1 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
1 édifier aucun système. Le livre se termine par un voyage à Jérusalem : le christianisme n’est-il pas le plus beau don de l’Ori
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
2 avant-guerre ; un film japonais ; Entr’acte et le Voyage imaginaire, de René Clair. La Mort de Phèdre (environ 1905) : quelqu
3 parle pas du miracle genre conte de fée, comme le Voyage imaginaire en montre (beaucoup trop à mon gré). Qu’une sorcière trans
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
4 e rimait avec maîtresse. École savait le mythe du voyage , et qu’on ne manque pas le train bleu d’un désir. Elle était donc ven
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
5 . Car il semble aujourd’hui que ce globe dans son voyage « est arrivé à un endroit de l’éther où il y a du bonheur ». Vous rec
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
6 plaisir, plus rarement, de quoi se payer un petit voyage . C’est l’aveu d’une faiblesse secrète. Et c’est une réaction de défen
6 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
7 nt au-dessus des rues parcourues de longs cris en voyage . Je me sentis perdre pied délicieusement. Et de cette nuit peut-être,
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
8 je ne représente aucun parti, aucune firme. Je ne voyage pour personne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma génération
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
9 je ne représente aucun parti, aucune firme. Je ne voyage pour personne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma génération
9 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
10 … ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. Cela se passe actuellement dans un hôtel tragi-comique e
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
11 Voyage en Hongrie I (octobre 1930)bh à Albert Gyergyai. 1. Le dormeur
12 range nuit d’un autre bal et cette perspective de voyage au hasard et commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout…
13 yage au hasard et commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… …………………………………………………………………………………………………………… Le monde r
14 s seulement que tout y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je
15 s angoisse… 4. De midi à quatorze heures On voyage de nos jours d’une façon « rationnelle », c’est-à-dire que les Cook’s
16 ’on parlait français. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : « Monsieur a du te
17 u Sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres qui en ont e
18 re, aggraver le cas ?) Or l’intérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa vérité générale, mais bien se réfugie dans sa p
19 et : on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son Objet, — en passant par la Hongrie. — 
20 n éclat. Alors je m’en vais oublier le But de mon voyage , — qui est sa cause. Je vais feindre de prendre au sérieux ce que je
21 igène. Il doit y avoir d’autres solutions… bh. «  Voyage en Hongrie I », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
22 Voyage en Hongrie II (novembre 1930)bj 11. Le retour d’Esztergóm Il
23 me une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage , tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout ce qui est
24 tôt emmener ce désir, comme un tendre souvenir de voyage , et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà j
25 de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout e
26 d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages  : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voyais très bie
27 de vivre. La maladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même angoisse au départ, le même dépayseme
28 . Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyag
29 âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage , on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la
30 (Encore un qui se réveille dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour découvr
31 r ! La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée,
32 que infiniment variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais, on me dessine. Mais en même temps, j’ai dé
33 endant, « rien à déclarer » après des semaines de voyage  ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche
34 geant à cette minute et à d’autres semblables, en voyage , je me dis que c’est de là que j’ai tiré le sentiment d’absurdité fon
35 similitude… Oh ! bien peu ! Mais qu’est-ce que ce voyage , si tu songes à tous les espaces à parcourir encore dans ce monde et
36 un prétexte. Déjà une blague de passeport. bj. «  Voyage en Hongrie II », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
12 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
37 çaises. Il prépare trois volumes (Essais, Romans, Voyages ). »
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
38 tude qu’il manifeste et commente. Son sujet : le voyage d’un jeune normalien marxiste. Citons quelques phrases qui donneront
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
39 eyserling (avril 1931)f L’auteur du Journal de voyage d’un philosophe, d’Analyse spectrale de l’Europe, de Psychanalyse de
15 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
40 ue anxiété comment il ferait face aux dépenses du voyage , il décida de vendre ses livres. Mais son retour au foyer provoque d
16 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
41 Pour guérir de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage  : l’on découvre bientôt que rien n’est comparable. Quel était ce beso
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
42 Voyage en Hongrie À Albert Gyergyai i Le dormeur au fil de l’eau O
43 du bal et cette perspective invraisemblable d’un voyage au hasard commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… Le
44 voyage au hasard commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… Le monde renaît dans des accords. Une mélodie hongr
45 s seulement que tout y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je
46 angoisse. iv De midi à quatorze heures On voyage de nos jours d’une façon « rationnelle », c’est-à-dire que les Cook’s
47 on parlait français. J’expliquais donc que je ne voyage qu’au hasard, et pour rien ni personne. Sur quoi : « Monsieur a du te
48 u sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord les chapitres qui en ont e
49 re, aggraver le cas ?) Or l’intérêt d’un récit de voyage ne réside pas dans sa vérité générale, mais bien se réfugie dans sa p
