1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 t eu faim toute leur vie… Markovitch, derrière sa vitre , tremblait si fort qu’il avait peur de trébucher et de faire du bruit
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 Je vis un visage à l’intérieur se pencher vers la vitre … Je montai. Il n’y avait que des dames. Personne ne parlait. La jeune
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 nque trop souvent au Neuchâtelois. S’il casse des vitres , ce n’est pas seulement pour le plaisir, mais plutôt par amour du cou
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 e étoile. Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré d
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 étoile. » Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré d
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
6 et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre , et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein cinquième arrondi
7 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
7 plus brutal des tintamarres, fait « d’un bruit de vitres cassées, de grincements pareils à ceux d’un clou sur un caillou, d’un
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
8 ombale, et la margelle d’un puits. La plupart des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour.
9 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
9 et crisse de partout. Un incroyable cliquetis de vitres va nous accompagner pendant deux heures et demie, — car l’horaire n’e
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
10 ombale, et la margelle d’un puits. La plupart des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour.
11 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
11 raine de lueurs et de visages superposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas rythmé qui rejoint parfois l’asymptote d’un
12 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
12 ent le plus brutal des tintamarres, « un bruit de vitres cassées, de grincement pareils à ceux d’un clou sur un caillou, un mé
13 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
13 et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre , et tout d’un coup : Rue Claude Bernard, — en plein cinquième arrondi
14 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
14 et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre , et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein cinquième arrondi
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
15 e étoile. Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale, retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré d
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
16 et crisse de partout. Un incroyable cliquetis de vitres va nous accompagner pendant deux heures et demie, — car l’horaire n’e
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
17 ombale, et la margelle d’un puits. La plupart des vitres sont cassées. Une poule blanche se promène quelquefois dans la cour.
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
18 raine de lueurs et de visages superposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas rythmé qui rejoint parfois l’asymptote d’un
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
19 e de ciel brillant. Les camions font trembler les vitres et légèrement tinter le téléphone posé devant moi sur la table. J’att
20 et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre , et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein cinquième arrondi
20 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
21 nies, de blancs bleutés et de luxueux reflets aux vitres de milliers de bow-windows, la Sombre Chose, grouillante et mystérieu
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
22 nêtre, un faisceau de rayons obliques frappait la vitre de ma petite chambrette et m’inondait de lumière. Eh bien, mon ami, e
22 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
23 des merles sous ses fenêtres comme « un bruit de vitres cassées, de grincements pareils à ceux d’un clou sur un caillou, un m