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fisantes. Francis de Miomandre n’est pas là. Il a
téléphoné
au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. Son absence nous
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fisantes. Francis de Miomandre n’est pas là. Il a
téléphoné
au début de l’après-midi qu’il commençait un roman. Son absence nous
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r le courrier. L’autobus vient de partir. Il faut
téléphoner
au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal, discuter passio
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r le courrier. L’autobus vient de partir. Il faut
téléphoner
au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal, discuter passio
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r le courrier. L’autobus vient de partir. Il faut
téléphoner
au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal, discuter passio
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re voiture, vous prient de dire où vous allez, et
téléphonent
à votre hôtesse pour vérifier que vous êtes attendu. Retenu cette phr
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ans l’attente d’un visa de retour aux États-Unis.
Téléphoné
ce soir à Mme B. Je m’ennuie, je m’énerve, chère amie. Vous auriez bi
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r le courrier. L’autobus vient de partir. Il faut
téléphoner
au chef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal, discuter passio
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re voiture, vous prient de dire où vous allez, et
téléphonent
à votre hôtesse pour vérifier que vous êtes attendu. Retenu cette phr
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ans l’attente d’un visa de retour aux États-Unis.
Téléphoné
ce soir à Jovita B… « Je m’ennuie, je m’énerve, n’auriez-vous pas une
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l de la rue Sébastien-Bottin, j’étais en train de
téléphoner
quand je le vois descendre l’escalier. Je parle en le suivant d’un œi
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Madariaga que je l’attends. Ou plutôt non, je lui
téléphonerai
. » Un sourire un peu grave et charmeur. Un adieu familier de la main.
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sa retraite montagnarde dans le Trentin, il avait
téléphoné
au président du Conseil Scelba, l’adjurant « en pleurant », disent le
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r l’Espagne. — Très bien, je m’en irai à 16 h… Je
téléphonai
à quelques amis pour annoncer mon départ, et à la Gare de Lyon j’eus
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commençait qu’à l’heure où il pouvait se mettre à
téléphoner
et à fixer des rendez-vous. C’est alors qu’il entrait en action créat
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l de la rue Sébastien-Bottin, j’étais en train de
téléphoner
, quand je le vois descendre l’escalier. Je parle en le suivant d’un œ
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rence, et s’ils voulaient sortir, il leur fallait
téléphoner
au secrétariat… Lors de la séance finale du 12 décembre 1949, lecture
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i de bons amis là-bas, ils m’écrivent souvent, me
téléphonent
, traduisent mes livres. Je sais qu’ils sont plus Européens que beauco