50 et : on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son Objet, — en passant par la Hongrie. —
51 n éclat. Alors je m’en vais oublier le But de mon voyage , — qui est sa cause. Je vais feindre de prendre au sérieux ce que je
52 me une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage , tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout ce qui est
53 tôt emmener ce désir, comme un tendre souvenir de voyage , et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne, et les
54 de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout e
55 d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages  : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voyais très bie
56 de vivre. La maladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même angoisse au départ, le même dépayseme
57 . Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyag
58 âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage , on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la
59 (Encore un qui se réveille dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour découvr
60 ! — La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée,
61 que infiniment variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais, on me dessine. Mais en même temps, j’ai dé
62 endant, « rien à déclarer » après des semaines de voyage  ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche
63 geant à cette minute et à d’autres semblables, en voyage , je me dis que c’est de là que j’ai tiré le sentiment d’absurdité fon
64 e similitude… Oh ! si peu ! Mais qu’est-ce que ce voyage , si tu songes à tous les espaces à parcourir encore dans ce monde et
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
65 nxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage contre leurs vêtements et leur casquette, me prouver que vraiment je
66 . ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. On peut s’éprendre d’une telle absence, qui vient au lie
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
67 la fraîcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant,
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
68 Pour guérir de Descartes, il n’est que d’aimer en voyage  : l’on découvre bientôt que rien n’est comparable. Quel était ce beso
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
69 Voyage en Hongrie à Albert Gyergyai. Le dormeur au fil de l’eau Où
70 du bal et cette perspective invraisemblable d’un voyage au hasard commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… ⁂ L
71 voyage au hasard commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… ⁂ Le monde renaît dans des accords. Une mélodie hong
72 s seulement que tout y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je
73 me une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage , tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout ce qui est
74 tôt emmener ce désir, comme un tendre souvenir de voyage , et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne, et les
75 de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout e
76 d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages  : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voyais très bie
77 de vivre. La maladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysem
78 . Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyag
79 âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage , on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la
80 (Encore un qui se réveille dans la tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour découvr
81 ! — La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar pensé, qui ne
82 que infiniment variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais, on me dessine. Mais en même temps, j’ai dé
83 endant, « rien à déclarer » après des semaines de voyage  ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche
84 geant à cette minute et à d’autres semblables, en voyage , je me dis que c’est de là que j’ai tiré le sentiment d’absurdité fon
85 e similitude… Oh ! si peu ! Mais qu’est-ce que ce voyage , si tu songes à tous les espaces à parcourir encore dans ce monde et
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
86 la fraîcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant,
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
87 nxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage contre leurs vêtements et leur casquette, me prouver que vraiment je
88 . ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. On peut s’éprendre d’une telle absence, qui vient au lie
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
89 e l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers les lieux et les choses que toujours et partout je porte en moi 
90 ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement atten
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
91 lvetica, merveille inaperçue du monde moderne. Le voyage , quand j’étais enfant, c’était quitter Couvet pour Neuchâtel, le « Va
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
92 , à l’avenir. Plus tard, dans les archives et les voyages , dans l’aventure et dans l’action, il ira vérifier ce qu’il rêvait. M
27 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
93 cès, dans cet ordre, est allé au livre de Céline, Voyage au bout de la nuit, chef-d’œuvre de « documentaire », mauvais roman…
28 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
94 ue l’on n’échappe point à soi-même. Inutilité des voyages . Mais Proust nous persuade qu’on ne s’atteint jamais. Et les philosop
29 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
95 re de famille en liberté dont il assaisonnait ses Voyages en zigzag pour amuser son pensionnat, mais plutôt à ces albums illust
30 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
96 s les alpinistes et de tous ceux qui ont fait des voyages à pied. Cela ne peut pas être expliqué par les dispositions prises au
31 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
97 s les alpinistes et de tous ceux qui ont fait des voyages à pied. Cela ne peut pas être expliqué par les dispositions prises au
32 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
98 ment, au pas de son âne, qu’il eut trois jours de voyage et qu’il lui fallut un peu de temps pour fendre le bois, lier Isaac e
33 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
99 iblement ces limites, voilà la vraie leçon de nos voyages en Palestine, réels ou figurés. Nous ne pouvons nous empêcher d’imagi
