1
passa de la plus grande liberté à la plus grande
tyrannie
. En proclamant la liberté religieuse, Henry IV mettait le royaume à l
2
l’absolue liberté dans le rêve. Le rêve, c’est la
tyrannie
des souvenirs ; et ce n’est pas se libérer que de brasser ces chaînes
3
eoisie et dans le peuple ; elle y est devenue une
tyrannie
. Avant il y avait la Raison et les sentiments. Maintenant il y a le r
4
eoisie et dans le peuple ; elle y est devenue une
tyrannie
. Avant il y avait la Raison et les sentiments. Maintenant il y a le r
5
cer le bourgeois : mais je ne vois pas en quoi la
tyrannie
du matériel qu’ils prônent est meilleure pour les hommes que le prése
6
ire, dans le sens des droits individuels et de la
tyrannie
collective. La population s’accroissait, le commerce prospérait, l’in
7
définis : c’est le problème de la destruction des
tyrannies
étatistes, au nom des droits de la personne. La France possède une tr
8
ul fondement de l’universel, nous dénoncerons les
tyrannies
racistes et collectivistes. Au nom de la patrie, lieu d’enracinement
9
l et nécessaire de l’existence, contre toutes les
tyrannies
qu’il s’impose en vertu du sadisme de la lâcheté. Telles sont les bas
10
iété. On y verra comment il se peut faire que les
tyrannies
sociales, mondaines ou politiques, trahissent par leur raffinement, p
11
rdre nouveau, ont bien plutôt consolidé les pires
tyrannies
matérielles, et consacré la primauté de l’économie, la primauté de l’
12
r là même, ne laisse-t-il pas le champ libre à la
tyrannie
, c’est-à-dire à la mécanique étatiste et dictatoriale qui tient lieu
13
auver l’homme concret de l’empire grandissant des
tyrannies
abstraites, étatistes ou financières, il faudra reconnaître dans le p
14
me. On l’appellera État, matérialisme, racisme ou
tyrannie
; mais son essence est plus profonde et n’a de nom dans aucune langue
15
plus il se défend, plus il impose à la Nature sa
tyrannie
, moins il comprend le sens de sa haine anxieuse. Peut-être, s’il alla
16
isme et au mépris de la Nature ? Mode bourgeoise,
tyrannie
décadente, tout occupée à calculer sa propre mort. Mais Ramuz n’est p
17
antiques, peinturlurés à la moderne, ces vieilles
tyrannies
importées d’un Orient où l’on savait au moins, même en les adorant, q
18
tifie en philosophie le monisme, en politique les
tyrannies
abstraites, Dandieu reprend l’argumentation que Proudhon d’une part,
19
norait naguère, et qui deviennent obsédantes : la
tyrannie
des voisins, des concierges, la brutalité des gérants, qui fait si bi
20
goût morbide de « l’autorité » confondue avec la
tyrannie
étatique, d’un anti- « grand capitalisme » de petits bourgeois, bref
21
tes, ça s’appelle fascisme. Le fascisme, c’est la
tyrannie
, le crime, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennen
22
cer le bourgeois : mais je ne vois pas en quoi la
tyrannie
du matériel qu’ils prônent est meilleure pour les hommes que le prése
23
dent rien à leurs intérêts véritables, et que les
tyrannies
les plus absurdes ont seules la vertu d’exciter l’enthousiasme. Mais
24
antiques, peinturlurés à la moderne, ces vieilles
tyrannies
importées d’un Orient où l’on savait au moins, même en les adorant, q
25
tifie en philosophie le monisme, en politique les
tyrannies
abstraites, Dandieu reprend l’argumentation que Proudhon d’une part,
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goût morbide de « l’autorité » confondue avec la
tyrannie
étatique, d’un anti-« grand capitalisme » de petits bourgeois, bref —
27
tes, ça s’appelle fascisme. Le fascisme, c’est la
tyrannie
, le crime, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennen
28
cer le bourgeois : mais je ne vois pas en quoi la
tyrannie
du matériel qu’ils prônent est meilleure pour les hommes que le prése
29
dent rien à leurs intérêts véritables, et que les
tyrannies
les plus absurdes ont la vertu d’exciter l’enthousiasme. Mais vous êt
30
t le capitalisme créateur de chômage, là c’est la
tyrannie
des dictatures. C’est contre la forme du monde que protestent les soc
31
a nouvelle génération en pleine révolte contre la
tyrannie
bancaire et puritaine, Waldo Franck, a écrit une phrase qui condense
32
listes ; — dénoncer la mystique des partis, cette
tyrannie
démocratique ; combattre et dénoncer cette autre tyrannie qui s’appel
33
démocratique ; combattre et dénoncer cette autre
tyrannie
qui s’appelle la grande presse, et qui voudrait se faire prendre pour
34
Cette erreur des fameux techniciens nous vaut les
tyrannies
actuelles. Considérant le désordre où nous sommes, ils prétendent nou
35
ciées », et non pas au sens purement politique de
tyrannie
exercée par un seul homme dans tous les domaines. 37. Particulièreme
36
ranniques qui s’établissent autour de nous. Or la
tyrannie
d’un pouvoir grandit exactement dans la mesure où l’autorité diminue.
