1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 on où je parais être engagé, du plan moral avec l’ économique , qu’une expression nouvelle, et non dénuée d’ironie, de mon mépris po
2 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
2 abandonné à la lutte tragique et absurde des lois économiques et des exigences les plus rudimentaires de son corps. Il a perdu le c
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
3 duite à son état de pureté extrême qui est l’état économique  ». Si les mœurs sont occidentales, les habitants, eux, viennent de to
4 Europe, — « son état de pureté extrême, qui est l’ économique  » ? On reconnaît ici la thèse marxiste, dont le moins qu’on puisse di
5 bordonne toute réforme à une préalable révolution économique qui paraît de plus en plus impossible, car elle équivaudrait à une tr
6 t un produit purement bourgeois, enfant du loisir économique , il lui faudra se réfugier dans la sphère des abstractions les plus e
4 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
7 consiste alors à dissimuler la nécessité purement économique de telles violences, à les attribuer à des facteurs inventés pour les
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
8 opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain économique , traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
9 naire. Mais c’est de la mythomanie ; les « Forces économiques  », dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
10 te est seule capable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’état marxiste id
6 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
11 s, ensemble que, tout indépendamment des réalités économiques et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il rest
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
12 s, ensemble que, tout indépendamment des réalités économiques et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il rest
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 auf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiques et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d’un monde to
9 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
14 n, l’imitera, et même la France, si les questions économiques et sociales y prennent un jour l’acuité qu’elles ont, depuis la guerr
15 laires, etc. Cette carence subite dans le domaine économique vient à l’appui de la thèse marxiste qui ne veut voir dans les Église
10 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
16 signe une conception générale de vie — politique, économique , éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
11 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
17 rieux la mythologie du déterminisme historique et économique , dépôt honteux du xixe siècle. Philosophiquement, ils n’ont aucune r
18 suicide. La plupart de ces fabricants de « forces économiques  » sont conscients de leur démission spirituelle. D’où la tristesse qu
19 à l’esprit date peut-être de l’invention des lois économiques  ; assurément, de leur divinisation. Le marxisme a simplement tiré tou
12 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
20 dre le travail comme point de départ d’un système économique ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
13 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Spirituel d’abord (juillet 1933)
21 se le grand public, le résultat d’un déterminisme économique et social. Elle est, d’abord, l’acte qui crée de nouvelles déterminat
14 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
22 ées, dans la fièvre et le désespoir de situations économiques qui ne permettaient pas d’élaborer avec la lucidité nécessaire des so
15 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Positions d’attaque (décembre 1933)
23 ntrôle doctrinal et juridique ; — dans le domaine économique  : les syndicats libres de production et d’instruction professionnelle
24 lectif soumis directement à un centre de contrôle économique et statistique. 7° Ce régime doit entraîner par son jeu normal la dis
25 e l’inflation, du chômage et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créa
16 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
26 t d’abord une volonté de considérer les problèmes économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté constante de
27 ous les ordres de l’activité humaine : politique, économique et culturel. Telle est la base de notre ordre. Cet ordre est nouveau
28 dépourvu de pouvoir économique4. Dans le domaine économique , nous revendiquons, parallèlement, un statut du travail impliquant un
29 est née des théories philosophiques, historiques, économiques élaborées par certains représentants instruits des classes possédante
30 ntrôle doctrinal et juridique ; — dans le domaine économique  : les syndicats libres de production et d’instruction professionnelle
31 lectif soumis directement à un centre de contrôle économique et statistique. 7° Ce régime doit entraîner par son jeu normal la dis
32 e l’inflation, du chômage et de la guerre moderne économique et militaire. 8° C’est au nom d’antagonismes naturels féconds et créa
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
33 considérations, par exemple, sur le développement économique des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
34 our faire mentir le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
35 peuples est désormais un fait acquis, une réalité économique . Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
18 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
36 et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation et
37 N peut être traduit immédiatement en institutions économiques par exemple. Pour nous, la véritable cellule sociale, c’est la person
19 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
38 Robert Aron, et qui mettent en œuvre sur le plan économique et politique les mêmes méthodes de synthèse. En vérité, ces deux ouvr
39 tantôt d’anarchie littéraire, tantôt de dictature économique . Pour Dandieu, comme pour les jeunes hommes groupés à L’Ordre nouvea
20 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
40 adoxe curieux que devoir en 1934, en pleine crise économique , des garçons qui se croient « réalistes » venir défendre le régime ca
21 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
41 rver que notre époque dominée par les « problèmes économiques  », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entendait par là, b
42 et en passant, l’un des fondements de la théorie économique de Marx — en s’appuyant sur une documentation dont la formule même es
22 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
43 paraissent bien inactuels en regard des problèmes économiques qui nous pressent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ? Que faire a
44 iers ne pose-t-elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manquer à son tour de réali
45 nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre nouveau aur
46 reprendre à la base l’ensemble de l’organisation économique , et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
47 uisant cette formule de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
48 vail. Cette critique se développe en une doctrine économique , dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage important d’Aro
23 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
49 ssions du jour, sans soupçonner les conséquences, économiques ou religieuses, par exemple, des « idées » qu’ils mettent en action.
