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de l’Orient, et insinue dans le monde romain les
virus
du christianisme, de la Réforme, de la Révolution et du romantisme, l
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manifeste dans l’école primaire est un véritable
virus
de mesquinerie, et devrait être soigné au même titre que certaines au
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manifeste dans l’école primaire est un véritable
virus
de mesquinerie, et devrait être soigné au même titre que certaines au
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e organisatrice d’une Europe fédéralisée. Mais le
virus
qu’un Mazarin, un Concini ou un Ubaldini (nonce papal) introduisent e
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ent en France au début du xviie siècle, c’est le
virus
de l’étatisme totalitaire, c’est l’idée fort peu française de l’unité
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évolution s’étranglerait au stade de l’émeute. Le
virus
révolutionnaire, il n’est pas dans le bon sens calculateur des bourge
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évolution s’étranglerait au stade de l’émeute. Le
virus
révolutionnaire, il n’est pas dans le bon sens calculateur des bourge
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ité — ou ce qu’on nommait ainsi — transmettait le
virus
atténué du philtre ; la culture littéraire entretenait, dans une cert
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ité — ou ce qu’on nommait ainsi — transmettait le
virus
atténué du philtre ; la culture littéraire entretenait, dans une cert
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ité — ou ce qu’on nommait ainsi — transmettait le
virus
atténué du philtre ; la culture littéraire entretenait, dans une cert
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ove interest, c’est faire de la publicité pour le
virus
, non pour le remède, de la maladie du mariage. La romance se nourrit
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c’est de toutes ces confusions que se nourrit le
virus
nationaliste. Et maintenant, fâchez-vous et répondez.
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c’est de toutes ces confusions que se nourrit le
virus
nationaliste. Et maintenant, fâchez-vous et répondez.
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e découvre, et qu’il propage, les antitoxines des
virus
dont il a infesté le monde entier. Il n’y a de fédération européenne
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ope découvre et qu’il propage les antitoxines des
virus
dont il a infesté le monde entier. Il n’y a de fédération européenne
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e découvre, et qu’il propage, les antitoxines des
virus
dont il a infesté le monde entier. Il n’y a de fédération européenne
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uelque chance de succès. Nous avons développé des
virus
dont nous sommes seuls à pouvoir fabriquer les antitoxines efficaces.
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ntrecoup du départ des Blancs. D’autres cèdent au
virus
méthodiquement disséminé par les propagandistes de Moscou. C’est ains
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ntrecoup du départ des Blancs. D’autres cèdent au
virus
méthodiquement disséminé par les propagandistes de Moscou. C’est ains
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s anticorps immunisant l’humanité contre certains
virus
qu’elle seule a propagés. En se sauvant elle-même par la fédération (
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es et sociales, notre hygiène scientifique et nos
virus
; mais nous omettons trop souvent d’y joindre un mode d’emploi circon
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! — mais l’antidote que l’Europe peut trouver au
virus
du nationalisme, cause de sa décadence et cause de la révolte qui dre
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de ceux dont il fait nos ennemis. Quant au second
virus
secrété par l’Europe, et que je nommerai le matérialisme plat, il pre
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e humain de résister à son tour à nos poisons, au
virus
du nationalisme et au virus du matérialisme, cette forme d’asthénie d
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our à nos poisons, au virus du nationalisme et au
virus
du matérialisme, cette forme d’asthénie du spirituel. C’est dire que
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t dire qu’elle est « heureuse ». Mais voici qu’un
virus
y pénètre : elle le digère, le désintègre et l’assimile, — il n’est p
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omosomes sont porteurs) qui se met à fabriquer le
virus
disparu — jusqu’à ce qu’elle meure par éclatement, infectant les cell
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dans un organe. Mais après tout, qu’est-ce qu’un
virus
? Voilà le point. Un virus est un composé de substances analogues à c
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tout, qu’est-ce qu’un virus ? Voilà le point. Un
virus
est un composé de substances analogues à celles de la cellule, sauf e
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ela tient toute sa nocivité. (Notons aussi que le
virus
ne peut se propager et se reproduire qu’aux dépens de cellules vivant
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us paraître, je crois que le totalitarisme est un
virus
, et si vous l’attrapez, vous n’y pourrez plus rien. » Je ne croyais p
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t dire qu’elle est « heureuse ». Mais voici qu’un
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y pénètre : elle le digère, le désintègre et l’assimile, — il n’est p
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omosomes sont porteurs) qui se met à fabriquer le
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disparu —jusqu’à ce qu’elle meure par éclatement, infectant les cellu
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dans un organe. Mais après tout, qu’est-ce qu’un
virus
? Voilà le point. Un virus est un composé de substances analogues à c
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tout, qu’est-ce qu’un virus ? Voilà le point. Un
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est un composé de substances analogues à celles de la cellule, sauf e
