; ou bien participation active des
124
e premier ne discute pas l’ordre établi, loue ses
tyrans
, qu’il prétend éclairer, et ne combat que ses fondements moraux3 et s
125
ombre décroissant de gens, finalement par un seul
tyran
. Cela, c’est une loi que Jean-Jacques Rousseau avait très bien défini
126
l’ère hellénistique, et qui explique l’appel aux
tyrans
, puis à l’Empire bureaucratique et militaire, et aujourd’hui aux roua
127
t nombre de politiciens et, finalement, d’un seul
tyran
. Bientôt, ils ne sont plus acteurs mais simples spectateurs du jeu, p
128
st plus son affaire, alors, chacun pour soi et le
tyran
pour tous. Dissolution de la communauté qui ne condamne ou n’oriente
129
peuple. Il est ressenti de plus en plus comme un
tyran
, dès qu’il n’est plus le bailleur de subventions ou d’adjudications j
130
subventions ou d’adjudications juteuses. Dieu ou
tyran
, hors de nous, contre nous : il n’est plus du tout notre affaire.
131
êve de soixante millions d’hommes. On tire sur un
tyran
, ou sur un roi, mais les fondateurs de religion sont réservés à d’aut
132
nauté germanique, de la résistance calvinienne au
tyran
, Althusius a su tirer cette belle construction dont Pierre Mesnard éc
133
place, même le jeu de la liberté, je serais votre
tyran
et l’excuse à vos yeux de votre fuite devant la liberté. Je propose u
134
u parti qui vient de renverser nos trop faibles «
tyrans
» pour nous apprendre enfin comment on obéit quand on est commandé pa
135
tion de nos peuples, non d’une coalition de leurs
tyrans
. Le Monde appelle les régions comme antidote du virus européen
136
iques jamais concentrés entre les mains d’un seul
tyran
ont conduit aux plus grands massacres de l’histoire ! Hitler et Stali
137
ances du ça, qui est la tyrannie même, qui est le
Tyran
absolu, l’Anonyme. Ce n’est pas vous qui parlez ou agissez — nous rép
138
illes hellénistiques, vide social qui appelle les
tyrans
. Rome, en réponse à ce défi, invente l’État (status : le stable) et
139
Guillaume Tell, l’arbalétrier barbu qui défie le
tyran
au nom des droits locaux ; mais, à l’Ouest, ces grands commis emperru