24 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
50 e leur pays par une crise qui n’est pas seulement économique , par une crise qui atteint à la fois leur attachement à la patrie et
25 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
51 nalisme et autarchie, nation culturelle et région économique . On n’est pas sûr, à lire Déat, qu’il ait poussé très loin cette anal
52 ique profonde ») on adjoindra un Conseil national économique , « composé de représentants des intérêts économiques groupés dans le
53 onomique, « composé de représentants des intérêts économiques groupés dans le cadre professionnel et régional ». Nous avons parlé d
54  ». Nous avons parlé dans Nous voulons du Conseil économique fédéral dont nous avons même essayé de déterminer, dans les grandes l
55 sentielles du pays, en même temps que des centres économiques et intellectuels. » N’y a-t-il pas ici trop de choses ? Et peut-être
56 on, que nous avions pris soin d’éviter16, entre l’ économique , le politique et le spirituel, confusion inconsciente ou voulue, mais
57 ique, administratif si l’on veut. Au point de vue économique , il se réduit à la défense du bas de laine. Mais on ne se défend bien
26 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
58 ros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’ économique serait le dernier mot des souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte
59 iments patriotiques. Elle aboutit à des traités «  économiques  ». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom dans aucune l
27 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
60 4. Voir plus loin : Précédence ou primauté de l’ économique  ? 5. « Les généraux meurent dans leur lit. » 6. On compose des af
28 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
61 roupements personnalistes . 8. Les Déterminismes économiques ne sont pas venus au secours des chefs communistes allemands. Et ce n
29 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
62 considérations, par exemple, sur le développement économique des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
63 our faire mentir le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
64 peuples est désormais un fait acquis, une réalité économique . Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
30 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
65 III.Précédence ou primauté de l’ économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L
66 L’affirmation de l’importance décisive du fait économique servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se
67 ait que leur activité réelle était l’exploitation économique du prolétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du
68 olétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts
69 néficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’ économique intervint à ce moment de l’histoire comme un rappel à la réalité de l
70 tématiquement toute activité humaine à son aspect économique , à des facteurs quantitatifs. Enfin, par un étrange renversement des
71 res éléments que cette affirmation du primat de l’ économique  : elle n’en demeure pas moins essentielle. Et ce serait une grande du
72 u développement capitaliste ; 2° La primauté de l’ économique est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avou
73 brutalement et systématiser ; 3° La primauté de l’ économique implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des
74 égards antirévolutionnaire ; 4° La primauté de l’ économique suppose une anthropologie particulière, qui considère l’homme dans ce
75 ourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité économique proclamé par Marx. Mais il ne s’est pas tenu là. Il a, dès le début,
76 n parle de précédence plutôt que de primauté de l’ économique , c’est donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques sat
77 st donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques satisfaites, ils comptent passer à une œuvre spirituelle. Mais ce pas
78 pas le même sens temporel, historique, que dans l’ économique d’abord des marxistes. Il a un sens de primauté non pas chronologique
31 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
79 ne une conception générale de la vie — politique, économique , éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
32 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
80 ustice au communisme. Je puis discuter sa théorie économique  ; sa conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiq
33 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
81 opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain économique , traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
82 naire. Mais c’est de la mythomanie : les « Forces économiques  », dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
83 te est seule capable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste id
34 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
84 et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation ou
85 t peut être immédiatement traduit en institutions économiques par exemple. Dans l’ordre nouveau, la véritable cellule sociale, c’es