37
renaissance et de construction. « Dictature », «
tyrannie
», « conformisme brutal », tout cela qui épouvante les libéraux n’est
38
ce nom — la fédération, non la masse ; et non la
tyrannie
d’un seul, et non le gigantisme national. La société doit être un cor
39
. Elle est aussi une défense nécessaire contre la
tyrannie
des mythes. C’est peut-être elle qui nous a délivrés de l’empire des
40
vaincre. Elle se met à régner à leur place, et sa
tyrannie
se révèle plus inhumaine encore que n’étaient leurs caprices. Le sava
41
s sur les facultés d’invention, il en résulte une
tyrannie
, qui s’appellera selon les cas rationalisation, rationalisme, raison
42
oins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette
tyrannie
des faits aux yeux des délicats qui s’en offusqueraient, aux yeux des
43
demain de son succès, en une pratique qui est une
tyrannie
, tandis que la doctrine, évadée du réel, se flattait d’une absurde li
44
: en face de la mesure ancienne qui se survit en
tyrannie
stérile et idolâtre, affirmer une mesure nouvelle, une mesure qui ram
45
renaissance et de construction. « Dictature », «
tyrannie
», « conformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’e
46
ce nom — la fédération, non la masse ; et non la
tyrannie
d’un seul, et non le gigantisme national. La société doit être un cor
47
istoire qui n’en est pas une69 mais qui figure la
tyrannie
scolastique la plus sournoise qu’aient jamais inventée les université
48
u en fin de compte engendrer que le désespoir, la
tyrannie
ou l’amertume nihiliste. Les contradictions du monde figurent dans l’
49
. Elle est aussi une défense nécessaire contre la
tyrannie
des mythes. C’est peut-être elle qui nous a délivrés de l’empire des
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vaincre. Elle se met à régner à leur place, et sa
tyrannie
se révèle plus inhumaine encore que n’étaient leurs caprices. Le sava
51
s sur les facultés d’invention, il en résulte une
tyrannie
, qui s’appellera selon les cas rationalisation, rationalisme, raison
52
oins qu’elle ne vise au contraire à masquer cette
tyrannie
des faits aux yeux des délicats qui s’en offusqueraient, aux yeux des
53
demain de son succès, en une pratique qui est une
tyrannie
, tandis que la doctrine, évadée du réel, se flattait d’une absurde li
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: en face de la mesure ancienne qui se survit en
tyrannie
stérile et idolâtre, affirmer une mesure nouvelle, une mesure qui ram
55
similer dictature et crime, discipline sociale et
tyrannie
, volonté de servir et trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’u
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renaissance et de construction. « Dictature », «
tyrannie
», « conformisme brutal », tout cela, qui épouvante les libéraux, n’e
57
ce nom — la fédération, non la masse ; et non la
tyrannie
d’un seul, et non le gigantisme national. La société doit être un cor
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istoire qui n’en est pas une71 mais qui figure la
tyrannie
scolastique la plus sournoise qu’aient jamais inventée les université
59
u en fin de compte engendrer que le désespoir, la
tyrannie
ou l’amertume nihiliste. Les contradictions du monde figurent dans l’
60
humaine, respect de la vérité et lutte contre la
tyrannie
de l’argent. Louis E. Galey, Jacques Madaule, Jean Maze, R.-Philippe
61