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ela tient toute sa nocivité. (Notons aussi que le
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ne peut se propager et se reproduire qu’aux dépens de cellules vivant
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us paraître, je crois que le totalitarisme est un
virus
, et si vous l’attrapez, vous n’y pourrez plus rien. » Je ne croyais p
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st l’Europe qui a répandu dans le monde entier le
virus
du nationalisme, dont elle a bien failli périr elle-même à deux repri
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re, d’attester et de diffuser les anticorps de ce
virus
mortel, hérité du xixe siècle. Or, l’antidote du nationalisme, du ch
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nté d’union sera saine si elle tend à éliminer le
virus
du nationalisme et non pas à lui ouvrir un champ d’action plus vaste,
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st l’Europe qui a répandu dans le monde entier le
virus
du nationalisme, dont elle a bien failli périr elle-même à deux repri
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re, d’attester et de diffuser les anticorps de ce
virus
mortel, hérité du xixe siècle. Or l’antidote du nationalisme, du ch
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de l’Europe au tiers-monde, tout enfiévré par les
virus
nationalistes que la culture du dernier siècle et notre crise totalit
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de l’Europe au tiers-monde, tout enfiévré par les
virus
nationalistes que la culture du dernier siècle et notre crise totalit
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e. On attend qu’elle produise les anticorps de ce
virus
qui, par deux fois, a bien failli causer sa fin. Au surplus, ce qui d
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e. On attend qu’elle produise les anticorps de ce
virus
qui, par deux fois, a bien failli causer sa fin. Et au surplus, ce qu
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à la conscience collective. Mais ne prenez pas le
virus
comme base de la santé, ne fondez pas le mariage sur ce qui vit de sa
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ur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le
virus
totalitaire. Mais si le fédéralisme apparaît bien comme le remède spé
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ur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le
virus
totalitaire. Mais si le fédéralisme apparaît bien comme le remède spé
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t qu’elle découvre rapidement les antitoxines des
virus
qu’elle a sécrétés depuis cent ans, contre lesquels vous n’êtes pas i
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de ceux dont il fait nos ennemis. Quant au second
virus
sécrété par l’Europe, et que je nommerai le matérialisme plat, il pre
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ont au genre humain de résister à nos poisons, au
virus
du nationalisme et au virus du matérialisme, cette forme d’asthénie d
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ter à nos poisons, au virus du nationalisme et au
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du matérialisme, cette forme d’asthénie du spirituel. C’est dire que
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ur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le
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totalitaire. Mais si le fédéralisme apparaît bien comme le remède spé
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ur d’un régime sain, j’entends immunisé contre le
virus
totalitaire. Mais si le fédéralisme apparaît bien comme le remède spé
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onfiance au Progrès, ce serait faire confiance au
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pour nous tirer de la maladie qu’il cause, aussi longtemps que la rel
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ir éperdu de survivre ? Ou la neutralité entre le
virus
et ses victimes ? Une fois de plus on accuse le diagnostic de créer l
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ens, qu’il revient d’inventer les anticorps de ce
virus
dont nous avons infecté la terre entière. Dernière et peut-être suprê
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ue ou économique n’a jamais arrêté ni tempête, ni
virus
, ni pollution de l’air ou des eaux. La faiblesse fondamentale, basiqu
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érimenter. À elle de développer les anticorps des
virus
qu’elle a propagés. 2° L’État-nation peut faire autant et plus de mal
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— comme par exemple, l’automobile. C. Reste le
virus
le plus sûrement mortel que l’Europe ait propagé dans le monde en le
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t en Europe et non ailleurs que les anticorps des
virus
répandus par nos États, notre technologie, notre matérialisme, doiven
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érimenter. À elle de développer les anticorps des
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qu’elle a propagés. « L’État-nation peut seul les défendre », a-t-on
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uverner ; infecté par nos créations, plutonium et
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résistants ; surpeuplé de revendications irrecevables. Il ne nous res
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Le Monde appelle les régions comme antidote du
virus
européen En tant que puissance colonisatrice, l’Europe a répandu d
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onc la plus terrifiante à ce jour. L’Europe des
virus
L’activité humaine a déjà détruit le quart des terres cultivables
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. (« L’Europe des nations piétine, mais celle des
virus
est faite. ») Le plancton des océans, attaqué par le dégazage en mer
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lture ? C’est donc là qu’il s’agit d’attaquer son
virus
, dans les esprits, dans les manuels d’histoire, dans les réflexes con
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ses, et responsables d’inventer les anticorps des
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que nous propageons. Nous avons essayé de mieux nous connaître et nou