1 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
1 rime l’espoir que sa vie à l’étranger n’ait point ébranlé sa foi, la princesse répond : « Je ne crois pas, j’espère que non ; b
2 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
2 sson particulier. Mais il n’en faut pas plus pour ébranler le souvenir. Naissent alors des images champêtres, les toits pointus
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
3 t-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu ces lambris d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
4 sson particulier. Mais il n’en faut pas plus pour ébranler le souvenir. Naissent alors des images champêtres, les toits pointus
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
5 ut-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu ces lambris d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’
6 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
6 sérieux ? Je crains que mes raisons d’en douter n’ ébranlent guère la solide réputation de gravité qu’on lui a faite, et qui lui v
7 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
7 , sera forcément plus soucieuse des échos qu’elle ébranle , mieux informée des problèmes qu’elle incarne, parce qu’elle tiendra
8 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
8 uerre, mais la politique surtout, sont en train d’ ébranler leur prestige. L’empire anglais se dissocie lentement. La France dout
9 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
9 ion quelconque, d’ordre intellectuel par exemple, ébranle nécessairement une suite de conséquences qu’on ne peut limiter au « p
10 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
10 de la Concorde, au moment où les gardes mobiles s’ ébranlèrent  ? Pour résumer la situation en une formule, je dirai que ce fut le ch
11 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
11 on quelconque, d’ordre intellectuel, par exemple, ébranle nécessairement une suite de conséquences qu’on ne peut limiter au dom
12 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
12 de la Concorde, au moment où les gardes mobiles s’ ébranlèrent  ? Pour résumer la situation en une formule, je dirai que ce fut le ch
13 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
13 . Mauvais signe pour un penseur qui a entrepris d’ ébranler nos fondements. Si j’essaie de m’expliquer cette espèce de déception
14 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
14 crimes ; ce n’est pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire romain, ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et Calvin
15 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
15 er le jeu de grandes questions métaphysiques sans ébranler l’autorité spirituelle ou politique qui nous commande — tant qu’elle
16 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
16 r le jeu des grandes questions métaphysiques sans ébranler l’autorité spirituelle ou politique qui nous commande — tant qu’elle
17 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
17 nt bloc avec les capitalistes qu’elles viennent d’ ébranler sur le terrain politique, et, avec eux et les princes, écrasent dans
18 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
18 on joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ ébranlent plus que le « vieil homme », celui qu’il nous faut dépouiller. « F
19 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
19 on joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ ébranlent plus que le « vieil homme », celui qu’il nous faut dépouiller. Fol
20 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
20 chancelles. Les nations s’agitent, les royaumes s’ ébranlent L’Éternel a tonné, la terre s’épouvante ! (Nuit, éclairs, bruits d’a
21 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
21 point fixe que nulle puissance humaine ne saurait ébranler , quand tout le reste, ciel et terre, idéaux et réalités, est pulvéris
22 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
22 point fixe que nulle puissance humaine ne saurait ébranler , quand tout le reste, ciel et terre, idéaux et réalités, est pulvéris
23 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
23 toutes les positions morales et matérielles sont ébranlées , comme elles le sont depuis quelques semaines, alors sonne une heure
24 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
24 ffondrement de la démocratie française ne saurait ébranler notre foi dans la démocratie fédéraliste, d’esprit chrétien, sur laqu
25 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
25 siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre foi naïve dans l’élimination
26 qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste, on n’insiste pas. Si le meubl
26 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
27 prime le droit du serment. Mais cette proposition ébranle un monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’alliance
27 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
28 siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre foi naïve dans l’élimination
29 qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste, on n’insiste pas. Si le meubl
28 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
30 prime le droit du serment. Mais cette proposition ébranle un monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’alliance
29 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
31 siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre foi naïve dans l’élimination
32 qui entrerait dans une maison et qui essaierait d’ ébranler tous les meubles. Si le meuble résiste, on n’insiste pas. Si le meubl
30 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
33 prime le droit du serment. Mais cette proposition ébranle le monde. Car attaquer au plus intime de l’être le sens de l’alliance
31 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
34 Elle dispose en bon ordre ses repères, et puis s’ ébranle à reculons vers l’inconnu, les yeux toujours fixés sur son jeu d’évid
32 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