le de garant des libertés personnelles contre les
tyrannies
administratives. Son fonctionnement sera donc, en certains points, a
62
té pour fonctionner. Autrement, il n’est plus que
tyrannie
, c’est-à-dire que ses jours sont comptés. Quant à l’objection connexe
63
verse : le Conseil suprême deviendrait la suprême
tyrannie
, celle qui contraint les esprits et non plus seulement les corps. Nou
64
s commodités, qui violente ses habitudes devenues
tyrannies
, et qui crée des possibles nouveaux. La révolution ainsi comprise est
65
a personne se retourne contre elle, au profit des
tyrannies
impersonnelles. C’est l’instant où l’homme dit : « Que voulez-vous qu
66
a personne se retourne contre elle, au profit des
tyrannies
impersonnelles. C’est l’instant où l’homme dit : « Que voulez-vous qu
67
ieuses de l’éthique puritaine, et transformant en
tyrannie
absurde ce qui était à l’origine une attitude d’obéissance à la foi,
68
s ce livre une parabole de l’homme traqué par les
tyrannies
anonymes qui se multiplient dans notre siècle49, et tendent à faire d
69
t de création, systématiquement déprimées par les
tyrannies
que l’on sait. Mais tout ceci nous maintiendrait encore dans le seul
70
s. Hystérie collective, disent les rationalistes.
Tyrannie
, disent les démocrates. Autant de mots vides ou de mensonges pour les
71
entiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une
tyrannie
, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du F
72
« Comment libérer l’État de la
tyrannie
de l’Argent ? » (10 juin 1938)c Nous sommes en train de passer du
73
ez, je crois. c. « Comment libérer l’État de la
tyrannie
de l’Argent ? Réponse de M. Denis de Rougemont », Combat, Paris, n° 2
74
ulent le croire, un moyen terme entre anarchie et
tyrannie
, c’est au contraire l’équilibre central et créateur dont l’individual
75
gt raisons d’accepter comme tant de bourgeois une
tyrannie
prétendue provisoire, d’où naîtra peut-être un homme neuf, un bonheur
76
s. Hystérie collective, disent les rationalistes.
Tyrannie
, disent les démocrates. Autant de mots vides ou de mensonges pour les
77
entiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une
tyrannie
, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du F
78
hystérie collective ». Les démocrates disent : «
tyrannie
». Or, tout cela est démenti par les faits. Ce n’est pas pour défendr
79
un sentiment sacré. Et ce n’est pas la soif d’une
tyrannie
, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du F
80
aimer pas ; que, si on vient jusque-là, c’est une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ; et qu’enfin la personne aimée nous a b
81
», — tandis que Corneille ne veut y voir qu’« une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie voluptueuse de l’un,
82
n homme du xviiie , connaît trop bien sa monotone
tyrannie
. Ce que Pétrarque négligeait, c’est l’obstacle physique dont il faut
83
envahissement de l’Europe par une plus insidieuse
tyrannie
. Jusqu’au jour où Wagner, d’un seul coup, dressera le mythe dans sa p
84
ceurs. » (D’où le désir sadique de se libérer des
tyrannies
sensuelles par l’excès de débauche.) Autre condamnation vraiment mani
85
acrés du groupe, et par là même à son principe de
tyrannie
. Ce mouvement d’arrachement au sacré sombre, à l’empire des morts, ce
86
isse, un appel à une communauté. L’anarchie et la
tyrannie
, successivement, ont fait faillite. Quelle sera la nouvelle société ?