35 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
86 nt franchement matériels. Le communiste affirme : économique d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une renaissance spirituel
87 st pas encore imaginable. Il dépend d’un ensemble économique qui n’a jamais été réalisé. Car le plan quinquennal n’est qu’une prem
36 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
88 dre le travail comme point de départ d’un système économique ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
37 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
89 nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par L’Ordre nouveau
90 reprendre à la base l’ensemble de l’organisation économique , et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
91 uisant cette formule de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
92 vail. Cette critique se développe en une doctrine économique , dont on trouvera la première synthèse dans l’ouvrage important d’Aro
38 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
93 rver que notre époque dominée par les « problèmes économiques  », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entendait par là, b
94  et en passant, l’un des fondements de la théorie économique de Marx — en s’appuyant sur une documentation dont la formule même es
39 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
95 ros sous ? Est-ce que Marx a raison, est-ce que l’ économique serait le dernier mot des souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte
96 iments patriotiques. Elle aboutit à des traités «  économiques  ». Entre deux, il se passe quelque chose qui n’a de nom dans aucune l
40 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
97 4. Voir plus loin : Précédence ou primauté de l’ économique  ?
41 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
98 considérations, par exemple, sur le développement économique des siècles passés, quand ce ne sont pas des statistiques de phrénolo
99 our faire mentir le proverbe. Les lois générales, économiques ou sociales, sont toujours justes, dans la mesure où nous démissionno
100 peuples est désormais un fait acquis, une réalité économique . Nous devons au progrès mécanique que désormais le globe entier appar
42 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
101 IIIPrécédence ou primauté de l’ économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé) L
102 L’affirmation de l’importance décisive du fait économique servit de point de départ à Marx dans une époque où la bourgeoisie se
103 ait que leur activité réelle était l’exploitation économique du prolétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du
104 olétaire, que leur libéralisme c’était la liberté économique du plus fort, que leur philanthropie, leur humanitarisme, leurs goûts
105 néficiaires. L’affirmation brutale du primat de l’ économique intervint à ce moment de l’histoire comme un rappel à la réalité de l
106 tématiquement toute activité humaine à son aspect économique , à des facteurs quantitatifs. Enfin, par un étrange renversement des
107 res éléments que cette affirmation du primat de l’ économique  : elle n’en demeure pas moins essentielle. Et ce serait une grande du
108 u développement capitaliste ; 2° La primauté de l’ économique est au fond une croyance bourgeoise, une de ces croyances jamais avou
109 brutalement et systématiser ; 3° La primauté de l’ économique implique une foi au déterminisme, une croyance en la seule valeur des
110 égards antirévolutionnaire ; 4° La primauté de l’ économique suppose une anthropologie particulière, qui considère l’homme dans ce
111 ourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité économique proclamé par Marx. Mais il ne s’est pas tenu là. Il a, dès le début,
112 n parle de précédence plutôt que de primauté de l’ économique , c’est donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques sat
113 st donc qu’ensuite, une fois leurs revendications économiques satisfaites, ils comptent passer à une œuvre spirituelle. Mais ce pas
114 pas le même sens temporel, historique, que dans l’ économique d’abord des marxistes. Il a un sens de primauté non pas chronologique
43 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
115 ne une conception générale de la vie — politique, économique , éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules
44 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
116 ustice au communisme. Je puis discuter sa théorie économique  ; sa conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiq
45 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
117 opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain économique , traduit exactement l’opposition de Kierkegaard et de Hegel dans le d
118 naire. Mais c’est de la mythomanie : les « Forces économiques  », dont ils parlent avec tremblement, n’existent pas. Elles font part
119 te est seule capable d’édifier un monde culturel, économique et social qu’anime un risque permanent, essentiel. L’État marxiste id
46 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
120 et orienter ces tensions créatrices, sur le plan économique et sur le plan politique. (Tension organique entre la corporation ou