34 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
100 hrases : l’une prononcée par Gide au début de son voyage , l’autre écrite au retour en France. Point de départ : « Le sort de l
101 instruire et de nous étonner ». 63. Journal de voyage en Italie, 29 septembre 1786. 64. Pends-toi, brave Kérillis ! — et s
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
102 les États totalitaires procurent aux ouvriers des voyages gratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue, la défense na
36 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
103 les États totalitaires procurent aux ouvriers des voyages gratuits en Méditerranée, assurent l’ordre dans la rue, la défense na
37 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
104 ement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage , le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent souvent vai
38 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
105 cond Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à madame de Stein comment les
106 ses membres une nombreuse suite pour leur dernier voyage . L’autre, c’est la Société coopérative de panification, réunissant da
107 des partis politiques. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
39 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
108 aines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérience de deux
40 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
109 tionnent, sur la place… Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
41 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
110 e, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage , le médecin de l’île et trois représentants de commerce, qui se préci
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
111 cond Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de Stein comment les hab
112 aines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérience de deux
113 e du petit tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter
114 apparaître sur le quai. Je me réjouis de ce petit voyage . Il me semble que je vais découvrir un pays cent fois traversé que je
115 s membres une nombreuse suite pour leur « dernier voyage  ». L’autre, c’est la Société coopérative de panification, réunissant
116 des partis politiques. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
117 l’on a déjà su accomplir au cours d’un précédent voyage , et qui rassure… J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile
43 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
118 quais de Costanza ; de stations vides au cours de voyages fatigants. L’idée de continuer au hasard vers le sud, de « tout lâche
119 ement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage , le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent souvent vai
44 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
120 copier ici des notes prises au retour de ce petit voyage  ; il est resté merveilleusement vivant dans ma mémoire, et je ne puis
45 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
121 galanteries picturales. De nos jours enfin, le «  voyage de noces », pour autant qu’il subsiste et garde une signification, re
46 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
122 , aide bénévole aux étudiants en langues romanes, voyages , bibliothèques créées ou enrichies, concerts… « Tout cela est passé »
123 cfort et des premières années de Weimar, avant le voyage d’Italie : c’est celui-là que j’aime d’une amitié vivante, et qui n’a
47 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
124 ir, le sujet à me fuir… Le soir même, rentrant de voyage , ma femme m’apporte un livre qu’on lui a prêté : une biographie de Ni
48 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
125 ce que je sais de ce pays, après deux semaines de voyage et une centaine de conversations, je puis le lire et le relire dans l
126 notre Palais fédéral — où je termine ces notes de voyage — me décourage un peu, ce soir. On dirait une école primaire démesuré
49 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
127 l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celti
128 ort que Dante aurait pris pour modèle le Livre du Voyage nocturne du mystique Ibn el Arabi, écrit quatre-vingts ans auparavant
129 ouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, «
50 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
130 rendre figure d’arguments, à cet endroit de notre voyage , du seul fait de leur trop parfaite convenance à nos définitions du m
51 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
131 galanteries picturales. De nos jours enfin, le «  voyage de noces », pour autant qu’il subsiste et garde une signification, re
52 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
132 s pour la curiosité que ces messieurs ont fait le voyage . Un pèlerin. —  Alors ? 1er valet. —  Je n’en dis pas plus. Mai
53 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
133 l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celti
134 ouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, «
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
135 rendre figure d’arguments, à cet endroit de notre voyage , du seul fait de leur trop parfaite convenance à nos définitions du m
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
136 galanteries picturales. De nos jours enfin, le «  voyage de noces », pour autant qu’il subsiste et garde une signification, re
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
137 l’Irlande jusqu’en Italie et en Asie Mineure. Les voyages et les rencontres des druides « cimentaient l’union des peuples celti
138 ouvons un grand nombre de récits qui racontent le voyage d’un héros au pays des morts. Ce héros, Bran, Cuchulainn, ou Oisin, «
57 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
139 rendre figure d’arguments, à cet endroit de notre voyage , du seul fait de leur trop parfaite convenance à nos définitions du m
58 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
140 galanteries picturales. De nos jours enfin, le «  voyage de noces », pour autant qu’il subsiste et garde une signification, re
59 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
141 mpossible. Pendant les quatre mois que durera mon voyage , je suivrai de loin l’évolution de la « Ligue du Gothard » qui est mo
142 pour un récitant, à l’Exposition de New York. Ce voyage , on le voit, est sérieusement motivé et ne signifie nullement que M.
