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blèmes » souvent si vagues qui peuplent une âme d’
unioniste
romand. Vraiment, le souvenir d’une influence et d’une présence aussi
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ventions), officiers, indépendants, coopérateurs,
unionistes
chrétiens, militants des « Tatgemeinschaften », etc. Une chose doit ê
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1948. Elle reflète la lutte entre les tendances «
unioniste
» et « fédéraliste » qui devait animer les débats de La Haye, et qui
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ommes d’État qui la représentaient, la tendance «
unioniste
» dominait largement. Elle tenait la plupart des postes de commande.
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prévoir, avant le congrès, que l’inconsistance «
unioniste
» ne jouerait à La Haye que le rôle d’un frein, par rapport au fédéra
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es à l’unanimité. Quant à l’action de la tendance
unioniste
, elle consista surtout à rappeler sans relâche la prudence nécessaire
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. Derrière les divergences souvent verbales entre
unionistes
et fédéralistes, le seul conflit profond qui divisa le congrès fut ce
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, le projet de Conseil politique, proposé par des
unionistes
, n’a pas été retenu par l’assemblée. 5. Cette phrase figure dans la
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de libéralisme et de dirigisme.) Que veulent les
unionistes
? L’Europe unie, bien sûr. Mais pas trop vite, ni trop précisément… I
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us de dix jours, malgré les efforts conjugués des
unionistes
nordiques et des ministres, malgré les conseils de lenteur, de sagess
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e l’Europe ». C’est qu’ils sont déjà fédérés. Aux
unionistes
, je tiendrai ce langage : Vous dites, messieurs, qu’il faut être pru
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) et ancêtre de tous les « confédéralistes » ou «
unionistes
» européens : On appelle Grecs plutôt les gens qui participent à not
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) et ancêtre de tous les « confédéralistes » ou «
unionistes
» européens : On appelle Grecs plutôt les gens qui participent à not
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ion d’une vingtaine de mouvements fédéralistes ou
unionistes
, de quelques grands hommes politiques, et de plus de 800 députés, dir
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ande envergure (or on vient de voir comment les «
unionistes
» la tuèrent dans l’œuf) ; 2) fonder la fédération sur d’autres éléme
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entre l’élan des fédéralistes et la tactique des
unionistes
. « Rien ne peut se faire sans les gouvernements », disaient les uns…
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primordial ou unique. (Les autres s’appelaient «
unionistes
»…) De Montreux à La Haye : qui formulera le sens ? L’UEF atten
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entre les ambitions fédéralistes et les objectifs
unionistes
. Dira-t-on que le comité de liaison se rapprochait du « possible », c
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d’origine ». La controverse entre fédéralistes et
unionistes
laisse une trace sensible dans la résolution politique : l’emploi, à
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les absolues. Le rapport politique (d’inspiration
unioniste
) proposait un conseil extraordinaire pourvu d’un secrétariat permanen
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, né au cours des mois suivants et dominé par les
unionistes
, convoqua d’abord un congrès politique à Bruxelles, en février 1949,
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res pour s’offrir un si grand appareil. Ainsi les
unionistes
(la droite continentale et le Labour) avaient eu leur Conseil de Stra
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, sans politique d’ensemble. À qui la faute ? Les
unionistes
avaient mieux travaillé que les fédéralistes, c’est certain, et leur
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ction d’une dizaine de mouvements fédéralistes ou
unionistes
, de quelques grands hommes politiques et de plus de huit-cents député
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, deux grandes tendances s’affrontent : celle des
unionistes
(à la Churchill) qui demandent des mesures « d’union plus étroite » n
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ulées maintes fois pendant la période des congrès
unionistes
et fédéralistes, de 1946 à 1949. La nouveauté, dans l’approche de Jea
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venait inévitable. Était-ce la fin des espérances
unionistes
et fédéralistes ? Ce fut tout au contraire le banc d’essai de leurs f
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ct des formules établies, se veulent simplement «
unionistes
». Les deux tendances se rencontrent au Congrès de l’Europe, à La Ha