87
la queue !83. (Marcabru.) Chasteté délivre de la
tyrannie
du désir en portant le Désir (courtois) à l’extrême : Par excès de dé
88
ct sexuel est ressenti comme un destin cruel, une
tyrannie
; orgueil : cette tyrannie sera conçue comme une force divinisante —
89
e un destin cruel, une tyrannie ; orgueil : cette
tyrannie
sera conçue comme une force divinisante — c’est-à-dire dressant l’hom
90
, dont le philtre d’amour symbolise l’inéluctable
tyrannie
. L’homme n’est pas libre. Il est déterminé par le démon. Mais s’il as
91
aimer pas ; que, si on vient jusque-là, c’est une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ; et qu’enfin la personne aimée nous a b
92
», — tandis que Corneille ne veut y voir qu’« une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie voluptueuse de l’un,
93
n homme du xviiie , connaît trop bien sa monotone
tyrannie
. Ce que Pétrarque négligeait, c’est l’obstacle physique dont il faut
94
envahissement de l’Europe par une plus insidieuse
tyrannie
. Jusqu’au jour où Wagner, d’un seul coup, dressera le mythe dans sa p
95
ez la queue75 (Marcabru.) Chasteté délivre de la
tyrannie
du désir en portant le Désir (courtois) à l’extrême : Par excès de d
96
ct sexuel est ressenti comme un destin cruel, une
tyrannie
; orgueil : cette tyrannie sera conçue comme une force divinisante —
97
e un destin cruel, une tyrannie ; orgueil : cette
tyrannie
sera conçue comme une force divinisante — c’est-à-dire dressant l’hom
98
, dont le philtre d’amour symbolise l’inéluctable
tyrannie
. L’homme n’est pas libre. Il est déterminé par le démon. Mais s’il as
99
aimer pas ; que, si on vient jusque-là, c’est une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ; et qu’enfin la personne aimée nous a b
100
, — tandis que Corneille ne veut y voir qu’ « une
tyrannie
dont il faut secouer le joug ». D’où l’harmonie voluptueuse de l’un,
101
n homme du xviiie , connaît trop bien sa monotone
tyrannie
. Ce que Pétrarque négligeait, c’est l’obstacle physique dont il faut
102
envahissement de l’Europe par une plus insidieuse
tyrannie
. Jusqu’au jour où Wagner, d’un seul coup, dressera le mythe dans sa p
103
ceurs. » (D’où le désir sadique de se libérer des
tyrannies
sensuelles par l’excès de débauche.) Autre condamnation vraiment mani
104
ologiques, cette loi est pratiquement une odieuse
tyrannie
pour tous ceux qui débordent le cadre, c’est autant dire pour tous le
105
e de nos jours ? Sommes-nous bien certains que la
tyrannie
de l’opinion publique vaut mieux que celle des aristocrates ? Sommes-
106
el. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la
tyrannie
. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de l
107
sme porte en soi les germes indestructibles de la
tyrannie
politique (malgré la « résistance » qu’auraient représentée tous ces
108
ver, et qui consiste à voir dans l’hitlérisme une
tyrannie
« de droite », détestée par les masses. « Le totalitarisme, écrit M.
109
el. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la
tyrannie
. » Et qu’il suffise enfin d’une allusion aux prophéties de Burckhardt
110
el. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la
tyrannie
. » Et qu’il suffise enfin d’une allusion aux prophéties célèbres de B
111
el. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la
tyrannie
. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de l
112
acrés du groupe, et par là même à son principe de
tyrannie
. Ce mouvement d’arrachement au sacré sombre, à l’empire des morts, ce
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isse, un appel à une communauté. L’anarchie et la
tyrannie
, successivement, ont fait faillite. Quelle sera la nouvelle société ?
114
ologiques, cette loi est pratiquement une odieuse
tyrannie
pour tous ceux qui débordent le cadre, c’est autant dire pour tous le
115
atie sans spiritualité chrétienne aboutirait à la
tyrannie
. 16. Cf. Penser avec les mains , où ces idées sont développées plus
116
e de nos jours ? Sommes-nous bien certains que la
tyrannie
de l’opinion publique vaut mieux que celle des aristocrates ? Sommes-
117
naturel »… Je rappelle donc que la formule de la
tyrannie
maxima est celle de l’État qui prétend que ses frontières douanières
118
el. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la
tyrannie
. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de l
119
acrés du groupe, et par là même à son principe de
tyrannie
. Ce mouvement d’arrachement au sacré sombre, à l’empire des morts, ce
120
isse, un appel à une communauté. L’anarchie et la
tyrannie
, successivement, ont fait faillite. Quelle sera la nouvelle société ?