60 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
143 dégorgée dans l’invisible stratosphère… Quant aux voyages  ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la durée, de la distance e
61 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
144 lui faut tout d’abord quitter le pays — un petit voyage au Canada ou au Mexique — pour rentrer deux ou trois jours plus tard
62 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
145 n tiers de la population aura été tué. Pendant le voyage , un autre tiers subira probablement le même sort. Imaginons le moral
63 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
146 Djie), ainsi qu’on fait parfois des souverains en voyage . Comme elle est gaie ! J’ai passé une demi-heure à causer avec elle,
64 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
147 et d’attente. C’est un prince de l’autre monde en voyage ici-bas. Sous cet aspect, il est la conscience individuelle libérée d
65 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La pensée planétaire (30 mars 1946)
148 ir et sentir. Et notre époque n’est pas celle des voyages , mais seulement celle des « missions » comme on dit. Une mission ne s
66 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
149 de Lisbonne à New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui nous ramènerait nécessairement au point de départ, après
150 prend un billet d’aller et retour. La poésie des voyages a vécu, la tragédie des départs a vécu. Mais ce qui naît, ce qui peut
67 1946, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Monsieur Denis de Rougemont, de passage en Europe, nous dit… [Entretien] (4 mai 1946)
151 tablement oppressant… Remontons le cours de votre voyage . Puis-je vous demander où vous aviez vos assises en Amérique et quell
68 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
152 New York, de New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui nous ramènerait nécessairement au point de départ, après
153 prend un billet d’aller et retour. La poésie des voyages a vécu, la tragédie des départs a vécu. Mais ce qui naît, ce qui peut
69 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
154 Journal d’un retour (11-12 mai 1946)k Le voyage immobile Vers le milieu du xxe siècle, les hommes firent en sorte
155 gt fois plus pénible et longue la préparation des voyages . Passer d’Amérique en Europe ne demandait plus que quelques heures ?
156 ontrôles épuisants, ramenant ainsi la longueur du voyage , pratiquement, à ce qu’elle était au bon vieux temps de Christophe Co
157 ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement atten
70 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
158 i j’essaie de situer ce pays dans le cadre de mon voyage , voici comment il m’apparaît. L’Europe ancienne s’est rétrécie à la m
159 e Ligue des Peuples, préparons-nous à de nombreux voyages . La SDN ressemble à l’ONU comme le négatif d’un cliché au positif de
71 1946, Articles divers (1941-1946). La pensée planétaire (30 mai 1946)
160 ir et sentir. Et notre époque n’est pas celle des voyages , mais seulement celle des « missions », comme on dit. Une mission ne
72 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
161 licier. Nous venons de passer, en quatre jours de voyage , sept contrôles différents de douane et de police. Secondés par la ch
73 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
162 nce. Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.) Je l’ai pourtant quittée, cette chambre paysanne, ma
163 ce que je sais de ce pays, après deux semaines de voyage , je puis le lire et le relire dans l’architecture d’Amsterdam, de Rot
164 notre Palais fédéral — où je corrige ces notes de voyage , ayant fini le travail de la journée — me décourage un peu, ce soir.
