1
on où je parais être engagé, du plan moral avec l’
économique
, qu’une expression nouvelle, et non dénuée d’ironie, de mon mépris po
2
abandonné à la lutte tragique et absurde des lois
économiques
et des exigences les plus rudimentaires de son corps. Il a perdu le c
3
duite à son état de pureté extrême qui est l’état
économique
». Si les mœurs sont occidentales, les habitants, eux, viennent de to
4
Europe, — « son état de pureté extrême, qui est l’
économique
» ? On reconnaît ici la thèse marxiste, dont le moins qu’on puisse di
5
bordonne toute réforme à une préalable révolution
économique
qui paraît de plus en plus impossible, car elle équivaudrait à une tr
6
t un produit purement bourgeois, enfant du loisir
économique
, il lui faudra se réfugier dans la sphère des abstractions les plus e
7
consiste alors à dissimuler la nécessité purement
économique
de telles violences, à les attribuer à des facteurs inventés pour les
8
opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain
économique
, traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
9
naire. Mais c’est de la mythomanie ; les « Forces
économiques
», dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
10
te est seule capable d’édifier un monde culturel,
économique
et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’état marxiste id
11
s, ensemble que, tout indépendamment des réalités
économiques
et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il rest
12
s, ensemble que, tout indépendamment des réalités
économiques
et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il rest
13
auf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois
économiques
et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d’un monde to
14
n, l’imitera, et même la France, si les questions
économiques
et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la guerr
15
laires, etc. Cette carence subite dans le domaine
économique
vient à l’appui de la thèse marxiste qui ne veut voir dans les Église
16
signe une conception générale de vie — politique,
économique
, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
17
rieux la mythologie du déterminisme historique et
économique
, dépôt honteux du xixe siècle. Philosophiquement, ils n’ont aucune r
18
suicide. La plupart de ces fabricants de « forces
économiques
» sont conscients de leur démission spirituelle. D’où la tristesse qu
19
à l’esprit date peut-être de l’invention des lois
économiques
; assurément, de leur divinisation. Le marxisme a simplement tiré tou
20
dre le travail comme point de départ d’un système
économique
ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
21
se le grand public, le résultat d’un déterminisme
économique
et social. Elle est, d’abord, l’acte qui crée de nouvelles déterminat
22
ées, dans la fièvre et le désespoir de situations
économiques
qui ne permettaient pas d’élaborer avec la lucidité nécessaire des so
23
ntrôle doctrinal et juridique ; — dans le domaine
économique
: les syndicats libres de production et d’instruction professionnelle
24
lectif soumis directement à un centre de contrôle
économique
et statistique. 7° Ce régime doit entraîner par son jeu normal la dis
25
e l’inflation, du chômage et de la guerre moderne
économique
et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créa
26
t d’abord une volonté de considérer les problèmes
économiques
et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté constante de
27
ous les ordres de l’activité humaine : politique,
économique
et culturel. Telle est la base de notre ordre. Cet ordre est nouveau
28
dépourvu de pouvoir économique4. Dans le domaine
économique
, nous revendiquons, parallèlement, un statut du travail impliquant un
29
est née des théories philosophiques, historiques,
économiques
élaborées par certains représentants instruits des classes possédante
30
ntrôle doctrinal et juridique ; — dans le domaine
économique
: les syndicats libres de production et d’instruction professionnelle
31
lectif soumis directement à un centre de contrôle
économique
et statistique. 7° Ce régime doit entraîner par son jeu normal la dis
32
e l’inflation, du chômage et de la guerre moderne
économique
et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créa
33
considérations, par exemple, sur le développement
économique
des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
34
our faire mentir le proverbe. Les lois générales,
économiques
ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
35
peuples est désormais un fait acquis, une réalité
économique
. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
36
et orienter ces tensions créatrices, sur le plan
économique
et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation et
37
N peut être traduit immédiatement en institutions
économiques
par exemple. Pour nous, la véritable cellule sociale, c’est la person
38
Robert Aron, et qui mettent en œuvre sur le plan
économique
et politique les mêmes méthodes de synthèse. En vérité, ces deux ouvr
39
tantôt d’anarchie littéraire, tantôt de dictature
économique
. Pour Dandieu, comme pour les jeunes hommes groupés à L’Ordre nouvea
40
adoxe curieux que devoir en 1934, en pleine crise
économique
, des garçons qui se croient « réalistes » venir défendre le régime ca
41
rver que notre époque dominée par les « problèmes
économiques
», comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entendait par là, b
42
et en passant, l’un des fondements de la théorie
économique
de Marx — en s’appuyant sur une documentation dont la formule même es
43
paraissent bien inactuels en regard des problèmes
économiques
qui nous pressent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ? Que faire a
44
iers ne pose-t-elle pas des problèmes de doctrine
économique
et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manquer à son tour de réali
45
nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines
économiques
et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre nouveau aur
46
reprendre à la base l’ensemble de l’organisation
économique
, et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
47
uisant cette formule de base : Spirituel d’abord,
Économique
ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
48
vail. Cette critique se développe en une doctrine
économique
, dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage important d’Aro
49
ssions du jour, sans soupçonner les conséquences,
économiques
ou religieuses, par exemple, des « idées » qu’ils mettent en action.
