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se relire en français. Vers la fin du siècle, le
vicomte
de Vogüé et d’autres condensent le roman russe, l’adaptent sans répli
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« le plus grand prince de France », et son ami le
vicomte
Eble de Ventadour, jusqu’à Jaufré Rudel, prince de Blaye, et à Raimba
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la fin d’une autre Vida, celle de Raimon Jordan,
vicomte
de Saint-Antonin (xiie siècle), « où il nous est conté que la dame d
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ourd’hui « La Chevance », parce que la devise des
vicomtes
héréditaires de Besançon, les Rougemont de Franche-Comté, était « Che