74 1946, Journal des deux mondes. Intermède
165 on eut alors au Palais fédéral pour favoriser mon voyage . Mais le fait est qu’elles jouèrent dans le même sens. Le 20 août, à
75 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
166 agons sont sur les rails. Parmi nos compagnons de voyage , tous ne sont pas encore très rassurés : il arrive en effet, nous dit
76 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
167 çu des fonds pour un séjour de quatre mois, et le voyage aller et retour.) 14 novembre 1940 Réaction d’Européen : je dét
77 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
168 Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18 juillet 1941 C’était ce
78 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
169 w York, ou de New York au Pacifique. Un très long voyage aujourd’hui nous ramènerait nécessairement au point de départ, après
170 prend un billet d’aller et retour. La poésie des voyages a vécu, la tragédie des départs a vécu. Mais ce qui naît, ce qui peut
171 gt fois plus pénible et longue la préparation des voyages . Passer d’Amérique en Europe ne demandait plus que quelques heures ?
172 ontrôles épuisants, ramenant ainsi la longueur du voyage , pratiquement, à ce qu’elle était au bon vieux temps de Christophe Co
173 e l’a donc jamais recimentée ?) Pourquoi faire ce voyage vers les lieux et les choses que toujours et partout je porte en moi 
174 ce cliché et ces jolies syllabes décrivent mal un voyage aérien. Car voyager, aujourd’hui, c’est attendre. Non seulement atten
175 i j’essaie de situer ce pays dans le cadre de mon voyage , voici comment il m’apparaît. L’Europe ancienne s’est rétrécie à la m
176 frontières. En une semaine, aux deux bouts de mon voyage , je viens de voir du monde à peu près tout ce qu’il en reste de solid
177 e Ligue des Peuples, préparons-nous à de nombreux voyages . La SDN ressemble à l’ONU comme le négatif d’un cliché au positif de
79 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
178 dégorgée dans l’invisible stratosphère… Quant aux voyages  ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la durée, de la distance e
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
179 n tiers de la population aura été tué. Pendant le voyage , un autre tiers subira probablement le même sort. Imaginons le moral
81 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
180 ir et sentir. Et notre époque n’est pas celle des voyages , mais seulement celle des « missions » comme on dit. Une mission ne s
82 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
181 dégorgée dans l’invisible stratosphère… Quant aux voyages  ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la durée, de la distance e
83 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
182 n tiers de la population aura été tué. Pendant le voyage , un autre tiers subira probablement le même sort. Imaginons le moral
84 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
183 ir et sentir. Et notre époque n’est pas celle des voyages , mais seulement celle des « missions » comme on dit. Une mission ne s
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
184 t bien par être publiées intégralement. Récit de voyage à travers une époque dont on ne cherche pas à relever la topographie
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
185 la fraîcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant,
87 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
186 range nuit d’un autre bal et cette perspective de voyage au hasard et commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout…
187 yage au hasard et commencé dans l’insomnie — vrai voyage à dormir debout… Le monde renaît dans des accords. Une mélodie hongr
188 s seulement que tout y a son écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse. J’irai chercher moi-même, me suis-je
189 me une caresse indéfinie de la puissance. Soir de voyage , tout enfiévré d’orgueil errant, de conquêtes vagues… Tout ce qui est
190 tôt emmener ce désir, comme un tendre souvenir de voyage , et partir en croyant qu’ici la vie a parfois moins de hargne… Déjà j
191 de cette hurlante bousculade sur place qu’est un voyage en express. Mais je ne trouvais pas la pente de mon esprit, et tout e
192 d’œuvres sablonneuses. Je composais un traité des voyages  : les titres en étaient de Sénèque ou de Swift, et je voyais très bie
193 de vivre. La maladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même angoisse au départ, le même dépayseme
194 . Voyager — serait-ce brouiller les horaires ? Le voyage est un état d’âme et non pas une question de transport. Un vrai voyag
195 âme et non pas une question de transport. Un vrai voyage , on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la