50
e leur pays par une crise qui n’est pas seulement
économique
, par une crise qui atteint à la fois leur attachement à la patrie et
51
nalisme et autarchie, nation culturelle et région
économique
. On n’est pas sûr, à lire Déat, qu’il ait poussé très loin cette anal
52
ique profonde ») on adjoindra un Conseil national
économique
, « composé de représentants des intérêts économiques groupés dans le
53
onomique, « composé de représentants des intérêts
économiques
groupés dans le cadre professionnel et régional ». Nous avons parlé d
54
». Nous avons parlé dans Nous voulons du Conseil
économique
fédéral dont nous avons même essayé de déterminer, dans les grandes l
55
sentielles du pays, en même temps que des centres
économiques
et intellectuels. » N’y a-t-il pas ici trop de choses ? Et peut-être
56
on, que nous avions pris soin d’éviter16, entre l’
économique
, le politique et le spirituel, confusion inconsciente ou voulue, mais
57
ique, administratif si l’on veut. Au point de vue
économique
, il se réduit à la défense du bas de laine. Mais on ne se défend bien
58
ros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’
économique
serait le dernier mot des souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte
59
iments patriotiques. Elle aboutit à des traités «
économiques
». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom dans aucune l
60
4. Voir plus loin : Précédence ou primauté de l’
économique
? 5. « Les généraux meurent dans leur lit. » 6. On compose des af
61
roupements personnalistes . 8. Les Déterminismes
économiques
ne sont pas venus au secours des chefs communistes allemands. Et ce n
62
considérations, par exemple, sur le développement
économique
des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
63
our faire mentir le proverbe. Les lois générales,
économiques
ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
64
peuples est désormais un fait acquis, une réalité
économique
. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
65
III.Précédence ou primauté de l’
économique
dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L
66
L’affirmation de l’importance décisive du fait
économique
servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se
67
ait que leur activité réelle était l’exploitation
économique
du prolétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du
68
olétaire, que leur libéralisme c’était la liberté
économique
du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts
69
néficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’
économique
intervint à ce moment de l’histoire comme un rappel à la réalité de l
70
tématiquement toute activité humaine à son aspect
économique
, à des facteurs quantitatifs. Enfin, par un étrange renversement des
71
res éléments que cette affirmation du primat de l’
économique
: elle n’en demeure pas moins essentielle. Et ce serait une grande du
72
u développement capitaliste ; 2° La primauté de l’
économique
est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avou
73
brutalement et systématiser ; 3° La primauté de l’
économique
implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des
74
égards antirévolutionnaire ; 4° La primauté de l’
économique
suppose une anthropologie particulière, qui considère l’homme dans ce
75
ourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité
économique
proclamé par Marx. Mais il ne s’est pas tenu là. Il a, dès le début,
76
n parle de précédence plutôt que de primauté de l’
économique
, c’est donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques sat
77
st donc qu’ensuite, une fois leurs revendications
économiques
satisfaites, ils comptent passer à une œuvre spirituelle. Mais ce pas
78
pas le même sens temporel, historique, que dans l’
économique
d’abord des marxistes. Il a un sens de primauté non pas chronologique
79
ne une conception générale de la vie — politique,
économique
, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
80
ustice au communisme. Je puis discuter sa théorie
économique
; sa conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiq
81
opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain
économique
, traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
82
naire. Mais c’est de la mythomanie : les « Forces
économiques
», dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
83
te est seule capable d’édifier un monde culturel,
économique
et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste id
84
et orienter ces tensions créatrices, sur le plan
économique
et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation ou
85
t peut être immédiatement traduit en institutions
économiques
par exemple. Dans l’ordre nouveau, la véritable cellule sociale, c’es
86
nt franchement matériels. Le communiste affirme :
économique
d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une renaissance spirituel
87
st pas encore imaginable. Il dépend d’un ensemble
économique
qui n’a jamais été réalisé. Car le plan quinquennal n’est qu’une prem
88
dre le travail comme point de départ d’un système
économique
ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
89
nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines
économiques
et sociales développées par Esprit et surtout par L’Ordre nouveau
90
reprendre à la base l’ensemble de l’organisation
économique
, et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
91
uisant cette formule de base : Spirituel d’abord,
Économique
ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
92
vail. Cette critique se développe en une doctrine
économique
, dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage important d’Aro
93
rver que notre époque dominée par les « problèmes
économiques
», comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entendait par là, b
94
et en passant, l’un des fondements de la théorie
économique
de Marx — en s’appuyant sur une documentation dont la formule même es
95
ros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’
économique
serait le dernier mot des souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte
96
iments patriotiques. Elle aboutit à des traités «
économiques
». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom dans aucune l
98
considérations, par exemple, sur le développement
économique
des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
99
our faire mentir le proverbe. Les lois générales,
économiques
ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
100
peuples est désormais un fait acquis, une réalité
économique
. Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
101
IIIPrécédence ou primauté de l’
économique
dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L
102
L’affirmation de l’importance décisive du fait
économique
servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se
103
ait que leur activité réelle était l’exploitation
économique
du prolétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du
104
olétaire, que leur libéralisme c’était la liberté
économique
du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts
105
néficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’
économique
intervint à ce moment de l’histoire comme un rappel à la réalité de l
106
tématiquement toute activité humaine à son aspect
économique
, à des facteurs quantitatifs. Enfin, par un étrange renversement des
107
res éléments que cette affirmation du primat de l’
économique
: elle n’en demeure pas moins essentielle. Et ce serait une grande du
108
u développement capitaliste ; 2° La primauté de l’
économique
est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avou
109
brutalement et systématiser ; 3° La primauté de l’
économique
implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des
110
égards antirévolutionnaire ; 4° La primauté de l’
économique
suppose une anthropologie particulière, qui considère l’homme dans ce
111
ourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité
économique
proclamé par Marx. Mais il ne s’est pas tenu là. Il a, dès le début,
112
n parle de précédence plutôt que de primauté de l’
économique
, c’est donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques sat
113
st donc qu’ensuite, une fois leurs revendications
économiques
satisfaites, ils comptent passer à une œuvre spirituelle. Mais ce pas
114
pas le même sens temporel, historique, que dans l’
économique
d’abord des marxistes. Il a un sens de primauté non pas chronologique
115
ne une conception générale de la vie — politique,
économique
, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
116
ustice au communisme. Je puis discuter sa théorie
économique
; sa conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiq
117
opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain
économique
, traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
118
naire. Mais c’est de la mythomanie : les « Forces
économiques
», dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
119
te est seule capable d’édifier un monde culturel,
économique
et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste id
120
et orienter ces tensions créatrices, sur le plan
économique
et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation ou
121
t peut être immédiatement traduit en institutions
économiques
par exemple. Dans l’Ordre nouveau, la véritable cellule sociale, c’es
122
nt franchement matériels. Le communiste affirme :
économique
d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une renaissance spirituel
123
st pas encore imaginable. Il dépend d’un ensemble
économique
qui n’a jamais été réalisé. Car le plan quinquennal n’est qu’une prem
124
dre le travail comme point de départ d’un système
économique
ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
125
nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines
économiques
et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre nouveau aur
126
reprendre à la base l’ensemble de l’organisation
économique
, et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
127
uisant cette formule de base : Spirituel d’abord,
Économique
ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
128
vail. Cette critique se développa en une doctrine
économique
, dont on peut trouver la première synthèse dans l’ouvrage important d
129
rouler d’elle-même, dans l’intervalle des crises
économiques
, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulg
130
olitique des ouvriers à l’intérieur de leur lutte
économique
, en se basant uniquement sur cette lutte. Cette opinion est radicalem
131
aine. Elle n’est pas d’abord une prise de pouvoir
économique
et politique, après quoi l’on verrait à vivre ; mais elle est d’abord
132
ces hommes sauraient, d’autre part, que le régime
économique
et politique se recréerait parallèlement en vertu du même principe. I
133
3. — La culture ayant une mesure commune avec l’
économique
, le social et le politique, la création intellectuelle ne sera plus s
134
ment, bien au contraire, pour la vie politique et
économique
du pays. b) Le conflit spirituel étouffé par la force, sans être en r
135
ances collectives, de masses électorales, de lois
économiques
. Un jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont la Presse nous donne