121
sens sacré du contrat, sous peine de déchaîner la
tyrannie
, bientôt sanglante, des démons de la jungle intérieure. Telle est la
122
s des réalités simples qui seraient d’une part la
tyrannie
et d’autre part la liberté ? Mais dites-moi donc ce qu’est la liberté
123
sans raison, qu’elle achèvera mieux que les pires
tyrannies
d’ahurir notre sens moral… J’allais écrire que le seul remède serait
124
condition est un fantôme, annonciateur des pires
tyrannies
. J’en nommerai une. 30. Le démon de la Police Le voyageur et l
125
sens sacré du contrat, sous peine de déchaîner la
tyrannie
, bientôt sanglante, des démons de la jungle intérieure. Telle est la
126
s des réalités simples qui seraient d’une part la
tyrannie
et d’autre part la liberté ? Mais dites-moi donc ce qu’est la liberté
127
sans raison, qu’elle achèvera mieux que les pires
tyrannies
d’ahurir notre sens moral… J’allais écrire que le seul remède serait
128
condition est un fantôme, annonciateur des pires
tyrannies
. J’en nommerai une. 30. Le démon de la Police Le voyageur et l’
129
sens sacré du contrat, sous peine de déchaîner la
tyrannie
, bientôt sanglante, des démons de la jungle intérieure. Telle est la
130
s des réalités simples qui seraient d’une part la
tyrannie
et d’autre part la liberté ? Mais dites-moi donc ce qu’est la liberté
131
sans raison, qu’elle achèvera mieux que les pires
tyrannies
d’ahurir notre sens moral… J’allais écrire que le seul remède serait
132
tivité qui « fatalement » prolonge ou aggrave les
tyrannies
qu’elle avait pour seul but d’écraser. Mais ceci est une autre histoi
133
uraient plus de choix qu’entre la démission et la
tyrannie
déclarée. Les bureaux à l’américaine semblent avoir été créés pour ép
134
(Tel parti réputé libertaire vote des mesures de
tyrannie
. La « politique » et ses « nécessités » expliquent seules la contradi
135
r le monde, que des tyrans, leurs guerres, et les
tyrannies
qui en résultent… Un mot encore. Ce programme, qui résume à mes yeux
136
e et la révolution. Du conflit moral résultent la
tyrannie
et l’anarchie. Du conflit idéologique et religieux résultent des mise
137
ainement contrôlable. C’est la formule même de la
tyrannie
. Car, contre un principe d’unité immanent, mais pratiquement puis thé
138
atie réelle, qui est le fédéralisme. Un régime de
tyrannie
n’aboutit jamais à la liberté. On le voit, M. Denis de Rougemont nous
139
elques phrases admirables d’Alexandre Vinet (« La
tyrannie
est le souverain désordre » par exemple), la brochure de Benjamin Con
140
ont pas les différences qui me révoltent, mais la
tyrannie
qui les dicte. Le monde capitaliste est arbitraire et manifestement i
141
tivité qui « fatalement » prolonge ou aggrave les
tyrannies
qu’elle avait pour seul but d’écraser. Mais ceci est une autre histoi
142
tivité qui « fatalement » prolonge ou aggrave les
tyrannies
qu’elle avait pour seul but d’écraser. Mais ceci est une autre histoi
143
nacer le bourgeois mais je ne vois pas en quoi la
tyrannie
du matériel qu’ils prônent est meilleure pour les hommes que le prése
144
a personne se retourne contre elle, au profit des
tyrannies
impersonnelles. C’est l’instant où l’homme dit : « Que voulez-vous qu
145
gt raisons d’accepter comme tant de bourgeois une
tyrannie
prétendue provisoire, d’où naîtra peut-être un homme neuf, un bonheur
146
s. Hystérie collective, disent les rationalistes.
Tyrannie
, disent les démocrates. Autant de mots vides ou de mensonges pour les
147
entiment « sacré ». Et ce n’est pas la soif d’une
tyrannie
, au sens politique et légal, qui a jeté l’Autriche dans les bras du F
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elques phrases admirables d’Alexandre Vinet (« La
tyrannie
est le souverain désordre » par exemple), la brochure de Benjamin Con
149
ont pas les différences qui me révoltent, mais la
tyrannie
qui les dicte. Le monde capitaliste est arbitraire et manifestement i