196 (Encore un qui se réveille dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour découvr
197 ! — La vie est presque partout la même… — Mais en voyage on la regarde mieux. — La vie… (une sorte de cauchemar de la pensée,
198 que infiniment variable, indéterminé. Et c’est le voyage qui me fixe. Je rayonnais, on me dessine. Mais en même temps, j’ai dé
199 endant, « rien à déclarer » après des semaines de voyage  ? Cela va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche
200 geant à cette minute et à d’autres semblables, en voyage , je me dis que c’est de là que j’ai tiré le sentiment d’absurdité fon
201 similitude… Oh ! bien peu ! Mais qu’est-ce que ce voyage , si tu songes à tous les espaces à parcourir encore dans ce monde et
88 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
202 nxiétés. J’aimerais échanger mon costume clair de voyage contre leurs vêtements et leur casquette, me prouver que vraiment je
203 . ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux voyages d’Allemagne. On peut s’éprendre d’une telle absence, qui vient au lie
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
204 but de l’été je me mariai, et au retour d’un bref voyage qui nous avait conduits à Port-Cros chez les Paulhan, je reçus coup s
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
205 e, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage , le médecin de l’île et trois représentants de commerce, qui se préci
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
206 cond Faust, mais aussi de ces pages du Journal de voyage en Italie où, par exemple, il rapporte à Mme de Stein comment les hab
207 aines chez lui. Il habite à une petite journée de voyage de notre île. La leçon pratique de cette première expérience de deux
208 e du petit tracteur qui nous remorquait ? Non, le voyage des contes et des rêves où l’on passe toutes les gares sans s’arrêter
209 apparaître sur le quai. Je me réjouis de ce petit voyage . Il me semble que je vais découvrir un pays cent fois traversé que je
210 s membres une nombreuse suite pour leur « dernier voyage  ». L’autre, c’est la Société coopérative de panification, réunissant
211 des partis politiques. Et que dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une résurrection de ce que Vigny pleurait, la poésie
212 l’on a déjà su accomplir au cours d’un précédent voyage , et qui rassure… J’ai pensé plus d’une fois qu’il pourrait être utile
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
213 quais de Costanza ; de stations vides au cours de voyages fatigants. L’idée de continuer au hasard vers le sud, de « tout lâche
214 ement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage , le temps perdu et les fatigues, bien qu’elles paraissent souvent vai
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
215 , aide bénévole aux étudiants en langues romanes, voyages , bibliothèques créées ou enrichies, concerts… « Tout cela est passé »
216 e Goethe des premières années de Weimar, avant le voyage d’Italie : c’est celui-là que j’aime d’une amitié vivante, et qui n’a
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
217 fense contre l’esprit totalitaire. » Préparation, voyages et séjours, je savais bien que tout le mois de mai y passerait. Comme
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
218 nce. Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.) Je l’ai pourtant quittée, cette chambre paysanne, ma
219 ce que je sais de ce pays, après deux semaines de voyage , je puis le lire et le relire dans l’architecture d’Amsterdam, de Rot
220 notre Palais fédéral — où je corrige ces notes de voyage , ayant fini le travail de la journée — me décourage un peu, ce soir.
221 football avec mes hommes, peu de jours avant mon voyage en Hollande — qui m’interdit encore tout exercice physique violent et
222 t-ce vraiment pour y discuter une fois de plus ce voyage aux États-Unis ? 73. On sait que ces deux ponts furent occupés, dè
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
223 on eut alors au Palais fédéral pour favoriser mon voyage et me donner un passeport « de service ». Mais le fait est qu’elles j
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
224 agons sont sur les rails. Parmi nos compagnons de voyage , tous ne sont pas encore très rassurés : il arrive en effet, nous dit
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
225 çu des fonds pour un séjour de quatre mois, et le voyage aller et retour.) 14 novembre 1940 Réaction d’Européen : je dét
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
226 Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18 juillet 1941 C’était ce
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
227 trop petit pour jouer à deux : c’est un « jeu de voyage  » de sa confection, d’une douzaine de centimètres de côté, sur lequel