136
» telle qu’elle est devenue. Ni les congrégations
économiques
, ni les forces irrationnelles de la race, de la classe ou des nationa
137
ienne à construire une doctrine, sociale, morale,
économique
, qui puisse s’imposer au grand nombre sans violences, sans mensonges,
138
e repentent et qui croient, non point une théorie
économique
passagère. On a tort d’attaquer uniquement le prétendu matérialisme s
139
nt aucun rapport avec la morale pratique du monde
économique
et financier. Tout le monde sait que la morale des affaires est à peu
140
le contraire de la morale, et que les nécessités
économiques
ne tiennent pas compte de nos beaux idéaux. Il résulte de ce divorce
141
rsonnalisme ; voilà son but, à la fois politique,
économique
et culturel. Ici, la vérité est mise au premier rang : le succès même
142
emous de la bataille qu’à travers un nouvel ordre
économique
, c’est l’homme et sa libération qui en reste l’enjeu et le but ; il s
143
irmation du primat de l’homme sur les dispositifs
économiques
, ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les partis, voilà qui rend u
144
ant à faire du clerc un inutile ; vu la situation
économique
inaugurée par le krach de Wall Street (1930) et nommée crise ; vu la
145
à faire. J’ai à me battre aussi, contre un régime
économique
et culturel, contre une masse de préjugés politiques antédiluviens qu
146
rouler d’elle-même, dans l’intervalle des crises
économiques
, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulg
147
ui modifient les circonstances », et non les lois
économiques
. Nous pensons donc que le progrès mécanique ne comporte pas en soi de
148
ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus
économique
, et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
149
t, et comme un produit accessoire de la dictature
économique
des prolétaires. Au début, on avait représenté les masses comme la f
150
bstituer au dogme de la toute-puissance des faits
économiques
, la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et c
151
me « une forme commune de la vie, dont l’activité
économique
et politique ne constitue qu’une partie tout comme la production scie
152
ssent « incompréhensibles » ; les transformations
économiques
et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
153
pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances
économiques
et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
154
nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices
économiques
, décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
155
ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies
économiques
et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; — ou bien nou
156
mes est simple. Ils ont compris que le socialisme
économique
n’était que la moitié d’une doctrine. Ils ont compris qu’on ne peut p
157
n personnelle, application d’une série de mesures
économiques
, transmutation de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
158
lture provient à mon avis d’un ensemble de causes
économiques
, politiques et morales, dont les « intellectuels » m’apparaissent res
159
e commence à distinguer que le secret de la crise
économique
réside dans l’inadaptation de la production à la consommation, il nou
160
science d’un parallélisme frappant entre la crise
économique
et la crise de la culture. Disons parallélisme, simplement, sans préj
161
sans préjuger de la nature du phénomène qui lie l’
économique
et la culture : interaction, subordination de l’une à l’autre ou orig
162
re bourgeoise est liée aujourd’hui aux conditions
économiques
qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que
163
travailleurs. Interprétons maintenant ces faits
économiques
de notre point de vue culturel. L’éthique générale des bourgeois, qui
164
s nommés. Préoccupé exclusivement par les aspects
économiques
et moraux, il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la puissance bour
165
’en tenir à la simple constatation d’antagonismes
économiques
. Il accorde autant d’importance aux facteurs moraux de l’histoire, et
166
ntré quelles étaient les fatalités ; et une série
économique
, traduisant le passage du travail audacieux des producteurs à la gest
167
lectique de l’Esprit en dialectique de la Matière
économique
. Marx à lui seul, d’ailleurs, illustre tout le processus régi par les
168
’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités
économiques
est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la ra
169
de juger l’état présent des prétendues nécessités
économiques
. Bref, tout concourt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce do
170
Il nous fait voir, premièrement, de quel complexe
économique
et spirituel notre culture tire son origine. Il nous permet ainsi de
171
n personnelle, application d’une série de mesures
économiques
., transmutation de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
172
ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus
économique
, et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
173
, et comme un produit accessoire, de la dictature
économique
des prolétaires. « Au début, on avait représenté les masses comme la
174
bstituer au dogme de la toute-puissance des faits
économiques
la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et ce
175
me « une forme commune de la vie, dont l’activité
économique
et politique ne constitue qu’une partie, tout comme la production sci
176
une seule formule l’aspect politique et l’aspect
économique
d’une volonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme.