121 t peut être immédiatement traduit en institutions économiques par exemple. Dans l’Ordre nouveau, la véritable cellule sociale, c’es
47 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
122 nt franchement matériels. Le communiste affirme : économique d’abord ! mais c’est, dit-il, pour préparer une renaissance spirituel
123 st pas encore imaginable. Il dépend d’un ensemble économique qui n’a jamais été réalisé. Car le plan quinquennal n’est qu’une prem
48 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
124 dre le travail comme point de départ d’un système économique ou d’une culture, c’est vicier à la base toutes les conceptions du lo
49 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
125 nnête sur les réformes nécessaires. Les doctrines économiques et sociales développées par Esprit et surtout par l’Ordre nouveau aur
126 reprendre à la base l’ensemble de l’organisation économique , et de ne pas se contenter de réformes partielles ; affirmation enfin
127 uisant cette formule de base : Spirituel d’abord, Économique ensuite, Politique à leur service. Il est facile d’indiquer rapidemen
128 vail. Cette critique se développa en une doctrine économique , dont on peut trouver la première synthèse dans l’ouvrage important d
50 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
129 rouler d’elle-même, dans l’intervalle des crises économiques , les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulg
51 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
130 olitique des ouvriers à l’intérieur de leur lutte économique , en se basant uniquement sur cette lutte. Cette opinion est radicalem
131 aine. Elle n’est pas d’abord une prise de pouvoir économique et politique, après quoi l’on verrait à vivre ; mais elle est d’abord
52 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
132 ces hommes sauraient, d’autre part, que le régime économique et politique se recréerait parallèlement en vertu du même principe. I
133   3. — La culture ayant une mesure commune avec l’ économique , le social et le politique, la création intellectuelle ne sera plus s
53 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
134 ment, bien au contraire, pour la vie politique et économique du pays. b) Le conflit spirituel étouffé par la force, sans être en r
54 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
135 ances collectives, de masses électorales, de lois économiques . Un jeu secret qui se joue sur nos têtes et dont la Presse nous donne
136 » telle qu’elle est devenue. Ni les congrégations économiques , ni les forces irrationnelles de la race, de la classe ou des nationa
137 ienne à construire une doctrine, sociale, morale, économique , qui puisse s’imposer au grand nombre sans violences, sans mensonges,
138 e repentent et qui croient, non point une théorie économique passagère. On a tort d’attaquer uniquement le prétendu matérialisme s
139 nt aucun rapport avec la morale pratique du monde économique et financier. Tout le monde sait que la morale des affaires est à peu
140 le contraire de la morale, et que les nécessités économiques ne tiennent pas compte de nos beaux idéaux. Il résulte de ce divorce
141 rsonnalisme ; voilà son but, à la fois politique, économique et culturel. Ici, la vérité est mise au premier rang : le succès même
55 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
142 emous de la bataille qu’à travers un nouvel ordre économique , c’est l’homme et sa libération qui en reste l’enjeu et le but ; il s
143 irmation du primat de l’homme sur les dispositifs économiques , ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les partis, voilà qui rend u
56 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
144 ant à faire du clerc un inutile ; vu la situation économique inaugurée par le krach de Wall Street (1930) et nommée crise ; vu la
57 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
145 à faire. J’ai à me battre aussi, contre un régime économique et culturel, contre une masse de préjugés politiques antédiluviens qu
58 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
146 rouler d’elle-même, dans l’intervalle des crises économiques , les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulg
59 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
147 ui modifient les circonstances », et non les lois économiques . Nous pensons donc que le progrès mécanique ne comporte pas en soi de
60 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
148 ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus économique , et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
149 t, et comme un produit accessoire de la dictature économique des prolétaires. Au début, on avait représenté les masses comme la f
150 bstituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques , la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et c
151 me « une forme commune de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie tout comme la production scie
152 ssent « incompréhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
