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res nous parlent d’une contamination des atomes d’
uranium
nageant dans l’Océan. Ou de nuages radioactifs qui se promèneraient a
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table, mais du pétrole existant, des forêts, de l’
uranium
, de l’air et de l’eau sur la Terre, et partout le calcul prospectif n
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s de tonnes de charbon mais par quelques tonnes d’
uranium
. Ce jour-là la physionomie de l’économie mondiale sera changée et si
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trales nucléaires qui prendront la relève. Mais l’
uranium
qui les nourrit sera aussi épuisé, pense-t-on, en trente ans. Qu’à ce
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des investissements fabuleux et inchiffrables (l’
uranium
a quintuplé en sept ans). Les prix de tous les éléments varient tous
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des éléments usés peut consister à en dissoudre l’
uranium
et les produits de fission dans un bain d’acide nitrique, puis à sépa
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n dans un bain d’acide nitrique, puis à séparer l’
uranium
(et le plutonium) du reste par un processus chimique complexe. Ce res
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e de nous dire que pendant ce temps, le prix de l’
uranium
aussi a quadruplé, de même que le prix de construction des centrales.
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lges, autrichiennes) ; elle les nourrit avec de l’
uranium
américain ; enfin, elle envoie ses déchets, pour retraitement, à l’us
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la sorte à la charge des contribuables. Quant à l’
uranium
dont on nous disait « qu’il y en a partout », il vient actuellement d
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autres pays, voire d’autres continents, pour leur
uranium
, leur technique, leur financement, et les retraitements de leurs déch
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des centrales babyloniennes, mais ce n’est pas l’
uranium
américain ou russe, ni les pétrodollars investis dans le nucléaire qu
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t la pénurie dans vingt ans du pétrole, puis de l’
uranium
censé le remplacer. Même en portant de 4 % à 25 % la part du nucléair
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alement des problèmes avec l’énergie nucléaire, l’
uranium
n’étant pas non plus à disposition de manière illimitée. Et pourtant,
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le combustible (puisqu’elle possède peu ou pas d’
uranium
). Mais parlons d’autre chose, parce que je suis intarissable sur ce s
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a ne veut rien dire ! La France n’a presque pas d’
uranium
. Elle dépendra pour le combustible de ses centrales nucléaires des Ét
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mme s’il y avait de l’aluminium, du pétrole, de l’
uranium
pour mille ans ! Au fond, qu’est-ce que le progrès ? C’est le progrès
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s terrestres non renouvelables — hydrocarbures et
uranium
, oxygène, eau potable, etc. — si l’on continue au même rythme, ou si
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ez de magnésium, pas assez de cuivre, pas assez d’
uranium
… Et surtout, pas assez de pétrole. Donc, plus personne ne devrait ose
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si elle ne cesse pas de gaspiller son énergie (l’
uranium
sera épuisé en même temps que le pétrole), l’Europe est menacée de mo
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naturelles non renouvelables comme le pétrole, l’
uranium
, le manganèse (sans lequel notre fer ne donnera pas d’acier). Ce qui
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rique noire, plus tard de l’Afrique du Sud pour l’
uranium
, et de l’URSS pour l’uranium enrichi. Cette dépendance ne pourrait qu
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frique du Sud pour l’uranium, et de l’URSS pour l’
uranium
enrichi. Cette dépendance ne pourrait qu’augmenter avec l’accroisseme
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elative pénurie d’énergie primaire (pétrole, puis
uranium
) à l’échelle mondiale deviendrait pour les Européens une catastrophe
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ches) ; — pour le gaz naturel dès 1985 ; — pour l’
uranium
dès 1990. Toutes ces prévisions supposent, répétons-le, une croissanc
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Au moment où le pétrole manquera13, la pénurie d’
uranium
s’annoncera. L’alternative aux centrales actuelles sera donc celle de
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eys-Malville ; — les matières premières requises (
uranium
ou thorium) épuisables dans les mêmes délais que le pétrole ; — la dé
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ranger (techniques, licences, approvisionnement d’
uranium
, retraitement, stations de stockage des déchets, financement) ; — les
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lités de remédier à la pénurie du pétrole et de l’
uranium
, d’autres sources connues d’énergie : solaire avant tout, puis géothe
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ncent pour la fin de ce siècle : du pétrole, de l’
uranium
, de l’eau potable, et possiblement de l’oxygène si l’on continue à dé
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es ont produit de l’or à partir du cuivre ou de l’
uranium
, du bois, des peaux de phoque, ou même de la main-d’œuvre à bon march
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nait parce que la Centrafrique détient beaucoup d’
uranium
dans son sol. (D’où la chute de l’empereur, sitôt qu’il a traité avec
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de tabac ? de tomates ? de soja ? de pétrole ? d’
uranium
? Quand la maîtresse d’un roi lui adresse l’apostrophe fameuse : « La
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s épuisables que l’on ne contrôle pas (pétrole et
uranium
dès aujourd’hui, mais demain eaux, forêts, aliments). 7. Avantages
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s épuisables que l’on ne contrôle pas (pétrole et
uranium
dès aujourd’hui, mais demain eaux, forêts, aliments). 7. Avantages