1 de cette ville illusoire est la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous savez, je lance mes filets dans l’eau des nuits, et qu

2 t fiévreux, mais comme abandonné par la grâce. Ce vagabondage désespéré dura plusieurs semaines, au terme desquelles, épuisé de cor

3 de cette ville illusoire est la plus douce à mes vagabondages sans but. Vous savez, je lance mes filets dans l’eau des nuits, et qu

4 t fiévreux, mais comme abandonné par la grâce. Ce vagabondage désespéré dura plusieurs semaines, au terme desquelles, épuisé de cor

5 ins commentée, bonhomie et rosseries négligentes, vagabondages , passages, glissements, liaisons, circulation… Thibaudet s’est parfai

6 ue. Son existence réelle se confond avec tous les vagabondages qu’il imagine. Il peut même retrouver une espèce d’activité, purement

7 , et tout mon lyrisme aux aguets des surprises du vagabondage . Janvier 1934. (En séjour chez un ami près de Taillefer.) J’ai

8 , et tout mon lyrisme aux aguets des surprises du vagabondage . Janvier 1934. (En séjour chez un ami près de Royan.) J’ai inte

9 ue. Son existence réelle se confond avec tous les vagabondages qu’il imagine. Il peut même retrouver une espèce d’activité, purement

10 elle, vers le pays natal, Ithaque, ce passionnant vagabondage , cette longue errance, qui est aussi une longue « erreur », selon le

11 elle, vers le pays natal, Ithaque, ce passionnant vagabondage , cette longue errance, qui est aussi une longue « erreur », selon le