177
ssent « incompréhensibles » ; les transformations
économiques
et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
178
pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances
économiques
et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
179
nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices
économiques
, décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
181
ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies
économiques
et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; ou bien nous
182
ans les marges les grandes incidences politiques,
économiques
et métaphysiques, ou marquant simplement ici et là leur insertion, je
183
ècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu
économique
. C’est bien la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus i
184
ibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme
économique
. Et l’opinion publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité
185
t pas toujours suffisant. L’état présent du monde
économique
le fait bien voir. La discrimination qui s’imposait, du fait de l’inv
186
is psychologiques, des lois historiques, des lois
économiques
, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions dépr
187
, chez les marxistes, ait abdiqué devant les lois
économiques
, comme il abdique chez les fascistes devant les lois biologiques, nou
188
serve pensée — de la pensée soumise au processus
économique
par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non
189
politiques ne triomphent qu’à la faveur des lois
économiques
. Mais d’où viennent ces systèmes ? Et qui a fait ces lois, ou qui les
190
rtir d’un système, d’un mécanisme intellectuel ou
économique
, autre chose que ce qu’un acte aura posé à l’origine de ce mécanisme
191
lture provient à mon avis d’un ensemble de causes
économiques
, politiques et morales, dont les « intellectuels » m’apparaissent res
192
e commence à distinguer que le secret de la crise
économique
réside dans l’inadaptation de la production à la consommation, il nou
193
science d’un parallélisme frappant entre la crise
économique
et la crise de la culture. Disons parallélisme, simplement, sans préj
194
sans préjuger de la nature du phénomène qui lie l’
économique
et la culture : interaction, subordination de l’une à l’autre ou orig
195
re bourgeoise est liée aujourd’hui aux conditions
économiques
qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que
196
ravailleurs. ⁂ Interprétons maintenant ces faits
économiques
de notre point de vue culturel. L’éthique générale des bourgeois, qui
197
s nommés. Préoccupé exclusivement par les aspects
économiques
et moraux, il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la puissance bour
198
’en tenir à la simple constatation d’antagonismes
économiques
. Il accorde autant d’importance aux facteurs moraux de l’histoire, et
199
ntré quelles étaient les fatalités ; et une série
économique
, traduisant le passage du travail audacieux des producteurs à la gest
200
lectique de l’Esprit en dialectique de la Matière
économique
. Marx à lui seul, d’ailleurs, illustre tout le processus régi par les
201
’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités
économiques
est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la ra
202
de juger l’état présent des prétendues nécessités
économiques
. Bref, tout concourt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce do
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le nous fait voir, premièrement, de quel complexe
économique
et spirituel notre culture tire son origine. Elle nous permet ainsi d
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n personnelle, application d’une série de mesures
économiques
, transmutations de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
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ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus
économique
, et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
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, et comme un produit accessoire, de la dictature
économique
des prolétaires. « Au début, on avait représenté les masses comme la
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bstituer au dogme de la toute-puissance des faits
économiques
la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et ce
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me « une forme commune de la vie, dont l’activité
économique
et politique ne constitue qu’une partie, tout comme la production sci
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une seule formule l’aspect politique et l’aspect
économique
d’une volonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme.
