1
ors des élections. En Suisse, au contraire, les «
votations
» se multiplient : référendums, initiatives, élections et consultatio
2
es sociologiques, études d’opinion et analyse des
votations
se recoupent d’une manière remarquable, et toutes nous donnent du Sui
3
r par la participation de plus en plus faible aux
votations
cantonales et fédérales, et même aux élections. Là-dessus la presse s
4
es sociologiques, études d’opinion et analyse des
votations
se recoupent d’une manière remarquable, et toutes nous donnent du Sui
5
lence des partis et la faible participation aux «
votations
», n’ont été modifiés ni par les changements qualitatifs et quantitat
6
de la finance : après tout, les trois quarts des
votations
auxquelles l’ensemble des citoyens suisses se voient invités portent
7
rend pas le monde actuel sans l’économie. Sur dix
votations
proposées au peuple suisse, huit au moins posent des problèmes économ
8
bre de Suisses (si l’on en juge par les dernières
votations
), ne pourrait réussir qu’au prix de sacrifices matériels d’un héroïsm
9
s les grands débats politiques. Rien que pour les
votations
du 26 février prochain, deux sujets sur six la concernent directement
10
, p. 6. ai. Précédé de cette note : « En vue des
votations
relatives aux initiatives sur l’énergie, le Club-Énergie de l’Est vau