1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
1 au ras d’un sol sablonneux que l’on fume avec du varech . De l’île, du village, de la mer, je ne veux rien dire encore : je la
2 leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la veille encore recouvertes de
3 sfigurés en mirages de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses. 14-16 mai 1934
4 la treille et l’égoutter. On ramène un paquet de varech , un ou deux crabes tout terreux, et parfois en se penchant sur la tre
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 blancs au-dessus des lagunes. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses.   21 mai Pendant l
6 la treille et l’égoutter. On ramène un paquet de varech , un ou deux crabes tout terreux, et parfois en se penchant sur la tre
3 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
7 au ras d’un sol sablonneux que l’on fume avec du varech . De l’île, du village, de la mer, je ne veux rien dire encore : je la
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
8 au ras d’un sol sablonneux que l’on fume avec du varech . De l’île, du village, de la mer, je ne veux rien dire encore : je la
9 leur dessin et leurs couleurs, apporte un banc de varech pourpré ou dénude des roches noires, la veille encore recouvertes de
10 sfigurés en mirages de Venise. Une odeur forte de varech séché vient des champs et des vignes sablonneuses. 2 au 4 mai 1934
11 la treille et l’égoutter. On ramène un paquet de varech , un ou deux crabes tout terreux, et parfois en se penchant sur la tre