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ssent « incompréhensibles » ; les transformations
économiques
et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
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pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances
économiques
et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
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nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices
économiques
, décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
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ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies
économiques
et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; ou bien nous
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ans les marges les grandes incidences politiques,
économiques
et métaphysiques, ou marquant simplement ici et là leur insertion, je
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ècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu
économique
. C’est bien la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus i
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t pas toujours suffisant. L’état présent du monde
économique
le fait bien voir. La discrimination qui s’imposait, du fait de l’inv
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is psychologiques, des lois historiques, des lois
économiques
, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions dépr
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, chez les marxistes, ait abdiqué devant les lois
économiques
, comme il abdique chez les fascistes devant les lois biologiques, nou
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serve pensée — de la pensée soumise aux processus
économiques
par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non
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politiques ne triomphent qu’à la faveur des lois
économiques
. Mais d’où viennent ces systèmes ? Et qui a fait ces lois, ou qui les
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rtir d’un système, d’un mécanisme intellectuel ou
économique
, autre chose que ce qu’un acte aura posé à l’origine de ce mécanisme
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ul le redressement radical et général d’un régime
économique
où règne aujourd’hui l’argent, libérera l’information. Ce n’est qu’en
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t d’entrevoir l’une des raisons de notre anarchie
économique
. Le capitalisme ne serait peut-être pas un trop mauvais système si se
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élévation du niveau matériel général et fondement
économique
d’une Europe fédérée. Mais dès le début, l’initiative individuelle ex
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créatrice de l’homme, qui domine le développement
économique
, social et même politique. Les marchands de laine flamands introduise
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ations prolétariennes sont avant tout sociales et
économiques
, égalitaires et de tendance « collectiviste ». Aussi voit-on vers la
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ttes de classes : il a vu aussi la première crise
économique
« fonctionnelle » du système capitaliste. Les marchés connus et explo
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t du crédit a toujours marqué le début des crises
économiques
. La traite qui revient impayée, c’est l’oiseau de mauvais augure qui
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les67. Les princes interviennent donc dans la vie
économique
, en luttant contre le protectionnisme municipal, au bénéfice de « l’É
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nancier, maltôtier, etc. Les résultats sociaux et
économiques
de cette évolution sont trop connus pour que nous ayons à les rappele
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et du vol — animée par une volonté de retour à l’
économique
fut condamnée à l’échec dès le départ, du simple fait qu’elle se pour
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un changement de plan total (spirituel autant qu’
économique
) non des réformes. À son défaut, la Révolution fut déclenchée par une
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ant aucunement renoncé à son statut de privilèges
économiques
. Là encore, ce fut un ensemble de mesures étatiques — sous l’Empire68
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ous à assimiler le capitalisme moderne aux formes
économiques
de l’antiquité, et souvent même du Moyen Âge. Mais ils varient consid
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mentalité (ou attitude) dont procède, sur le plan
économique
, le capitalisme, et que nous pouvons, dès maintenant, définir comme u
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fin la résultante de ces contradictions — (replis
économiques
dans le cadre de l’État-nation mais internationalisme des capitaux fi
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primauté du spirituel ; primauté de l’homme sur l’
économique
; affirmation de la personne comme valeur spirituelle absolue, par su
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e le marxisme : étatisme, dictature, déterminisme
économique
et pas un mot de l’oppression stalinienne. Et pas un mot de la « dial
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une autre remarque : Mounier exagère l’importance
économique
de l’usure, suivant l’erreur fréquente des écrivains catholiques. Mar
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régime d’étatisme oppressif et de dictature de l’
économique
. Le résultat de ces pratiques ne se fera pas attendre, et l’on en voi
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sidéré comme la maladie spirituelle, et par suite
économique
, produite en Occident par le refus du concret et de l’acte, avec ce q
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des affinités, au moins autant que les conditions
économiques
. On ne comprend rien à la réalité sociale de ce canton si l’on fait a
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aque chose qu’une seule fois, de la façon la plus
économique
et la plus claire28. Or, cette langue d’échanges dialectiques rapides
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st un pays comblé qui a résolu tous les problèmes
économiques
urgents. La preuve en est fournie par ces phrases cueillies dans un j
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par de puissantes forces sociales, historiques et
économiques
? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement, à les découvrir
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ue leur guerre. Entre l’équilibre d’intérêts ( ?)
économiques
et de prestiges idéologiques ( ? ?) qu’est leur paix, et l’équilibre
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battre. (Volonté et pouvoir des masses, fatalités
économiques
, évolution de l’Histoire, mythes de la gauche et de la droite, divini
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asme communiste. La plupart des fameuses « lois »
économiques
ou sociologiques que nous pensons avoir récemment « découvertes » ne
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en deux images exactes les conditions morales et
économiques
des habitants de l’île. 1° Division des terres. — J’ai pu vérifier à
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es renseigné, vaille que vaille, sur les facteurs
économiques
du pays, sur les noms des notables et sur le jeu des partis politique