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e décentralisatrice d’une part, et d’autre part l’
universalisme
issu directement des personnes et qui pourrait se concrétiser dans un
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es former, à les conduire vers leur plénitude. Un
universalisme
est donc souhaitable. Et tout le monde est d’accord pour le souhaiter
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ù nous venons, où nous allons… À son défaut, tout
universalisme
imaginé par nos cerveaux sera frappé du même vice que les orthodoxies
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its. Je ne connais pas de doctrine universelle, d’
universalisme
concevable, descriptible, à notre portée et à notre disposition, c’es
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d’une éthique fondée sur la vocation : a) un faux
universalisme
fruit d’une éducation sans couleur confessionnelle, philosophique ni
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vre de millions d’espoirs. Pourtant, le sens de l’
universalisme
peut-il être instauré ou restauré à partir d’une Église qui se dit «
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e à tout prix et justice d’abord, régionalisme et
universalisme
, liberté et engagement, et vingt autres tensions dans tous les ordres
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r des appels à l’opinion publique. Conclusion : l’
universalisme
européen 14. Une fois rendue plus consciente d’elle-même, de ses ress
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e à tout prix et justice d’abord, régionalisme et
universalisme
, liberté et engagement, et vingt autres tensions dans tous les ordres
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omme aujourd’hui le communisme. Il est vrai que l’
universalisme
reste une prétention honorable, dans le domaine des idées pures (s’il
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sous leur regard méfiant les illusions de notre «
universalisme
» ou à découvrir ses vraies bases. Classons d’abord les éléments cara
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sous leur regard méfiant les illusions de notre «
universalisme
» — ou à découvrir ses vraies bases. Classons d’abord les éléments ca
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alheurs. » Elle a créé l’idée de l’humanité, de l’
universalisme
, et en son nom, elle a donné au monde tout ce qu’elle inventait pour
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seule cité natale. Quoi de plus Européen que cet
universalisme
? Mais venons-en aux textes grecs. G. de Reynold22 distingue trois ét
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ne manque pas de lucidité, l’ennemi juré c’est l’
universalisme
des chrétiens. Mais ceci n’est qu’une parenthèse. Avec Sulpice Sévère
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seule cité natale. Quoi de plus Européen que cet
universalisme
? Mais venons-en aux textes grecs. G. de Reynold32 distingue trois ét
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ne manque pas de lucidité, l’ennemi juré c’est l’
universalisme
des chrétiens. Mais ceci n’est qu’une parenthèse. Avec Sulpice Sévèr
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te, Paris, 1925. L’auteur fait des réserves sur l’
universalisme
d’Isocrate… 35. C’est aujourd’hui le Don. 36. Commento alla Comedi
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es, il voit le monde s’agrandir et s’en réjouit :
universalisme
. Il a cherché le moyen de correspondre en toutes les langues, par le
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d’une éthique fondée sur la vocation : a) un faux
universalisme
fruit d’une éducation sans couleur confessionnelle, philosophique ni
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le impérial plutôt qu’apostolique, et preuve d’un
universalisme
conçu en termes proprement européens ; ses attaches doctrinales arist
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rent ainsi à ramener la pensée occidentale vers l’
universalisme
originel et final du christianisme. C’est dans le prolongement de cet
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e, ni agressive ni masochiste, et pour laquelle l’
universalisme
ne signifie plus l’ambition naïve d’imposer à la Terre entière une ce
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erté et planification, attachement à la patrie et
universalisme
, autorité fédérale et autonomie locale. Enfin, un remarquable rapport
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l’équilibre nécessaire entre le régionalisme et l’
universalisme
», la commune de Paris, en 1871 : … le communisme de la Commune ne s
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capitalisme anonyme et nomade, mélange des races,
universalisme
judéo-chrétien — qui détruisent les liens organiques et naturels, don
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vain, en matière de culture, de vouloir poser à l’
universalisme
et de nier les spécificités continentales (Europe, Afrique noire, mon
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capitalisme anonyme et nomade, mélange de races,
universalisme
judéo-chrétien, qui détruisent les liens organiques et naturels, donc
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ui et contre la papauté qui est l’autre symbole d’
universalisme
au Moyen Âge. 1er novembre 1968 Pendant des siècles, l’Église s’est v