35 on joyeuse du libre arbitre. Ses coups violents n’ ébranlent plus que le vieil homme, celui qu’il nous faut dépouiller. Mais il s’
33 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
36 franchir, et les conditions dans lesquelles il s’ ébranlera . Il a fallu deux ans aux Américains pour débarquer en Europe, et leur
34 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
37 franchir, et les conditions dans lesquelles il s’ ébranlera . Il a fallu deux ans aux Américains pour débarquer en Europe, et leur
35 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
38 franchir, et les conditions dans lesquelles il s’ ébranlera . Il a fallu deux ans aux Américains pour débarquer en Europe, et leur
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
39 sson particulier. Mais il n’en faut pas plus pour ébranler le souvenir. Naissent alors des images champêtres, les toits pointus
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
40 t-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu ces lambris d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’
38 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
41 Elle dispose en bon ordre ses repères, et puis s’ ébranle à reculons vers l’inconnu, les yeux toujours fixés sur son jeu d’évid
39 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
42 er toute l’Europe, laissaient la Suisse inquiète, ébranlée , incertaine. Le régime de la souveraineté absolue des cantons s’était
43 cle fut que la violence des passions politiques n’ ébranla pas l’unité de la Confédération, pas davantage en tout cas qu’une cam
40 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
44 blent effrayés par l’idée que leur système serait ébranlé si le peuple était librement informé, comme il l’est ailleurs… (15
41 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
45 e les tanks, on s’en doutait, mais les tanks ne s’ ébranlent pas d’eux-mêmes, ils obéissent à des paroles. Et cette révolution, ce
42 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
46 ogrès. Prenons les neutralistes de bonne volonté, ébranlés dans leurs préférences (inavouées mais indiscutables) par la tragédie
43 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
47 , quand elle était entrée dans le lit du dieu qui ébranle la terre ; Libye l’avait donnée à la toute belle Téléphaassa, qui éta
48 e des flots, qu’il gouvernait, le dieu sonore qui ébranle la terre guidait en personne son frère sur la route marine ; autour d
44 1961, Preuves, articles (1951–1968). Pour Berlin (septembre 1961)
49 u’il y a un problème de Berlin et que la paix est ébranlée . Nous demandons à M. Khrouchtchev d’appliquer les principes qu’il pro
45 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
50 , quand elle était entrée dans le lit du dieu qui ébranle la terre ; Libye l’avait donnée à la toute belle Téléphaassa, qui éta
51 e des flots, qu’il gouvernait, le dieu sonore qui ébranle la terre guidait en personne son frère sur la route marine ; autour d
46 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
52 vu. La guerre est « sans proffit » parce qu’elle ébranle les trônes, même celui du Grand Turc. D’autre part les chrestiens n
47 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
53 récits eux-mêmes, naîtraient des idées capables d’ ébranler les notions les plus chères à sa croyance, et les plus nécessaires au
48 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
54 er la plus cruelle guerre mondiale qui ait jamais ébranlé et déchiré la société. À l’époque où éclata la Révolution française,
55 uit sur le continent, et l’Angleterre s’en trouve ébranlée sur ses bases. Car, selon Burke, « les principes et les formes de l’a
49 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
56 re, de rechercher l’originalité à tout prix, et d’ ébranler les bases de l’État suisse pour satisfaire sa vanité. Leur pieuse ind
50 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
57 portance. L’État français ne sera pas si aisément ébranlé . Son chef le tient très bien en main, et vos excités de la région ne
51 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
58 portance. L’État français ne sera pas si aisément ébranlé . Son chef le tient très bien en main, et quelques excités de la régio
52 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
59 nattendu, qui va plus directement à l’âme, et qui ébranle les fibres les plus sensibles de notre être. Hanté par les visions d
53 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
60 portance. L’État français ne sera pas si aisément ébranlé . Son chef le tient très bien en main, et vos excités de la région ne
54 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
61 ; de même, si aucune révolte populaire n’arrive à ébranler le système. Cependant, elle ne saurait être qu’une image-limite, irré
55 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
62 nalement à Paris en mai 1968. Or, si « Mai 68 » a ébranlé un régime nationaliste, il n’en est rien résulté de constructif pour
56 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
63 Présentés sous l’égide du club de Rome, ils vont ébranler la conscience des Occidentaux qui en ont une. Prospective et futurolo
57 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
64 tuitive, ne peut pas entraîner l’action si elle n’ ébranle pas notre imagination. Elle l’a certes ébranlée par le Rapport des li
65 n’ébranle pas notre imagination. Elle l’a certes ébranlée par le Rapport des limites, mais en nous faisant peur, et il faut plu
58 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
66 la révolte des ethnies brimées, car cette révolte ébranle les bases mêmes de l’État-nation, la croyance qu’entretiennent les ca
59 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’économie
67 de 1973-1975 qui ont déclaré la crise, et qui ont ébranlé la confiance générale dans la croissance illimitée, rapide et sans pr
60 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
68 e bourgeoise et nationaliste d’autre part, seront ébranlés , au terme de cette année-là, par deux secousses telluriques, de force