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ns procédés qu’on étudie actuellement » serait la
vitrification
. Quant aux réacteurs épuisés, ils ne présentent aucun danger : on peu
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ffirme « qu’un bon procédé qu’on étudie serait la
vitrification
». Un an s’écoule, et les journaux passent au futur : On peut affirm
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ar étapes, en 1975, que l’étude du procédé dit de
vitrification
« va commencer ». Puis, que « cette étude ne commencera pas avant que
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raitement des déchets… Il a élaboré un système de
vitrification
… Il n’existe pas encore assez de centrales pour justifier la mise en