1 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
1 blèmes » souvent si vagues qui peuplent une âme d’ unioniste romand. Vraiment, le souvenir d’une influence et d’une présence aussi
2 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). III. Organisation de la Ligue
2 ventions), officiers, indépendants, coopérateurs, unionistes chrétiens, militants des « Tatgemeinschaften », etc. Une chose doit ê
3 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
3 1948. Elle reflète la lutte entre les tendances «  unioniste  » et « fédéraliste » qui devait animer les débats de La Haye, et qui
4 ommes d’État qui la représentaient, la tendance «  unioniste  » dominait largement. Elle tenait la plupart des postes de commande.
5 prévoir, avant le congrès, que l’inconsistance «  unioniste  » ne jouerait à La Haye que le rôle d’un frein, par rapport au fédéra
6 es à l’unanimité. Quant à l’action de la tendance unioniste , elle consista surtout à rappeler sans relâche la prudence nécessaire
7 . Derrière les divergences souvent verbales entre unionistes et fédéralistes, le seul conflit profond qui divisa le congrès fut ce
8 , le projet de Conseil politique, proposé par des unionistes , n’a pas été retenu par l’assemblée. 5. Cette phrase figure dans la
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
9 de libéralisme et de dirigisme.) Que veulent les unionistes  ? L’Europe unie, bien sûr. Mais pas trop vite, ni trop précisément… I
10 us de dix jours, malgré les efforts conjugués des unionistes nordiques et des ministres, malgré les conseils de lenteur, de sagess
5 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
11 e l’Europe ». C’est qu’ils sont déjà fédérés. Aux unionistes , je tiendrai ce langage : Vous dites, messieurs, qu’il faut être pru
6 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
12 ) et ancêtre de tous les « confédéralistes » ou «  unionistes  » européens : On appelle Grecs plutôt les gens qui participent à not
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
13 ) et ancêtre de tous les « confédéralistes » ou «  unionistes  » européens : On appelle Grecs plutôt les gens qui participent à not
8 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
14 ion d’une vingtaine de mouvements fédéralistes ou unionistes , de quelques grands hommes politiques, et de plus de 800 députés, dir
9 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
15 ande envergure (or on vient de voir comment les «  unionistes  » la tuèrent dans l’œuf) ; 2) fonder la fédération sur d’autres éléme
10 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
16 entre l’élan des fédéralistes et la tactique des unionistes . « Rien ne peut se faire sans les gouvernements », disaient les uns…
17 primordial ou unique. (Les autres s’appelaient «  unionistes  »…) De Montreux à La Haye : qui formulera le sens ? L’UEF atten
18 entre les ambitions fédéralistes et les objectifs unionistes . Dira-t-on que le comité de liaison se rapprochait du « possible », c
19 d’origine ». La controverse entre fédéralistes et unionistes laisse une trace sensible dans la résolution politique : l’emploi, à
20 les absolues. Le rapport politique (d’inspiration unioniste ) proposait un conseil extraordinaire pourvu d’un secrétariat permanen
21 , né au cours des mois suivants et dominé par les unionistes , convoqua d’abord un congrès politique à Bruxelles, en février 1949,
22 res pour s’offrir un si grand appareil. Ainsi les unionistes (la droite continentale et le Labour) avaient eu leur Conseil de Stra
23 , sans politique d’ensemble. À qui la faute ? Les unionistes avaient mieux travaillé que les fédéralistes, c’est certain, et leur
11 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
24 ction d’une dizaine de mouvements fédéralistes ou unionistes , de quelques grands hommes politiques et de plus de huit-cents député
12 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
25 , deux grandes tendances s’affrontent : celle des unionistes (à la Churchill) qui demandent des mesures « d’union plus étroite » n
26 ulées maintes fois pendant la période des congrès unionistes et fédéralistes, de 1946 à 1949. La nouveauté, dans l’approche de Jea
13 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
27 venait inévitable. Était-ce la fin des espérances unionistes et fédéralistes ? Ce fut tout au contraire le banc d’essai de leurs f
14 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Introduction
28 ct des formules établies, se veulent simplement «  unionistes  ». Les deux tendances se rencontrent au Congrès de l’Europe, à La Ha