153 pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances économiques et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
154 nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices économiques , décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
155 ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies économiques et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; — ou bien nou
61 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
156 mes est simple. Ils ont compris que le socialisme économique n’était que la moitié d’une doctrine. Ils ont compris qu’on ne peut p
62 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
157 n personnelle, application d’une série de mesures économiques , trans­mutation de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
63 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
158 lture provient à mon avis d’un ensemble de causes économiques , politiques et morales, dont les « intellectuels » m’apparaissent res
64 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
159 e commence à distinguer que le secret de la crise économique réside dans l’inadaptation de la production à la consommation, il nou
160 science d’un parallélisme frappant entre la crise économique et la crise de la culture. Disons parallélisme, simplement, sans préj
161 sans préjuger de la nature du phénomène qui lie l’ économique et la culture : interaction, subordination de l’une à l’autre ou orig
162 re bourgeoise est liée aujourd’hui aux conditions économiques qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que
163 travailleurs. Interprétons maintenant ces faits économiques de notre point de vue culturel. L’éthique générale des bourgeois, qui
164 s nommés. Préoccupé exclusivement par les aspects économiques et moraux, il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la puissance bour
165 ’en tenir à la simple constatation d’antagonismes économiques . Il accorde autant d’importance aux facteurs moraux de l’histoire, et
65 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
166 ntré quelles étaient les fatalités ; et une série économique , traduisant le passage du travail audacieux des producteurs à la gest
167 lectique de l’Esprit en dialectique de la Matière économique . Marx à lui seul, d’ailleurs, illustre tout le processus régi par les
168 ’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités économiques est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la ra
169 de juger l’état présent des prétendues nécessités économiques . Bref, tout concourt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce do
66 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
170 Il nous fait voir, premièrement, de quel complexe économique et spirituel notre culture tire son origine. Il nous permet ainsi de
67 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
171 n personnelle, application d’une série de mesures économiques ., transmutation de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
68 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
172 ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus économique , et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
173 , et comme un produit accessoire, de la dictature économique des prolétaires. « Au début, on avait représenté les masses comme la
174 bstituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et ce
175 me « une forme commune de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie, tout comme la production sci
69 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
176 une seule formule l’aspect politique et l’aspect économique d’une volonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme.
70 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
177 ssent « incompréhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
178 pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances économiques et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
179 nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices économiques , décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
180 sonne, chap. III : «  Précédence ou primauté de l’ économique dans le marxisme ? »
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
181 ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies économiques et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; ou bien nous
73 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Préambule
182 ans les marges les grandes incidences politiques, économiques et métaphysiques, ou marquant simplement ici et là leur insertion, je
74 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
183 ècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu économique . C’est bien la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus i
184 ibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme économique . Et l’opinion publique, imitant la Sorbonne, refuse le droit de cité
185 t pas toujours suffisant. L’état présent du monde économique le fait bien voir. La discrimination qui s’imposait, du fait de l’inv
186 is psychologiques, des lois historiques, des lois économiques , qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions dépr
