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et complices. On reconnaît ici le cri : À bas les
Voleurs
!, mot d’ordre des troupes fascistes ces dernières semaines dans les
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rquent à peine les surfaces, et l’on reconnaît le
voleur
, celui qui touche à tout, celui qui touche au bien d’autrui. Car celu
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rquent à peine les surfaces, et l’on reconnaît le
voleur
, celui qui touche à tout, celui qui touche au bien d’autrui. Car celu
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iculent joyeusement.) Le plaignant. — Lâches !
Voleurs
! Il n’y a plus de justice pour les pauvres en Suisse ! (Il sort en
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utre territoire ou colonie. Aujourd’hui, c’est le
voleur
lui-même qui « rapporte contre récompense ». 8 avril 1939 Monsieur Tu
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utre territoire ou colonie. Aujourd’hui, c’est le
voleur
lui-même qui rapporte contre récompense. 8 avril 1939 M. Pin a
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utre territoire ou colonie. Aujourd’hui, c’est le
voleur
lui-même qui rapporte contre récompense. 8 avril 1939 M. Pin a
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contrepartie, j’écrivis : « Aujourd’hui, c’est le
voleur
lui-même qui rapporte contre récompense. » Mais les gens du Kremlin f
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ultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les
voleurs
, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs
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Dieu. » Les impudiques sont cités en premier, les
voleurs
viennent ensuite, et les riches sont omis. Cette hiérarchie n’a rien
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adets et que le pauvre ne peut être que soldat ou
voleur
. J’ai déjà répondu à cela dans ma réponse à la seconde objection. Nou
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gne, on dût faire des lois terribles contre les «
voleurs
d’universités » : ils étaient punis de mort — alors là, il s’agira be
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primitif. (C’est le coup bien connu du domestique
voleur
, en Chine.) À la page 32 de son livre, Lévy s’indigne de ce qu’Emmanu