187 , chez les marxistes, ait abdiqué devant les lois économiques , comme il abdique chez les fascistes devant les lois biologiques, nou
75 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
188 serve pensée — de la pensée soumise au processus économique par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non
189 politiques ne triomphent qu’à la faveur des lois économiques . Mais d’où viennent ces systèmes ? Et qui a fait ces lois, ou qui les
190 rtir d’un système, d’un mécanisme intellectuel ou économique , autre chose que ce qu’un acte aura posé à l’origine de ce mécanisme 
76 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
191 lture provient à mon avis d’un ensemble de causes économiques , politiques et morales, dont les « intellectuels » m’apparaissent res
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
192 e commence à distinguer que le secret de la crise économique réside dans l’inadaptation de la production à la consommation, il nou
193 science d’un parallélisme frappant entre la crise économique et la crise de la culture. Disons parallélisme, simplement, sans préj
194 sans préjuger de la nature du phénomène qui lie l’ économique et la culture : interaction, subordination de l’une à l’autre ou orig
195 re bourgeoise est liée aujourd’hui aux conditions économiques qui définissent la classe bourgeoise, on est en droit de supposer que
196 ravailleurs. ⁂ Interprétons maintenant ces faits économiques de notre point de vue culturel. L’éthique générale des bourgeois, qui
197 s nommés. Préoccupé exclusivement par les aspects économiques et moraux, il semble bien qu’il n’ait pas vu que si la puissance bour
198 ’en tenir à la simple constatation d’antagonismes économiques . Il accorde autant d’importance aux facteurs moraux de l’histoire, et
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
199 ntré quelles étaient les fatalités ; et une série économique , traduisant le passage du travail audacieux des producteurs à la gest
200 lectique de l’Esprit en dialectique de la Matière économique . Marx à lui seul, d’ailleurs, illustre tout le processus régi par les
201 ’Encyclopédie : son rappel vigoureux aux réalités économiques est tout d’abord une attitude polémique. S’il affirme au nom de la ra
202 de juger l’état présent des prétendues nécessités économiques . Bref, tout concourt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce do
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
203 le nous fait voir, premièrement, de quel complexe économique et spirituel notre culture tire son origine. Elle nous permet ainsi d
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
204 n personnelle, application d’une série de mesures économiques , transmutations de toutes les valeurs morales, etc. Et tous ces sens
81 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
205 ulture n’était rien qu’un « reflet » du processus économique , et de la lutte des classes qui en résulte. De là sa théorie de la cu
206 , et comme un produit accessoire, de la dictature économique des prolétaires. « Au début, on avait représenté les masses comme la
207 bstituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir créateur d’une élite guidant les masses. Et ce
208 me « une forme commune de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’une partie, tout comme la production sci
82 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
209 une seule formule l’aspect politique et l’aspect économique d’une volonté tout à fait distincte du nationalisme et du socialisme.
83 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
210 ssent « incompréhensibles » ; les transformations économiques et morales incalculables provoquées par le socialisme d’État ; enfin
211 pouvions pas faire autre chose. Nos circonstances économiques et historiques étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mett
212 nus aigus chez nous : luttes sociales, injustices économiques , décadence d’une culture séparée du peuple et divisée contre elle-mêm
84 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
213 rsonne, chap. iii : « Précédence ou primauté de l’ économique dans le marxisme ? »
85 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
214 ent ans, nous serons réduits à l’état de colonies économiques et culturelles par l’expansion normale de nos voisins ; ou bien nous
86 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Préambule
215 ans les marges les grandes incidences politiques, économiques et métaphysiques, ou marquant simplement ici et là leur insertion, je
87 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
216 ècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu économique . C’est bien la même erreur sur l’homme et sa mission, le même refus i
217 t pas toujours suffisant. L’état présent du monde économique le fait bien voir. La discrimination qui s’imposait, du fait de l’inv
218 is psychologiques, des lois historiques, des lois économiques , qui encombrent la mentalité du citoyen moderne de superstitions dépr
219 , chez les marxistes, ait abdiqué devant les lois économiques , comme il abdique chez les fascistes devant les lois biologiques, nou
88 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
220 serve pensée — de la pensée soumise aux processus économiques par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non
221 politiques ne triomphent qu’à la faveur des lois économiques . Mais d’où viennent ces systèmes ? Et qui a fait ces lois, ou qui les
222 rtir d’un système, d’un mécanisme intellectuel ou économique , autre chose que ce qu’un acte aura posé à l’origine de ce mécanisme 
89 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
223 ul le redressement radical et général d’un régime économique où règne aujourd’hui l’argent, libérera l’information. Ce n’est qu’en
90 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
224 t d’entrevoir l’une des raisons de notre anarchie économique . Le capitalisme ne serait peut-être pas un trop mauvais système si se
91 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
225 élévation du niveau matériel général et fondement économique d’une Europe fédérée. Mais dès le début, l’initiative individuelle ex
226 créatrice de l’homme, qui domine le développement économique , social et même politique. Les marchands de laine flamands introduise
227 ations prolétariennes sont avant tout sociales et économiques , égalitaires et de tendance « collectiviste ». Aussi voit-on vers la
228 ttes de classes : il a vu aussi la première crise économique « fonctionnelle » du système capitaliste. Les marchés connus et explo
229 t du crédit a toujours marqué le début des crises économiques . La traite qui revient impayée, c’est l’oiseau de mauvais augure qui
230 les67. Les princes interviennent donc dans la vie économique , en luttant contre le protectionnisme municipal, au bénéfice de « l’É
231 nancier, maltôtier, etc. Les résultats sociaux et économiques de cette évolution sont trop connus pour que nous ayons à les rappele
232 et du vol — animée par une volonté de retour à l’ économique fut condamnée à l’échec dès le départ, du simple fait qu’elle se pour
233 un changement de plan total (spirituel autant qu’ économique ) non des réformes. À son défaut, la Révolution fut déclenchée par une
234 ant aucunement renoncé à son statut de privilèges économiques . Là encore, ce fut un ensemble de mesures étatiques — sous l’Empire68
235 ous à assimiler le capitalisme moderne aux formes économiques de l’antiquité, et souvent même du Moyen Âge. Mais ils varient consid
236 mentalité (ou attitude) dont procède, sur le plan économique , le capitalisme, et que nous pouvons, dès maintenant, définir comme u
237 fin la résultante de ces contradictions — (replis économiques dans le cadre de l’État-nation mais internationalisme des capitaux fi
92 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
238 primauté du spirituel ; primauté de l’homme sur l’ économique  ; affirmation de la personne comme valeur spirituelle absolue, par su
239 e le marxisme : étatisme, dictature, déterminisme économique et pas un mot de l’oppression stalinienne. Et pas un mot de la « dial
93 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
240 une autre remarque : Mounier exagère l’importance économique de l’usure, suivant l’erreur fréquente des écrivains catholiques. Mar
94 1937, Articles divers (1936-1938). À qui la liberté ? (5 mars 1937)
241 régime d’étatisme oppressif et de dictature de l’ économique . Le résultat de ces pratiques ne se fera pas attendre, et l’on en voi
95 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
242 sidéré comme la maladie spirituelle, et par suite économique , produite en Occident par le refus du concret et de l’acte, avec ce q
96 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
243 des affinités, au moins autant que les conditions économiques . On ne comprend rien à la réalité sociale de ce canton si l’on fait a
244 aque chose qu’une seule fois, de la façon la plus économique et la plus claire28. Or, cette langue d’échanges dialectiques rapides
245 st un pays comblé qui a résolu tous les problèmes économiques urgents. La preuve en est fournie par ces phrases cueillies dans un j
97 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
246 par de puissantes forces sociales, historiques et économiques  ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement, à les découvrir
98 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
247 ue leur guerre. Entre l’équilibre d’intérêts ( ?) économiques et de prestiges idéologiques ( ? ?) qu’est leur paix, et l’équilibre
99 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
248 battre. (Volonté et pouvoir des masses, fatalités économiques , évolution de l’Histoire, mythes de la gauche et de la droite, divini
249 asme communiste. La plupart des fameuses « lois » économiques ou sociologiques que nous pensons avoir récemment « découvertes » ne
100 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
250 en deux images exactes les conditions morales et économiques des habitants de l’île. 1° Division des terres. — J’ai pu vérifier à
251 es renseigné, vaille que vaille, sur les facteurs économiques du pays, sur les noms des notables et sur le jeu des partis politique